lundi 9 février 2009

L'amour et mort




Quand je repense au film de Fincher, une chose me marque: cette oeuvre pue la mort.
Ce qui semble évident lorsque l'on assiste à la projection, prend ensuite une ampleur inattendue. Le thème, présent sous différentes facettes, est exploité à un tel degré que cela devient troublant et passionnant. Et lorsque tout ça est rattaché à ce que l'on peut (et doit) accomplir, on se retrouve face à un grand film mélancolique.
Et n'oubliez pas, il n'y a pas de règles.
On en reparle bientôt...

FatS

3 commentaires:

Charcuterie du 7ème a dit…

un film émouvant, simple en apparence mais qui fonctionne à la perfection.
Des effets spéciaux énormes mais qui sont au service du film; on a presque tendance à les oublier du coup mais c'est un putain de tour de force.
Un jeu d'acteur génial, des musiques superbes... enfin bon, un excellent film !

Anonyme a dit…

mmmmm mais oui mais non. Derrière la plastique extravagante du film, une "petite" fresque sans grand moment de grâce. C'est beau. Parfois comme une pub.
Heureusement que Brad Pitt est au top, sinon on serait pas loin de l'ennui dans plusieurs séquences.
Peut-être que Fincher n'est pas trop à l'aise lorsque son histoire n'a aucune amibiguité.

Snake Eyes

FatS a dit…

selon toi, en quoi la plastique est extravagante?
pour ma part je trouve Fincher tellement à l'aise qu'il arrive à me faire croire à cette histoire et à m'émouvoir