L'autre soir, une vérité assez étrange m'a éclaté au visage, comme si tout ce temps elle se dissimulait sous une couche de logique imparable. On ne mélange pas les maîtres et les turbulents, les gars du fond de la classe qui passent leur temps à regarder les filles papotant sur les bancs à la récré. Et pourtant... . Alors bon, voilà de quoi je parle :
-deux flics. Un gros trafiquant de drogue (qui galère pour faire venir sa came aux états-unis). Une fille, à cheval dans les deux camps. Des hommes de mains très méchants.Des fachos. Des collègues flics important. Cuba. Des hors-bords qui transportent de la dope. Une ville, Miami. Des grosses voitures, des flingues rutilant, des fringues de marque.
C'était un pitch très trivial, simplifié. Mais dans les grandes largeurs, ça colle. Bon, après, y'a deux réalisateurs, qui poussent quand même le vice jusqu'à partager le même prénom. Mais des deux Michael, Mann a posé un classique, Bay une fanfaronnade de mauvais goût sans règle. Il est quand même très amusant de comparer, les deux scénarii regorgent de similitudes, et quand on compare les résultats, on se dit qu'un des éléments le plus important dans un film, c'est quand même le ton. Et pas de faire un travelling en synthèse sous un string.
Alors, vous me direz, si il a remarqué ça, c'est qu'il a regardé Bad Boys 2 au moins deux fois (oui parce que tout le monde ici a vu Miami Vice plusieurs fois). Mais comment a-t-il fait?
ça, c'est une autre histoire, que certains connaissent très bien.
Snake Eyes
lundi 30 juin 2008
Et merde...
Je me faisais la réflexion hier en lisant un Marvel Hors-Série: "putain, c'est quoi cette arnaque, les couv' sont de Turner mais les dessins c'est Rob 'sans expression' Liefield"; c'est naze...
Bah oui, parce que Michael Turner, c'est un putain de bon dessinateur, il joue dans la cours des très grands; enfin jouait... il a cassé sa pipe a 37 ans hier a cause du crabe. La merde... j'ai un gros coup de mou maintenant.
Mortadelle.
Bah oui, parce que Michael Turner, c'est un putain de bon dessinateur, il joue dans la cours des très grands; enfin jouait... il a cassé sa pipe a 37 ans hier a cause du crabe. La merde... j'ai un gros coup de mou maintenant.
Mortadelle.
Coffret Matrix
dimanche 29 juin 2008
A fond sur les essieux
A La Fan Club quand on se prend d'affection pour un truc on n'y va pas par 4 chemins, on en fait pas dans la dentelle, dentelle que nous préférons voir sur nos petites amies généralement. Il y a donc au sein de La Fan Club comme une vague Tony Scott qui est entrain de tout emporter sur son passage, et ce pour une raison que nous ne pouvons, bien malheureusement croyez nous, dévoiler ici.
Alors quand l'autre soir je redonne une chance à "Man on fire" je le fait dans les règles de l'art, son à fond et belle image sur le plasma ! 2h20 plus tard je me demande pourquoi je suis passé à côté de cette bombe au cinéma. Denzel est juste parfait, Tony nous emballe tout ça dans un spectacle de violence magistrale. Putain mais ou avais-je la tête ce jour-là ? Je vais mettre ça sur le compte du "j'avais pas envie de voir ça aujourd'hui"... Bizarre quand même.
Bref, une fois de plus ici, Tony Scott prouve bel et bien qu'il est un des meilleurs plasticiens du cinéma contemporain, un génie de l'image, un vrai défricheur de la pellicule, un inventeur ni plus ni moins. Ses films ne sont-ils pas d'ailleurs parmi les plus beaux et ceux qui bénéficie des plus belles directions artistiques qui soit ?
Si.
Bien sûr il n'a pas fait que du bon le Tony, et il a d'abord fallut se farcir des Top Gun et des jours de tonnerre avant d'arriver à ce qu'il fait aujourd'hui. Il a d'abord fallut rapporter beaucoup d'argent avant d'avoir les mains libres pour faire Domino, qui, dans son genre est à classer à côté de Fight Club. Domino oeuvre sans référence, sans limite, j'y reviendrai plus tard.
Alors voilà l'année prochaine ce sont les pirates du métro qui reviendront dans le déjà très attendu "The Taking of pelham 123" remake du film des années 70 de Joseph sargent que Scott tourne actuellement avec toujours Denzel, travolta, gandolfini, Turturro entre autre.
Mais l'important n'est pas tant dans ce métro qui arrivera en station l'année prochaine. Non, ce qui nous importe encore plus ce sont ces Warriors qui pointent leurs nez du côté de Los Angeles. Parce qu'il faut vraiment ne rien connaître à Scott pour ne pas voir l'habile tour de magie qu'est entrain de nous faire l'english.
Evidemment que ce Pelham 123 n'est que le laboratoire des Warriors qui vont suivre. Nul doute que Tony Scott expérimentera non pas l'image (ça c'est fait) mais la narration, le renouvellement d'un classique b des années 70 aujourd'hui.
Et ces Warriors alors ça va être quoi ?
On ne sait pas grand chose, mais le père Tony à déjà lâché quelques pistes.
En version originale de la bouche même du réalisateur :
"The opening of 'The Warriors' now begins on the Long Beach Bridge, and it's going to look like the L.A. marathon," Scott said of the script, which relocates the story of the titular gang attempting to get home to its turf after being mistakenly accused of murdering a rival gang leader. "You'll still get the same story, but we're reconstructing the family, reconstructing the characters, and I'm doing it in L.A. The original was in New York and everything went upwards; L.A. goes [length-wise]. And instead of 30 gang members, there's going to be 3,000 or 5,000."
"I sat with all the gang members and they said, 'If you can get this movie on, we'll do a treaty between all the warriors, all the different gangs,' " Scott said proudly. "It's very different from what the original is like. I love the original, but this is a very different tone and a very different feel. The encounters will be more like 'Kingdom of Heaven.' It will be the Warriors stacking up against 3,000 gang members.
"The story is so generic, it's like these guys are at point B and they need to get back to point A," Scott said of the similarities between the two films, which will virtually end after the title, concept and name of at least one major character. "It's contemporary; it's going to look like the L.A. riots, with fires burning after Cyrus gets shot at the beginning.
"Everything else that we're doing, what I'm bringing to it, it's a different movie," he added, saying that authentic tattoo-sporting gangbangers will replace fictional organizations like the Savage Huns and the pimpish Boppers. "It will be the Bloods, the Crips, the Vietnamese, the 18th Street [Gang], all the boys. It will be all the major gangs in Los Angeles, and we're going to try to get them to stand on the Long Beach Bridge."
Mais vous êtes fou ou quoi ?
Vous la voyez cette putain de scène d'ouverture ?
Je bande, je pleure, je sais plus, les deux à la fois je crois !
Dire que ce film est un des 5 métrages les plus attendus de ces prochaines années par La Fan Club est un euphémisme.
Et comme dis Optimus : "We're waiting, we're watching".
J
Buy it now
Petit guide d'achat du week end, 2 livres, deux immenses acteurs (dont un est un putain de réalisateur !).
D'abord l'éternel Clint, le dernier des géants, celui qui emmènera avec lui une certaine idée du cinéma.
Et puis Christopher Walken, fabuleux danseur chez Jonze, et Sicilien légèrement susceptible chez Scott entre autre.
2 légendes.
Nous ne sommes rien.
J
D'abord l'éternel Clint, le dernier des géants, celui qui emmènera avec lui une certaine idée du cinéma.
Et puis Christopher Walken, fabuleux danseur chez Jonze, et Sicilien légèrement susceptible chez Scott entre autre.
2 légendes.
Nous ne sommes rien.
J
samedi 28 juin 2008
RODRIGUEZ MUCHOS PROJECTOS SAUCE NACHOS !!!
Il est prolifique Robert Rodriguez. Certes pas autant que Johnnie To, mais il enchaîne tout de même les projets avec une facilité déconcertante. Entre Sin City 2 et Sin City 3, Barbarella, Machete, The Jetsons et la série Women in chains !, voilà que Shorts s'ajoute à son programme très chargé. Une comédie familiale qui semble toutefois plus à même de se concrétiser au vu de son casting cinq étoiles : William H. Macy (Fargo), James Spader (Sexe, mensonges et vidéo), Jon Cryer (la série Mon oncle Charlie), ou encore Leslie Mann (En cloque, mode d'emploi) seront en effet les vedettes de Shorts.
Produit par Warner Bros et Troublemaker Studios - la société de production du réalisateur de Planète terreur - Shorts s'intéressera au quotidien d'une banlieue américaine typique très calme. Ses habitants, travaillant tous pour la société de télécommunications avoisinante Black Box, seront plongés dans l'anarchie par une pierre multicolore tombée du ciel qui exauce les voeux. Egalement scénariste du projet, Robert Rodriguez devrait prochainement commencer le tournage à Austin, au Texas.
source: variety
En plus de cela il s'apprette à adapter RED SONJA, aka KALIDOR en france.
Créé par l'auteur Robert E. Howard, le personnage de Red Sonja a été introduit dans la bande dessinée «Conan the Barbarian» de Marvel en 1973 avant d'avoir rapidement sa propre série.
Après Brigitte Nielsen en 1985, c’est au tour de Rose McGowan d’enfiler le string de maille et de brandir l’épée de Red Sonja sous la direction de son amoureux Robert Rodriguez selon USA Today.
Il s’agirait d’une reprise de la nouvelle adaptation du personnage de Robert E. Howard mise en route par Millenium Films et Emmett-Furla Films, le tout scénarisé par David N. White mais tout ça n’a malheureusement rien d’officiel.
Quant au projet «Barbarella» que le réalisateur devrait réaliser avec McGowan aussi dans le rôle-titre, il est mis sur glace affirme Rodriguez : «Barbarella est toujours un projet que nous voulons vraiment faire. A cause de la grève des scénaristes et un possible débrayage des acteurs, le projet a été retardé».
THE TROUBLEMAKER HUNTER
MGS4 LA FIN D'UNE SAGA, MAIS PUTAIN QUELLE FIN !!
Voilà ce qui devait arriver arriva, je viens de finir MGS4 !
Le jeu est assez court en fait, en terme de temps de jeu, mais c'est réellement une expérience cinémato-vidéoludique unique et transcendante, une oeuvre hybride à cheval sur tout ce que l'on aime et admire ici, un pur chef d'oeuvre brut, ciselé par les mains expertes d'un artiste aussi généreux avec les gamers que profond.
Sans rien dévoiler de la trame, sachez juste que le jeu s'achève par un...FILM, je ne vois pas comment appeler cela autrement, un film de plus d'une heure.
Je n'en dirais pas plus mais bordel, quel jeu !!!
bon j'y retourne j'ai un chef d'oeuvre à refaire !!!
THE SOLID HUNTER
vendredi 27 juin 2008
TONY SCOTT DAY !!!
Pour ceux qui ne le savent pas le 27 juin, aujourd'hui quoi, c'est le TONY SCOTT DAY !!!
Alors pour fêter cela convenablement, il faut au moins matter un film de tony scott sinon on est carrement pas FAN CLUB !!
Nous on est sortis en p'tite equipe acheter quelques dvds du gars qui nous manquaient, et ce soir on fait tomber !!
Pour ceux qui le savaient pas, ou qui n'auraient pas le temps, LAFANCLUB pense à vous.
Voici donc un court-métrage de monsieur Scott, AGENT ORANGE, réalisé en 2004 pour amazon.
Si l'histoire reste tres basique, le montage était déjà une prequel du style DOMINO !!
Je met egalement la partie des BMW series réalisée par TONY SCOTT, BEAT THE DEVIL.
Vous n'avez plus d'excuses pour ne pas feter dignement le TONY SCOTT DAY !!!
Beat the Devil - Tony Scott from Alex Maragos on Vimeo.
Allez bon film et HAPPY TONY SCOTT DAY TONY !!!
THE SCOTT FREE HUNTER
Hell on earth
jeudi 26 juin 2008
Tout est là
Contrôle des titres de transport
Dernière opération originale au Japon que nous ne verrons jamais en France (oui le Japon c'est mieux c'est tout !), avec le personnage d' Astroboy entièrement dessiné à l'aide de tickets de métro de Tokyo. A l'occasion de l'ouverture d'une nouvelle ligne, voici cette oeuvre d'une taille de 3.2 x 2.1 mètres, composée de 138 000 tickets recyclés.
J
J
Super sexy Heroe
INGLORIOUS BASTARDS !
En cette lourde periode d'été, les batards semblent etre de mise.
Plusieurs projets semblent vouloir creuser ses personages que l'on aime ne pas aimer tout en kiffant un maximum on l'espere.
Apres J&G, c'est notre parrain QT qui à enfin lancé la production du film dont on ne connaissait que le nom depuis des lustres.
"Inglorious Bastard sera un film en deux parties. Le réalisateur a fait tellement de recherches qu'il sera en mesure de faire deux films, comme à l'époque de Kill Bill. Autre bonne nouvelle, il a commencé à parler de l'histoire de son nouveau long-métrage : celui-ci reprendra les bases du film de Castellari (appellé The Inglorious Bastards), c'est à dire l'histoire d'une bande de criminels transférés pendant la Seconde guerre mondiale. Un attentat nazi les libérera, et ils devront se surpasser pour rejoindre la Suisse, quitte à combattre les Alliés et les Nazis.
Les dernières rumeurs parlent de deux parties mais à propos de 2 histoires complétement différentes, mais avec les mêmes acteurs. Information à prendre au conditionnel. Toujours aucune idée des acteurs (même si Michael Madsen a affirmé jouer dedant), mais Tarantino a annoncé que, à la différence de ses autres films, il choisira les acteurs en fonction de l'histoire, et pas l'inverse. "
source: " tarantino fiction"
THE BASTARDS HUNTER
mercredi 25 juin 2008
épisode 4
Indiana Jones and the City of the Gods.
Deux voitures Hot Rod années 50 font la course en plein désert. Ils passent en trombe devant un diner. Leurs course poursuite soulève un nuage de poussière. Deux hommes, plongés dans un moteur de camion toussent. L'un d'eux grogne après les gosses coupables de les avoir recouvert de poussière. L'autre s'exclame amusé "des gosses américains! ils s'amusent. Tu devrais en faire autant Indy!". Indiana Jones et son compagnon, Yuri, un russe, rentre dans le diner. Ils discutent autour d'un Burger des bons côtés de l'Amérique. Une bouffe entre anciens pote. Plus tard, Yuri demande à Indy de lui prêter son camion. Ils se disent au revoir, ils ne reverront jamais. Indy part de son côté, à cheval. Il flane, se ballade dans le désert. Il campe, chante des chansons seul au coin du feu. Pendant son périple, du haut d'une montagne, il voit un convoi de voiture rouler à toute vitesse dans le désert. Avec ses jumelles, ils reconnaît son camion. Yuri mène une expédition. Inquiet, Indy les suit. Ils vont jusqu'à une base américaine en plein désert. Des soldats russes déguisé en GI pénètre dans la base. Indy se faufile, et découvre que des soldats américains sont inconscients, attachés et baillonnés. Yuri et ses hommes viennent récupérer une caisse dans laquelle il prennent un sac de boule de bowling. Indy guette la scène discrètement. Il a pris un uniforme de GI. Yuri pose le sac dans un camion et ordonne à ses soldats de prendre la route. Mais Indy débarque, vole le camion. Course poursuite dans le hangard. Indy ne parvient pas à s'échapper. Après une bagarre homérique, il est capturé. Il regarde Yuri et lui demande "pourquoi?". Il vient de comprendre que Yuri est un espion russe.
Indy est laissé en plein désert. Une alarme retenti. Il court et se retrouve dans un village test. Une bombe atomique va exploser. Il se cache dans un frigo. Boum. Son frigo est éjecté. Il sort, et se trouve face à un immense champignon atomique.
Dans une base secrète de l'armée, Indy est "nettoyé" des radiations et malmené par des agents du gouvernements pendant un interrogatoire. Il le soupçonne d'être un agent double.
Indy, de retour dans son université est renvoyé, puis surveillé 24h/24 par des agents fédéraux. Il va chercher ses affaires dans sa classe. Ses élève sont tristes. Lui aussi. Il passe sa nuit dans le parc de l'université à se saouler. Il chante des vieux blues sur un banc. Il décide d'aller se ballader dans le musée de l'université. Il parle tout seul, à voix haute. Il s'arrête devant une vitrine dans laquelle il voit la statue de la fertilité, qu'il découvre au début de "larche perdue". Il prend du des cendres dans un cendrier, les met dans un petit sac de toile, brise la glace, et refait le jeu de la balance. ça merche, puis comme d'habitude, ça ne marche pas. L'alarme se déclenche. Indy part en courant et tombe sur le gardien, un vieux noir. Le gardien lui fait la morale, lui dit qu'il pue l'alcool à cent mètre. Il lui dit de remettre l'idole à sa place et qu'il fera comme s'il n'avait rien vu. Un agent qui le surveillait arrive. Il lui propose de le ramener chez lui. Mais l'agent est abattu par un petit homme pâle au visage balafré. Indy a déjà vu cet homme avec Yuri, dans la base secrète. Poursuite et bagarre avec l'homme sur le toit du musée.
L'homme tombe. Indy récupère sur lui une clé de consigne, pour la gare central de NYC.
Toujours pendant cette même nuit, Indy passe chez lui. Il se prépare ses affaires. Son blouson, son chapeau, son flingue etc... . Son père arrive, en robe de chambre. Henry Sr le sermonne, lui dit que fuir ne sert à rien, qu'ils arriveront à l'innocenter. Ils s'engueulent. Indy lui explique la scène du musée. Henry commence à comprendre. Les sirènes de la police commencent à siffler dans le quartier. Indy fuit, son père feint de ne pas l'avoir vu quand les policiers le questionne.
Indy récupère des documents et un sac de boule de bouwling dans la consigne. Une note lui indique que la personne qui devait passer récupérer ces affaires a rendez-vous dans un hôtel avec un homme.
Arrivé à l'hôtel, Indy ouvre le sac de bowling. Il trouve un crâne de cristal (de taille humaine). Il plonge son regard dans les globe vide du crâne. Il est hypnotisé. Un homme frappe à la porte. Il donne des indication à Indy, pensant que son interlocuteur est un autre homme, mais qu'il n'a jamais vu. Indy prend les informations, le billet d'avion et le faux passeport. L'homme lui dit que leurs employeurs l'attendent au Peru.
L'avion décolle. La ligne rouge et la carte, dans la tradition des Indian Jones nous amènent au Peru. Dans un Hotel de luxe, Indy, en costume, sirote un Martini. Toute une population de riches voyageurs, du Cheik à l'espion se diverti au son d'un orchestre de jazz. Un femme arrive, de dos. Indy se retourne. Marion Ravenwood! Ils s'engueulent, ne comprenant pas ce que l'un et l'autre font là. Indy explique qu'il transporte un objet pour un commanditaire. marion est envoyé par ce commanditaire. On apprend qu'Indy n'est plus avec la chanteuse Willie Scott (Cate Kapshaw). Elle l'a laissé pour aller à Hollywood dans l'espoir de devenir une star. Elle a au passage épousé une espèce de réalisateur à succès.
Le lendemain, ils passent devant le président du peru, à son palais. L'expédition que doivent rejoindre Indy et Marion doit recevoir l'autorisation officielle du président. Le président, gros et megalo, leur donne.
Il prennent un avion, piloté par un pilote du président. Un autre avion arrive et les attaque. c'est Yuri. Folle poursuite.
Ils attérissent en catastrophe. Il rejoignent le campement. L'expédition est dirigé par un chercheur bulgare. Indy apprend horrifié que c'est le mari de Marion. Peter.
Yuri va trouver le président pour réquisitionner des hommes et du matériels, incriminant l'expédition d'Indy. Il dit au président qu'il sont sur les traces de la cité des Dieux.
Indy et Marion n'arrête pas de se chamailler. L'expédition commence à traverser la jungle. Des chercheurs de toutes la nationalités les accompagne. L'un d'eux est assassiné dans son sommeil. Les plans et cartes, avec les notes d'Indy (qui passe pour le guide, le rôle que devait tenir l'homme qu'il remplace) ont disparus. Un des hommes a trahi. De Plus, le mari de Marion transporte une cage sur un camion. Indy ne sait pas ce qu'il y a dedans.
Plus tard, Indy découvre que la cage renferme un homme au visage livide, nu, avec des cheveux longs trainant sur son visage. Indy le reconnaît, c'est Vernon Oaxley, ancien collègue de son père, porté disparu dans sa quête de la cité des dieux. Le mari de Marion l'a recueilli dans un cirque, où l'on éxibait "l'homme qui est revenu de la cité des dieux". Mais Oaxley est fou. Ses phrases n'ont aucun sens. Peter compte sur lui pour le moment de la découverte.
Yuri et le président, qui s'est invité à la poursuite, attaque l'expédition d'Indy. Le traître est le chercheur allemand. Course poursuite dans la jungle, et dans les rivières. Indy, Marion et Hama (le chercheur japonais spécialiste en carte), ont le crâne.
Après plusieurs retournement de situation, Indy et toute l'équipe se retrouvent dans le temple de la cité des dieux. Indy replace le crâne à sa place, sur un squelette, dans une pièce où treize squelettes similaires reposent.
Les extra terrestes se réveillent, le temple commence à s'effondrer. Les "méchants" sont consumés par leurs fantasmes de pouvoir, la cité des rêves se referme sur eux. Indy et quelques survivant, dont Yuri (seul salaud à ne pas être mort), s'enfuient. Le temple s'effondre, une soucoupe apparaît. Mais elle ne parvient pas à prendre vraiment son envol, ses turbines lâchent et elle s'enfonce dans le sol en explosant. Tout le monde regarde le champignon atomique avec stupeur.
Indy reçoit une médaille des main d'Ike, épouse Marion, et Oaxley, sain et sauf, fait danser des fourchettes avec son esprit, pendant la soirée du mariage.
Scénario : Franck Darabont
Histoire : Georges Lucas
Après m'être farcis les 140 pages en anglais, je vous ai fait un mix, mais comme ça vous pouvez avoir une idée de ce à quoi avait pensé Darabont. C'est quand même mieux que le définitif, et les scènes d'actions sont au top. Je vous ai pas mis les motivations de tous les persos, mais elles sont très intéressantes. Les dialogues sont au poil. Bref, l'esprit Indiana Jones était là. Dommage
Snake Eyes
Deux voitures Hot Rod années 50 font la course en plein désert. Ils passent en trombe devant un diner. Leurs course poursuite soulève un nuage de poussière. Deux hommes, plongés dans un moteur de camion toussent. L'un d'eux grogne après les gosses coupables de les avoir recouvert de poussière. L'autre s'exclame amusé "des gosses américains! ils s'amusent. Tu devrais en faire autant Indy!". Indiana Jones et son compagnon, Yuri, un russe, rentre dans le diner. Ils discutent autour d'un Burger des bons côtés de l'Amérique. Une bouffe entre anciens pote. Plus tard, Yuri demande à Indy de lui prêter son camion. Ils se disent au revoir, ils ne reverront jamais. Indy part de son côté, à cheval. Il flane, se ballade dans le désert. Il campe, chante des chansons seul au coin du feu. Pendant son périple, du haut d'une montagne, il voit un convoi de voiture rouler à toute vitesse dans le désert. Avec ses jumelles, ils reconnaît son camion. Yuri mène une expédition. Inquiet, Indy les suit. Ils vont jusqu'à une base américaine en plein désert. Des soldats russes déguisé en GI pénètre dans la base. Indy se faufile, et découvre que des soldats américains sont inconscients, attachés et baillonnés. Yuri et ses hommes viennent récupérer une caisse dans laquelle il prennent un sac de boule de bowling. Indy guette la scène discrètement. Il a pris un uniforme de GI. Yuri pose le sac dans un camion et ordonne à ses soldats de prendre la route. Mais Indy débarque, vole le camion. Course poursuite dans le hangard. Indy ne parvient pas à s'échapper. Après une bagarre homérique, il est capturé. Il regarde Yuri et lui demande "pourquoi?". Il vient de comprendre que Yuri est un espion russe.
Indy est laissé en plein désert. Une alarme retenti. Il court et se retrouve dans un village test. Une bombe atomique va exploser. Il se cache dans un frigo. Boum. Son frigo est éjecté. Il sort, et se trouve face à un immense champignon atomique.
Dans une base secrète de l'armée, Indy est "nettoyé" des radiations et malmené par des agents du gouvernements pendant un interrogatoire. Il le soupçonne d'être un agent double.
Indy, de retour dans son université est renvoyé, puis surveillé 24h/24 par des agents fédéraux. Il va chercher ses affaires dans sa classe. Ses élève sont tristes. Lui aussi. Il passe sa nuit dans le parc de l'université à se saouler. Il chante des vieux blues sur un banc. Il décide d'aller se ballader dans le musée de l'université. Il parle tout seul, à voix haute. Il s'arrête devant une vitrine dans laquelle il voit la statue de la fertilité, qu'il découvre au début de "larche perdue". Il prend du des cendres dans un cendrier, les met dans un petit sac de toile, brise la glace, et refait le jeu de la balance. ça merche, puis comme d'habitude, ça ne marche pas. L'alarme se déclenche. Indy part en courant et tombe sur le gardien, un vieux noir. Le gardien lui fait la morale, lui dit qu'il pue l'alcool à cent mètre. Il lui dit de remettre l'idole à sa place et qu'il fera comme s'il n'avait rien vu. Un agent qui le surveillait arrive. Il lui propose de le ramener chez lui. Mais l'agent est abattu par un petit homme pâle au visage balafré. Indy a déjà vu cet homme avec Yuri, dans la base secrète. Poursuite et bagarre avec l'homme sur le toit du musée.
L'homme tombe. Indy récupère sur lui une clé de consigne, pour la gare central de NYC.
Toujours pendant cette même nuit, Indy passe chez lui. Il se prépare ses affaires. Son blouson, son chapeau, son flingue etc... . Son père arrive, en robe de chambre. Henry Sr le sermonne, lui dit que fuir ne sert à rien, qu'ils arriveront à l'innocenter. Ils s'engueulent. Indy lui explique la scène du musée. Henry commence à comprendre. Les sirènes de la police commencent à siffler dans le quartier. Indy fuit, son père feint de ne pas l'avoir vu quand les policiers le questionne.
Indy récupère des documents et un sac de boule de bouwling dans la consigne. Une note lui indique que la personne qui devait passer récupérer ces affaires a rendez-vous dans un hôtel avec un homme.
Arrivé à l'hôtel, Indy ouvre le sac de bowling. Il trouve un crâne de cristal (de taille humaine). Il plonge son regard dans les globe vide du crâne. Il est hypnotisé. Un homme frappe à la porte. Il donne des indication à Indy, pensant que son interlocuteur est un autre homme, mais qu'il n'a jamais vu. Indy prend les informations, le billet d'avion et le faux passeport. L'homme lui dit que leurs employeurs l'attendent au Peru.
L'avion décolle. La ligne rouge et la carte, dans la tradition des Indian Jones nous amènent au Peru. Dans un Hotel de luxe, Indy, en costume, sirote un Martini. Toute une population de riches voyageurs, du Cheik à l'espion se diverti au son d'un orchestre de jazz. Un femme arrive, de dos. Indy se retourne. Marion Ravenwood! Ils s'engueulent, ne comprenant pas ce que l'un et l'autre font là. Indy explique qu'il transporte un objet pour un commanditaire. marion est envoyé par ce commanditaire. On apprend qu'Indy n'est plus avec la chanteuse Willie Scott (Cate Kapshaw). Elle l'a laissé pour aller à Hollywood dans l'espoir de devenir une star. Elle a au passage épousé une espèce de réalisateur à succès.
Le lendemain, ils passent devant le président du peru, à son palais. L'expédition que doivent rejoindre Indy et Marion doit recevoir l'autorisation officielle du président. Le président, gros et megalo, leur donne.
Il prennent un avion, piloté par un pilote du président. Un autre avion arrive et les attaque. c'est Yuri. Folle poursuite.
Ils attérissent en catastrophe. Il rejoignent le campement. L'expédition est dirigé par un chercheur bulgare. Indy apprend horrifié que c'est le mari de Marion. Peter.
Yuri va trouver le président pour réquisitionner des hommes et du matériels, incriminant l'expédition d'Indy. Il dit au président qu'il sont sur les traces de la cité des Dieux.
Indy et Marion n'arrête pas de se chamailler. L'expédition commence à traverser la jungle. Des chercheurs de toutes la nationalités les accompagne. L'un d'eux est assassiné dans son sommeil. Les plans et cartes, avec les notes d'Indy (qui passe pour le guide, le rôle que devait tenir l'homme qu'il remplace) ont disparus. Un des hommes a trahi. De Plus, le mari de Marion transporte une cage sur un camion. Indy ne sait pas ce qu'il y a dedans.
Plus tard, Indy découvre que la cage renferme un homme au visage livide, nu, avec des cheveux longs trainant sur son visage. Indy le reconnaît, c'est Vernon Oaxley, ancien collègue de son père, porté disparu dans sa quête de la cité des dieux. Le mari de Marion l'a recueilli dans un cirque, où l'on éxibait "l'homme qui est revenu de la cité des dieux". Mais Oaxley est fou. Ses phrases n'ont aucun sens. Peter compte sur lui pour le moment de la découverte.
Yuri et le président, qui s'est invité à la poursuite, attaque l'expédition d'Indy. Le traître est le chercheur allemand. Course poursuite dans la jungle, et dans les rivières. Indy, Marion et Hama (le chercheur japonais spécialiste en carte), ont le crâne.
Après plusieurs retournement de situation, Indy et toute l'équipe se retrouvent dans le temple de la cité des dieux. Indy replace le crâne à sa place, sur un squelette, dans une pièce où treize squelettes similaires reposent.
Les extra terrestes se réveillent, le temple commence à s'effondrer. Les "méchants" sont consumés par leurs fantasmes de pouvoir, la cité des rêves se referme sur eux. Indy et quelques survivant, dont Yuri (seul salaud à ne pas être mort), s'enfuient. Le temple s'effondre, une soucoupe apparaît. Mais elle ne parvient pas à prendre vraiment son envol, ses turbines lâchent et elle s'enfonce dans le sol en explosant. Tout le monde regarde le champignon atomique avec stupeur.
Indy reçoit une médaille des main d'Ike, épouse Marion, et Oaxley, sain et sauf, fait danser des fourchettes avec son esprit, pendant la soirée du mariage.
Scénario : Franck Darabont
Histoire : Georges Lucas
Après m'être farcis les 140 pages en anglais, je vous ai fait un mix, mais comme ça vous pouvez avoir une idée de ce à quoi avait pensé Darabont. C'est quand même mieux que le définitif, et les scènes d'actions sont au top. Je vous ai pas mis les motivations de tous les persos, mais elles sont très intéressantes. Les dialogues sont au poil. Bref, l'esprit Indiana Jones était là. Dommage
Snake Eyes
Around the World
Au fond, on ne sait pas trop ce qui nous rend tristes. Est-ce le temps qu'il t as fallu pour découvrir que nous nous sommes echappés, ou ta négligence envers nous. Le petit dino nous a bien aidé, il nous a fourni les plans de ta maison, les horaires auxquels on pouvait prendre le risque, et une copie de "l'évadé d'alcatraz", pour que nous révisions. On se fait une pizza à Brooklyn en pensant à toi.Ce soir on va à un vernissage organisé par Medicom (on a deux breakette en vue he he). Mais cette situation schyzophrénique ne pouvait plus durer.
The Bears
PS : Le troisième chogokin en partant de la droite vote FN, et Raoh arrête pas de faire des avances un de tes Jarvis. Et c'est Goldorak qui t'as chourrave tes clopes cachées.
The Bears
PS : Le troisième chogokin en partant de la droite vote FN, et Raoh arrête pas de faire des avances un de tes Jarvis. Et c'est Goldorak qui t'as chourrave tes clopes cachées.
SUMMER KILLAH !!
voilà ça nous ai tombé dessus d'un coup d'un seul !!
l'été est revenu.
La temperature à pris un coup de pression et d'un coup le portugal, la france, l'italie et la hollande se retrouvent éliminées de l'euro!
Les chinois sont au taquet et la planete s'apprette à vivre un mois les yeux rivés sur eux et les disques surchauffent.
il est temps pour le header de la fan club de passer en mode summer,voir si la temperature du blog en devient un peu plus fraiche et temps pour nous de squatter les ventilos plein pot !!
Comme disait l'autre, nous avions pourtant un si bel automne jusqu'à présent.
ça sent la mini jupe, la ben & jerry's, le monoi et les voyages.
JAPON, USA, ou ailleurs si le coeur vous en dit !
Pourquoi pas un match de volley mixte sur la plage de copacabana...
C'est les au revoirs et bon voyage avant les retrouvailles qui s'annoncent, les barbecues que l'on décape et les piscines qu'il faut surveiller.
En attendant on est toujours là et on crève de chaud !!
vivement l'hiver, qu'on parte en vacances !
the sun hunter
mardi 24 juin 2008
Pas de film GTA
Ou plutôt, pas de nouveau film GTA. Et oui, il existe déjà un film Grand Theft Auto ("Lâchez les Bolides" en français) écrit, réalisé et avec... Ron Howard ! Le film date de 1977 et pose aujourd'hui problème puisque à en croire la journaliste Nikki Finke qui a ses entrées à Hollywood, un accord aurait été passé il y a déjà plusieurs années entre Rockstar et les ayants droit du film. Un arrangement qui stipulerait qu'aucune adaptation vidéoludique ne serait faite du film (oh c'est trop bête). De même, aucun film ne serait inspiré par le jeu (mais badin). En gros, chacun reste dans son coin.
Evidemment, l'accord date d'avant GTA IV et l'énorme succès du jeu pourrait éventuellement conduire les deux parties à renégocier à grands coups de liasses de billets verts.
Smart Ass
Inscription à :
Articles (Atom)