vendredi 11 avril 2008
TETSUO HARA / LE PAPA DE KEN !!!
Et oui il fallait bien un long post a ce monsieur qu'est tetsuo hara car il a fait vibré nos coeurs avec HOKUTO NO KEN ce best seller avec plus de 100 millions d'exemplaires vendus dans le monde, ça en fait réver plus d'un.
Alors ne boudons pas notre plaisir de voir ce bon vieux kenshiro, mélange improbable de bruce lee et de mad max faire exploser de vilains punks, de voir rei l'oiseau de feu découper des homme sauvages, ou encore de voir raoh balancer de grands coups de tatanes du la grand ours en pleine tronche du premier venue !!!
Deplus ce mois de mai sera celui de HOKUTO NO KEN, avec tout d'abord la réédition chez ASUKA du manga, et Oh surprise, la sortie au CINÉMA, du dernier volet des nouveaux OAV de SHIN HOKUTO NO KEN j'ai nommé RAOH DEN, ou l'ère de raoh pour les francophones.
Je vous rappel que ken avait à son époque été censuré à la télévision au club dorothée et que les doublages avaient été trafiqués afin d'être plus comiques, ce qui avait donné lieu à des phrases cultes tels que:
"la technique de la gande ourse est d'un puissance incalculable, moi meme j'ai des difficulté pour le calculer"
"Toki... Toki... vous êtes tous toqués de Toki !"
"raoul, tu as tué mon frere, tu vas me la payer!" "tu me feras un prix?"
"Cette attaque est redoutable...elle est si rapide et si tranchante que lorsque le sang jaillit c'est déjà un bloc de glace à la vanille"
"Garde tes excuses pour dieu le père...car tu auras bientôt des comptes à lui rendre !"
"il m'a demandé de vous remettre ceci .il m'a dit qu'il regrettait de ne pas avoir pu libérer votre frère . il m'a dit beaucoup d'autres choses mais... malheureusement j'ai oublié "
"- Tu es ken et tu viens de l'école hokuto ou tard ?
- Plutôt tard
- Plutôt tard que jamais, là est le principal "
" Jagi, l'heure est venu de payer tes factures, et elles sont chères!!"
"Il est dans les chous, Shew !! "
"- ça fait même pas mal, NA!
- Il te reste 7 secondes à vivre!
- Oh non pas 7 secondes, c'est pas assez, donne-m'en 2 de plus"
"Décidément les temps comme les oeufs sont durs, et la bêtise n'a pas de limites"...
...il y en avait bien sur pleins d'autres !!! quels genies ses doubleurs ils devaient faire le PMU la salle de doublage au moins 78 fois par jours pour en arriver là !!!
Ken au cinema ça doit bien cartonné, the hunter se rendra peut être dans ces salles obscures tant appréciées de LAFANCLUB, et je suis sur que MR. Mortadelle et moi même enterrerons la hache de guerre burusonnienne devant un bon ATATATATATATATTA au cinema !!!
en bonus une longue interview du maitre tres instructive choppée sur hokutolegacy.com
Interview publiée dans le hors série "Hokuto No Ken Special : All About The Man" en 1986
Jump : Tout d'abord, expliquez-nous ce que vous avez voulu dessiner dans Hokuto No Ken ?
Eh bien, je voulais dessiner des hommes qui se battent et qui se battent bien...
Excepté Kenshiro, y a t il d'autres personnages que vous appréciez ?
Shû. Avant de le dessiner je n'avais fait que des belles gueules, il m'a donné la chance de sortir de la routine et à partir de ce moment, j'ai essayé de m'écarter du genre. Du point de vue de l'histoire il était aussi très intéressant.
Quels étaient les personnages faciles/difficiles à dessiner ?
Cela dépend de la situation, mais en général aucun personnage n'est facile à dessiner...
Dans Hokuto No Ken, il y a plusieurs genres d'arts martiaux, vous avez une petit préférence ?
La technique de Rei, Le Nanto Suichou Ken. Artistiquement parlant, elle est magnifique.
Quelle scène vous a laissé la plus forte impression ?
Au niveau du 10ème chapitre (Mort de Shin). C'était le premier tournant de l'histoire... et en général ils restent longtemps dans les esprits .
Avant la publication hebdomadaire de Ken, vous aviez déjà créé un manga appelé Hokuto No Ken et qui est apparu dans Fresh Jump, est-ce que vous pouvez nous en parler ?
Je pensais que j'allais devenir cinglé. Je n'avais pas un seul assistant. J'ai reçu un petit coup de main quand je mettais la touche finale... j'étais content d'avoir de l'aide... mais avant c'était vraiment la misère...
Ensuite Buronson vous a rejoint et vous avez commencé à bosser ensemble... vous pouvez nous en parler ?
il a apporté un tas de variété, c'était génial.
Est-ce qu'il vous a donné des directives sur certaines scènes ?
Il ne m'a jamais vraiment donné de directives.
Qu'est-ce qui vous plaît dans le dessin ?
Peut-être le réalisme. J'essaie d'apporter des sentiments réels dans mes dessins.
Et en ce qui concerne les scènes d'action ?
J'ai fais attention de ne pas les faire trop terribles, il ne fallait pas que les lecteurs aient un sentiment de malaise - un peu de fraîcheur ! J'ai aussi essayé de dessiner des vilains et des personnages qui ressemblent à des monstres. De cette façon, ceux qui meurent ne sont pas vraiment des humains...
A choisir entre les humains et les monstres, lesquels vous ont apporté le plus de fun en les dessinant ?
Les deux. J'en aurai marre de dessiner uniquement des héros et c'est pareil pour les monstres. Les deux m'apportent une sorte d'équilibre.
Y a t il y a des gens ou des travaux qui vous ont influencé ?
Si je peux choisir des réalisateurs je dirais Spielberg et Georges Lucas.
Vous aimez le cinéma ?
Oui, de plus en plus. J'ai toujours voulu dessiner des mangas en 4 couleurs, un peu comme un film mais au niveau de la réalisation, le manga est bien plus facile. C'est vraiment l'idéal.
Quel genre regardez-vous le plus ?
Les blockbusters avec Stallone et Schwarzy.
Vous allez souvent au cinéma ?
Oui, si c'est un bon film, j'y vais sans me préoccuper du genre.
Quels mangas lisez-vous ?
Tanaguchi Jiro et Ikegami Ryoichi, entre autres.
A part Hokuto No Ken, est-ce qu'il y a un truc que vous rêvez de dessiner ?
Oui. une guerre par exemple. Un truc sur le Vietnam. Après ça, un récit historique. Un truc qui n'a jamais été fait à la télé, un truc comme Kurosawa's ran. J'utiliserai des gars comme Kenshiro dans chaque récit. Je crois que Ken est le genre de gars qui peut faire tout ça...
Donc, tout ces thèmes ont pour point commun le combat entre des hommes ?
Oui.
Il y a une deuxième partie à la série Hokuto No Ken, vous pouvez nous en parler ?
Il y avait tellement de choses que je voulais faire, je ne me tracassais pas trop du fait de m'épuiser à la tâche... Mon corps n'avait pas le temps de récupérer et ma condition physique se reflète dans le manga. Quoi qu'il en soit, tous ce que je ressentais à cette époque se retrouve dans l'histoire...
Dernière question, si vous surviviez à une guerre nucléaire, que feriez-vous ?
Je l'ai déjà dessiné dans le manga. Aucun doute là-dessus.
Et si vous rencontriez Kenshiro ?
Je le suivrais.
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Traduction de l'anglais au français : hokutolegacy@gmail.com
Interview publiée dans le magazine Raijin Comics 37 & 38 (19/11/03)
La vie d'un Mangaka : Hara Tetsuo
Je crois que j'avais 9 ans quand j'ai pris la décision de devenir un artiste.
RAIJIN COMICS (RC) a interviewé Hara Tetsuo, l'homme qui se cache derrière Hokuto No Ken - un des manga les plus populaire de tout les temps. Sa dernière oeuvre, Sôten No Ken, est actuellement publiée au Japon dans le Weekly Comic Bunch et aux USA dans le RAIJIN Comics. Derrière cette soudaine ascension parmi les meilleurs mangakas se cache en fait une longue bataille pour le succès. Rencontre avec l'homme à l'autre bout du crayon.
............................................... AU DEBUT .
Votre célèbre portfolio reprend votre travail en tant qu'assistant de Takahashi Yoshihiro (Ginga Legend Weed) et Tetsuno No Don Quixote (Iron Don Quixote), votre premier manga périodique publié dans le Weekly Shonen Jump. Le fait d'avoir été si jeune l'assistant d'un artiste aussi important laisse supposer que vous vous êtes entraîné bien avant cela. Quand et comment avez-vous commencé à étudier l'art du dessin ?
Hmm... Je crois que je devais avoir 9 ans quand j'ai pris la décision de devenir artiste. C'est ce jour là que tout à commencé.
Quand avez-vous lu votre premier manga ?
Un ami m'en avait prêté un quand j'étais en 4ème ou 5ème année. Je n'aimais pas les dessins figés et je ne trouvais pas ça très intéressant. Puis je suis tombé sur Tensai Bakabon de Akatsuka Fujio et je suis resté bluffé.
C'est surprenant, le travail de Akatsuka est pourtant très éloigné du votre.
Jusque là je n'avais vu que des animes à la télé. Je trouvais donc ennuyeux de regarder de simples dessins. Mais Tensai Bakabon avait quelque chose de tridimensionnel, avec des effets de mouvements vraiment réalistes. J'étais stupéfait de voir que c'était possible à rendre sur une simple feuille de papier et ça a entièrement changé ma vision du manga.
Ca aide d'avoir une volonté d'acier, mais l'ambition et la diligence sont les deux clés du succès.
Nous savons que vous avez reçu énormément de conseils et d'entraînement de la part de votre second éditeur. Quel genre d'entraînement était-ce ?
Faire des storyboards sous les conseils d'un éditeur et d'autres entraînements nécessaires pour commencer en tant que professionnel.
Tout cela en tant qu'assistant de Takahashi Yoshihiro?
Oui. Je ne comptais pas rester assistant toute ma vie et je comptais réaliser mon propre manga. J'ai passé tout mon temps libre à dessiner des story-boards que j'envoyais à l'école de mangaka supervisée par Koike Kazuo (Lone Wolf and Cub). Jusqu'à ce que le story-board de Tetsu No Don Quixote soit finalement accepté.
Mais cette série à été supprimée après 10 semaines.
Un artiste qui commence une série dans le Weekly Shonen peut voir son oeuvre supprimée à partir de la troisième semaine selon les résultats de l'enquête auprès des lecteurs. Et j'ai été éjecté après 10 semaines. Quelle déception ! Une fois qu'un artiste est viré à ses débuts dans le Shonen Jump, il se voit rarement offrir une seconde chance. J'ai cru que ma carrière était fichue et que je n'aurais jamais la chance de bosser en tant que professionnel.
Qu'est-ce qui vous a alors poussé à créer Hokuto No Ken?
Après 8 épisodes de Iron Don Quixote, mon éditeur Horie Nobuhiko m'a dit: tu veux faire un manga sur les arts martiaux n'est-ce pas ? Vu que tu t'y connais un peu en acupuncture, pourquoi ne pas écrire l'histoire d'un gars qui pratiquerait une sorte d'art martial qui détruirait ses adversaires en touchant leurs points de pression? Je ne savais pas du tout ce que ça donnerait mais j'en ai presque pleuré, j'étais si heureux de travailler sur une autre histoire. J'avais ma deuxième chance ! Hokuto No Ken a commencé un an plus tard. Sans mon éditeur et son idée des points de pression, je ne serai pas là aujourd'hui.
............................................... DUR LABEUR ET DEVOUEMENT .
Tetsu No Don Quixote a donc été descendu en flammes mais votre éditeur vous a donné une seconde chance en vous donnant une idée de scénario qui allait aboutir à Hokuto No Ken, c'est bien ça ?
Oui. Ma première version de Hokuto No Ken a été publiée dans une édition spéciale du Weekly Shonen Jump et ça a été un succès qui m'a permis d'écrire une nouvelle série pour le magazine. C'était juste un an après l'échec de Tetsu No Don Quixote.
Vous avez du subir une pression énorme en écrivant Hokuto No Ken.
Ca dépassait l'entendement! Quand j'ai commencé Tetsu No Don Quixote, j'ai du m'impliquer à 100% dans mon boulot. Plus tard j'ai compris que ce n'était pas assez, je devais m'impliquer à 120% dans mon oeuvre.
C'était l'époque où le genre "sagas dramatiques" étaient à la mode dans les mangas pour adolescents.
Oui. Réaliser Hokuto No Ken fut un boulot éreintant qui m'a pris un temps fou. Dormir était hors de question.
Votre oeuvre a été réalisée d'une traite depuis le début. Ca veut donc dire que vous n'avez jamais fait un break depuis le commencement.
Je ne pouvais même pas imaginer faire une pause. Mon éditeur Horie Nobu était strict - il voulait du travail bien fait et m'a vraiment poussé jusqu'à mes dernières limites. C'était éreintant. Par exemple, j'avais terminé le deuxième épisode de Hokuto No Ken juste dans les temps et il m'a fait refaire 7 pages complètes.
Etait-ce l'épisode avec la citation "Pour la première fois depuis très longtemps, j'ai l'impression d'avoir rencontré un véritable être humain" ?
Oui, c'est une des scènes que j'ai réécrite. Tu parles d'un boulot de dingue ! Une fois que j'eu terminé, Horie m'a invité à aller manger quelque part pour relire les grands passages. J'étais heureux d'avoir réalisé le meilleur de moi-même mais en même temps très gêné de ne pas y être arrivé du premier coup. Je me rappelle même avoir pleuré... en public.
Quels étaient vos sentiments envers l'éditeur Horie ?
J'étais prêt à donner 120% de moi-même, mais je crois qu'il a explosé les limites. Je le haïssais. Bien sûr je voulais réaliser du boulot de professionnel, mais je ne voulais pas me détruire physiquement pour autant.
Mais Hokuto No Ken a été publié pendant 5 ans ! C'est un véritable chemin de croix !
Une fois que vous êtes populaire, les éditeurs ne vous lâchent plus. Le contrat s'étendait à la base sur 3 ans. Je sais que quand un manga devient si populaire il doit forcément continuer mais je commençais à douter que tout ça mérite autant de stress et de souffrances.
C'est intéressant parce qu'une fois HNK terminé, vous avez continué à produire du boulot de qualité. Est-ce que ça voudrais dire que vous pourriez continuer indéfiniment ?
C'est mon destin en tant que mangaka. Je ne peux pas m'arrêter d'écrire.
Horie est resté votre éditeur pendant combien de temps ?
Jusqu'à ce que je commence à travailler sur Hana no Keiji (Keiji). Mais c'est aussi là que j'ai réalisé à quel point c'était important d'avoir un éditeur aussi strict. Mon nouvel éditeur me donnait juste les grandes lignes directrices pour l'épisode suivant. Horie était tout le contraire, il était très spécifique sur tout, il me donnait des scènes de films à étudier avant que je ne commence à écrire. Il me disait ce que je devais accentuer et dans quelles circonstances le héros devait se retrouver. Quand je faisais ce qu'il me demandait il m'engueulait en me disant que je n'étais pas assez créatif. En fait il me donnait des germes d'idées que je devais exploiter à fond moi-même.
C'est donc comme ça que ce construit un blockbuster ?
C'est la seule façon, oui. Balancer un manga super calibré dans un hebdomadaire lu par des milliers de fans , l'écrire, le réécrire, accepter les critiques et le le réécrire encore et encore. Les scénaristes sont toujours obligés de faire mieux . Je l'ai compris le jour où j'ai changé d'éditeur. Sans la combinaison entre le scénariste, l'éditeur et le dessinateur, le manga ne décollera jamais.
Et depuis ? comment allez-vous ?
J'ai bossé avec plusieurs éditeurs, mais Horie est resté le plus enrichissant. Par la suite, il m'a proposé de faire une nouvelle oeuvre.
Quel était cette oeuvre ?
C'était Kokenryoku Oryo Sosakan Nakabo Rintaro. Il y a toute une histoire derrière cette demande.
Parlez-nous en.
L'éditeur en chef de la Shueisha m'avait dit de me tenir éloigné de Horie. Il disait que Horie n'avait aucun ordre à donner à son travail. Il m'a dit que je le regretterai si je comptais retravailler avec lui. Je ne pouvais pas en croire mes oreilles! Quelle est l'importance de la politique de bureau dans la création d'un manga ?? Horie était la raison du succès de Hokuto No Ken. Il m'avait donné une seconde chance. Il m'a fait réaliser que le manga était mon unique vocation. Après avoir entendu les paroles de l'éditeur en chef, j'ai commencé à me poser des questions sur ma carrière et mes buts ainsi que sur les choix que je devrais faire. J'ai finalement décidé que si les éditeurs pour lesquels je travaillais était coincé dans une politique pareille, je pouvais me passer de leur compagnie. Le timing était critique. Je songeais sérieusement à mon avenir et dans quelle direction aller. A nouveau j'ai été sauvé par Horie. Quand j'ai quitté la Shueisha, je suis parti avec lui et nous avons commencé à publier notre propre magazine. Il est toujours publié aujourd'hui - vous le connaissez peut-être, Weekly Comic Bunch.
Quel est donc le secret de vos succès ?
Une chose est sûre: pour que le "processus manga" fonctionne il faut que la compagnie fasse passer l'oeuvre avant toute chose. Ca revient à ce que je disais à propos de l'ambition et de la diligence. Grâce à l'ambition et la diligence, Horie et moi avons pu créer une compagnie capable de produire Sôten No Ken.
Vos yeux vous donnent du fil à retordre dans votre travail sur Sôten No Ken. Pouvez-vous nous en parler ?
J'ai ce qu'on appelle un kératocône (cornée conique)*. Ce qui veut dire que je suis presque aveugle d'un oeil. Je perd donc les perspectives. Je n'essaye pas de trouver des excuses mais j'avoue que cela rend mon travail très difficile. Malgré cela, je continue de fournir des mangas de qualité à mes lecteurs. C'est pour ça que nous avons lancé cette compagnie. Je me sens mal à l'aise quand je dois reporter la sortie d'un épisode ou quand ça ne se révèle pas être aussi bien que je l'attendais, mais j'ai l'intention de continuer le plus longtemps possible, tout spécialement pour mes fans, ce sont eux qui me donnent le plus grand des espoirs.
MERCI A HOKUTOLEGACY
THE NANTO DE VISON HUNTER
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10 commentaires:
putain de post rigoureux! ON EST DES ENFOIRÉS DE GEEKS!!!!!! OUBLIEZ JAMAIS çA! VENEZ PAS TESTER!
Snake Eyes
"Ken, sei tu, fantastico guerriero..."
Les Ritals ont passé la série jusqu'au bout eux ... sans parler des innombrables rediffusions !!! mais ils n'avaient pas nos doublages géniaux.
PS : pourquoi personne ne parle jamais de l'énorme symbolique gay qui suinte dans ce manga / DA ?
Snake eyes suceuse.
johan on t'a creve .
J'ai pas besoin de signer quand je tue quelqu'un, pélo.
J
C'EST QUOI CE MESAGE SUPPRIMER ?
ET IL EST OU LE COMMENTAIRE DE MAZ SUR HOKUTO NO KEN ?????
J'VOIS PAS NON PLUS MORTADELLE ???
THE PFF HUNTER
j'ai décidé que j'allais boycotter ce post... puisque c'est ça, je ne le lirai pas, nah !
ah oui, c'était moi ;)
Mortadelle
c'est que la symbolique Gay dans ken est anecdotique a cote de Saint seiya,mais bon les fans n'appreciant pas qu'on dise cela sur SAINT SEIYA
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