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mercredi 1 février 2012

LAFANCLUB'S ICONS Vol.21 : Seth Gecko


N'ayant strictement rien à voir avec le rappeur éponyme (à deux lettres près), le Seth Gecko campé par Georges Clooney dans son premier film post-Urgences est un pur personnage de série B à l'ancienne, un bad-ass comme en fait plus.
Car bien avant de vendre du faux café de luxe, il alliait magnifiquement le charisme à l'enculerie la plus basse dans cette péloche vampirique sauce nacho.
Seth et son frère déséquilibré sexuel Richard (Quentin Tarantino) sont donc les stars de ce road movie horrifique très décomplexé qu'est UNE NUIT EN ENFER (Robert Rodriguez, 1996). Braqueurs violents, les Gecko Bros. sont en cavale après que Richie a fait évader son grand frère Seth de prison. Filant tout droit vers leur terre de salut, le Mexique, ils prennent en otage un pasteur et ses deux enfants afin d'utiliser leur camping-car familial pour passer la frontière. Là-bas, le bar où ils doivent attendre leur passeur va leur faire passer la pire nuit qui soit.
Possédant un très gros potentiel de revisionnage, sûrement grâce à un script co-écrit (à 80% ?) par QT lui-même, UNE NUIT EN ENFER se bonifie même avec le temps. Acteurs à contre-emploi, dialogues incisifs, réalisation inspirée, seconds couteaux juste savoureux...
Cette série B pourtant pas prétentieuse déploie une énergie réjouissante et reste un vestige des 90's, époque ou le pire et le meilleur se télescopait pour accoucher parfois de vrais bijoux. Seth Gecko y crève l'écran comme il y crève des coeurs, au sens propre comme au figuré.
De plus, son revolver est un ASTRA TERMINATOR, ce qui est suffisamment rare pour être précisé.


Mazz

mercredi 15 décembre 2010

LAFANCLUB ICONS Vol.20: CHUCK NORRIS

Et puisqu'une vidéo vaut plus que de longs discours...



Mrtdll

jeudi 9 décembre 2010

LAFANCLUB'S ICONS Vol.19 : Inspecteur "TEQUILA" Yuen


Dix mois sans icônes ! Comment avons-nous pu vivre sans ? Alors permettez-moi de relancer cette merde avec un personnage originaire du pays champion du monde en démographie, la Chine.
Acteur charismatique et très prolifique devenu super star chez lui depuis bien longtemps, Chow Yun-Fat emportera certainement un ou deux Beretta dans sa tombe, tant l'image du flingueur invincible et invétéré lui colle à la peau. Qu'il ait incarné flic ou truand, il a toujours su s'imposer grâce à un savant mélange de classe et de testostérone, hissant la chorégraphie balistique au niveau de sport olympique. Là où tout ses collègues ont opté pour une formation Kung-Fu classique (comme tous ces connards), il choisit plutôt de se spécialiser dans l'art de trouer la peau, tout simplement.


Son art martial ? Celui qui fait parler la poudre. Le seul kata qu'il ait jamais appris ? Le combat imaginaire des 9mm. Vous l'aurez compris, on n'aura jamais vraiment l'occasion de le voir tabasser un méchant en le savatant façon Jet Li, tout au plus donnera-t-il un ou deux chassés typiquement coréens avant de finir le gars à la chevrotine. Mais rendons à César ce qui lui revient de droit, à savoir le travail du réalisateur John Woo. Il est évident que ce monsieur petit par la taille mais grand par le talent a fortement contribué à l'iconisation de l'acteur, créant de toutes pièces l'équivalent cantonnais d'un John McClane ou autre Martin Riggs. C'est à travers des films comme "A BETTER TOMORROW", "THE KILLER" et "HARD BOILED" que Chow-Yun Fat deviendra une figure incontournable du héros sévèrement burné et à toute épreuve.


Et c'est bien l'inspecteur "Tequila" Yuen qu'il incarne dans ce film qui nous aura le plus marqué. A ses rôles de criminel torturé et de tueur rédempteur, on préfèrera celui du flic vindicatif. Certes le plus cliché de tous, mais assurément le plus cool. Alors que le film se veut aussi proche du polar à l'ancienne que de l'actioner pur et dur, John Woo n'hésite aucun instant à catapulter son vieux copain dans une multitude de gunfights aussi invraisemblables que jouissifs dont il ressort totalement indemne non sans avoir dégommé plusieurs dizaines de malfrats. Battant James Bond sur son propre terrain, les deux Beretta éclipsent le Walther PPK, le cure-dent remplace la cravate et la Tequila frappée dissout le Vodka Martini. Et pendant que 007 fait du Pipeau, lui joue de la clarinette au Jazz Bar jusqu'au petit matin avant d'aller nettoyer un salon de thé de tous les trafiquants d'armes qui s'y trouvent. Vous doutez encore du personnage ? Il n'y a cas le voir charger nonchalamment son fusil à pompe, nous regardant droit dans les yeux l'air de dire "oh oui ça va chier".


Et comme si ça ne suffisait pas, L'inspecteur Hongkongais possède même aujourd'hui son propre avatar de pixels à travers le décérébré mais très efficace STRANGLEHOLD, suite vidéo-ludique du film A TOUTE EPREUVE rendant enfin un hommage officiel aux ballets de mort orchestrés par John Woo, bien des années après l'excellent MAX PAYNE.
Pouvoir incarner son icône favorite, c'est pas offert tous les jours alors ne vous privez pas !







Mazz

mercredi 17 février 2010

LAFANCLUB'S ICONS Vol.18 : DAREDEVIL




Matt est le fils d'un p'tit truand: Jonathan "Battling Jack" Murdock, un boxer éternel second rôle qui se fait dessouder pour avoir essayer de gagner un match truqué.
Matt, c'est le gamin de Hell's Kitchen, le bon samaritain qui développe une acuité des 5 sens et un sonar, façon chauve-souris a la suite d'un accident... En parlant de chauve-souris, Daredevil est le pendant de Batman, la réponse de Marvel à DC... Un chevalier solitaire victime d'un monde cruel et impitoyable (ouai comme Michael Knight, mais avec un juste au corps jaune, euh rouge), combattant le crime la nuit et le jour en tant qu'avocat avec son comparse le très gras Foggy Nelson.
DD a été crée par Marvel Comics en 1964 par Stan Lee et Bill Everett dans la revue Daredevil n° 1 et il doit son succès à des scénaristes de génie comme Miller ou Kevin Smith qui le sort du placard en 2000 avec la série Marvel Knights.

"Sinon je trouve le film génial et je trouve que Ben Affleck est un grand acteur !"
Ben Affleck








Mrtdll

vendredi 29 janvier 2010

LAFANCLUB'S ICONS Vol.17 : PAUL VERHOEVEN !!!


Va vraiment falloir que l'académie de lafanclub se penche très sérieusement sur le cas de ce type !
Le mec s'est carrément jeter dans le ciment frais quand il a fallu qu'il laisse son empreinte sur la pop culture.
On doit tout de même au lascar des pays bas pour rappel, "robocop", "total recall", "starship troopers", "la chair et le sang" ( avec ce bon vieux rutger ), "basic instinct", le très très gore "hollow man", et le salement glauque "showgirls".
Après "Showgirls", "Black book" (film sur les pays bas durant le nazisme) et "the surrogates", son prochain film (un thriller sur "un couple découvre que la mère porteuse qu’ils ont engagée est prête à tout pour garder l’enfant devant leur revenir"), une question nous taraude impitoyablement le fondement : Mais Paul, je peux t'appeler Paul ? Tu reviens quand mettre un grand coup de pied au cul de la SF bien pensante et propre sur elle ?

THE NUK HUNTER

mardi 1 décembre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.16 : Solid Snake

Il n'y en a pas que pour Capcom. Konami possède en Hideo Kojima un véritable génie, un créateur, un artiste qui saura faire évoluer son médium. Kojima a fait de Snake un personnage majeur de l'univers des jeux video. Le symbole d'un support qui peut tutoyer l'art.



















Sonny

LAFANCLUB'S ICONS Vol.15 : James "The king" Cameron



J.

dimanche 29 novembre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.14 : Ryu

LE personnage emblématique de la saga Street Fighter. Vêtu de blanc, il est l'incarnation du bien, de la droiture et de l'esprit sain des arts martiaux. Street Fighter sans Ryu, c'est inimaginable. Son frère d'arme Ken est plus charismatique, mais il restera quoi qu'il arrive dans l'ombre de son éternel rival. Capcom n'allait pas laisser le premier rôle à un américain. Car Ryu est le superhéros japonais par excellence, le samuraï moderne.















Sonny

LAFANCLUB'S ICONS Vol.13 : Henry "Indiana" Jones Jr.

Comment résumer ce que représente dans le cinéma contemporain Indiana Jones? Impossible. L'influence de Jones est partout. Lorsque l'on parle de ses trois premières aventures, on est dans un divertissement qui frôle la perfection. Indiana Jones est à lui tout seul définitif pour le cinéma d'aventure. Le symbole de la toute puissance de Lucas et Lucasfilm, l'écrin qui sert à l'avènement définitif de Spielberg, et le rôle qui envoi Harrisson Ford dans une autre galaxie, celle des légendes.





C'est pour ces raisons qu'on ne pardonnera jamais à Lucas et Spielberg le sacrilège intégral du quatrième épisode. Dont on ne retiendra pas grand chose, si ce n'est cette belle affiche teaser.





Sonny

vendredi 30 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.12 : Steven "E.T" Spielberg



J.

LAFANCLUB'S ICONS Vol.11 : Ali "The G.O.A.T" Muhammad



J.

LAFANCLUB'S ICONS Vol.10 : Jim "Kermit" Henson



J.

mardi 27 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.9 : Le Sgt Col. Thomas HIGHWAY

Celui-là même qui a fait "crève-coeur", qui est "un père la colique fatigué qui a des renvois de barbelés, qui pisse du napalm et qui vide un chargeur dans le cul d'une mouche à 200 mètres."

Parce qu'il est un badass, voir LE badass par excellence.
Parce qu'il débite plus d'insultes qu'un McLane et que les dialogues n'auraient rien à envier à Audiard (père).
Et surtout parce que s'il n'avait pas été dans ce putain de classement, il y-aurait eu "explication des gravures", alors moelleux mec !





Mrtdll

samedi 24 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.8 : Sonny Crockett

Flic dépressif, flic super efficace, symbole de la classe des années 80, étendard de l'univers de Michael Mann. Sonny Crockett est à lui tout seul (avec son compère Tubbs) l' icône d'une époque. Trop fort pour que Don Johnson puisse passer à autre chose.








Et 20 ans de pop-culture.







Sonny

jeudi 22 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.7 : Alison "The killer" Mosshart

Stylée, Rock, classe, attitude...







J.

mercredi 21 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.6 : CHANCE BOUDREAUX


Certains le répètent sans cesse: y a pas d'règles !
Et pourtant sachez bien que Chance Boudreaux -qui vient d'un bidonville de Nouvelle-Orléans- est une vraie icône, même si ce n'est qu'aux yeux de deux membres de La Fan-Club à tout casser...
Parce qu'il peut défoncer cinquante bonhommes les mains dans les poches en mode western, qu'il paye son café en pièces jaunes, qu'il se brosse les dents avec un crotale et qu'il fait des saltos dans un vieux hangar tout moisi, Chance "ma mère a pris un risque" Boudreaux, SDF de son état, a largement mérité sa place dans cette liste !
Alors saluons tous Chance Boudreaux, le héros-clodo !

Smart Ass

lundi 19 octobre 2009

LAFANCLUB'S ICONS Vol.5 : CLINT EASTWOOD

Il est LE cowboy, le mec qui assure, le mec qui a pas besoin de raconter sa vie, le regard, LA classe. Et aussi parce qu'il était à Lyon ce week-end. Ne ratez pas dimanche prochain sur le 102.2 Radio Canut, La Fan Club, qui rendra hommage à un acteur unique, et à un réalisateur exceptionnel, un monument du cinéma.







Sonny