L'autre soir, une vérité assez étrange m'a éclaté au visage, comme si tout ce temps elle se dissimulait sous une couche de logique imparable. On ne mélange pas les maîtres et les turbulents, les gars du fond de la classe qui passent leur temps à regarder les filles papotant sur les bancs à la récré. Et pourtant... . Alors bon, voilà de quoi je parle :
-deux flics. Un gros trafiquant de drogue (qui galère pour faire venir sa came aux états-unis). Une fille, à cheval dans les deux camps. Des hommes de mains très méchants.Des fachos. Des collègues flics important. Cuba. Des hors-bords qui transportent de la dope. Une ville, Miami. Des grosses voitures, des flingues rutilant, des fringues de marque.
C'était un pitch très trivial, simplifié. Mais dans les grandes largeurs, ça colle. Bon, après, y'a deux réalisateurs, qui poussent quand même le vice jusqu'à partager le même prénom. Mais des deux Michael, Mann a posé un classique, Bay une fanfaronnade de mauvais goût sans règle. Il est quand même très amusant de comparer, les deux scénarii regorgent de similitudes, et quand on compare les résultats, on se dit qu'un des éléments le plus important dans un film, c'est quand même le ton. Et pas de faire un travelling en synthèse sous un string.
Alors, vous me direz, si il a remarqué ça, c'est qu'il a regardé Bad Boys 2 au moins deux fois (oui parce que tout le monde ici a vu Miami Vice plusieurs fois). Mais comment a-t-il fait?
ça, c'est une autre histoire, que certains connaissent très bien.
Snake Eyes
3 commentaires:
u peux visionner Bad Boys II tant de fois que tu veux ça n'est pas un honte Snake, loin de là...
Mais faudra jamais que son nombre de visions dépasse celui de Miami Vice par contre, juste pour que la balance elle parte pas en couille !
J'irai pas jusqu'à opposé les deux, mais c'est intéressant.
J
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lolikneri havaqatsu
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