Finir la semaine à la bien Vol.2

Bon cette semaine deux vidéos sans rap dedans. Des petits nouveaux et de grands anciens.
D'abord You! avec "I hate you", bon morceau bien énervé et le chanteur qui se prend un peu pour les Rapture à lui tout seul. Le clip est pas mal, la grande claque c'est l'effet complètement réussi !
Pour Depeche Mode c'est toujours la même histoire et c'est pour ça qu'on les aime. Un morceau, "Wrong" bien moite, bien sexy, bien DM quoi. Le clip est superbe, comme une scène de film échappée de sa bobine. Et une odeur de "The game" de Fincher qui plane...
Enjoy.



I HATE YOU! - YOU! from YOU! on Vimeo.

Depeche Mode - Wrong Video Clip
par Mightybaut

J.

Pimp my War

Non, rien, je voulais juste signaler que Lucas devrait prendre de la graine plutôt que de sortir une quatorzième réédition d'un Clone Trooper rose bonbon et de voir ce que des fans arrivent à faire en détournant ces objets.

Sinon, j'ai bien peur que cet at-at soit parfaitement opérationnel !





Mortadelle en mode ghetto blaster !

Ne rien attendre de toi.

L'avantage d'un film que l'on attend pas (mais alors pas du tout) c'est qu'on ne peut être que surpris, agréablement si on a de la chance, au pire on s'en fout, et on l'oublie le temps d'un chewing gum à la sortie de la salle parce qu'on a souvent mauvaise haleine après un film.
C'est le cas de "Wolverine", Marvel s'étant fait le spécialiste du torpillage de franchise inrattable. Je n'attend pas leurs films.
On vérifie ça bientôt.
En attendant on attend rien.



J.

New Inglorious

Allez encore un !





J.

UP !

Les images ont la parole...






J.

Ennemi public

Nouvelles photos du prochain Michael Mann. Futur classique. On rappelle le casting : Christian Bale, Johnny Depp, Stephen Dorff, Marion Cotillard (mmmouais), Billy Crudup, Giovanni Ribisi, John Ortiz, Leelee Sobieski... . Maîtrise absolue du sujet en perspective, oui, parce que c'est l'histoire d'un agent fédéral (Bale) qui court après un braqueur (Depp). Ce braqueur est John Dillinger, une des plus grandes figures du crime américain.












Sonny

Gran Eastwood

Dire que Clint est de retour serait assez faux car il n'est jamais réellement parti... Hier soir je l'ai joué à la Flo, je suis allé vierge de toute bande annonce ou toute critique voir le dernier film du vieux cowboy.

Walt Kovalsky est un vielle homme brisé à l'âme noire, il a fait la guerre de Corée et porte encore un fardeau de culpabilité, en ce sens il ressemble un peu à son personnage de William Munny dans Impitoyable. Un héros vieux et fatigué donc, mais un héros quand même.
Ici Clint signe un film d'amitié et de vengeance (ouai quand même) où les pistes sont brouillées; ou le racisme latent du personnage est plutôt perçu comme un acte de défense et donne lieu à des joutes verbales assez drôles (polak vs rital vs bridé). Alors, non vous n'irez pas voir un remake d'un "Justicier dans la ville" mais un film plus en finesse, un bon Eastwood, un grand Eastwood, un putain de bon film !


Mortadelle qui veut que ce pélo soit immortel !

LES OSCARS 2009 VOLUME 1

Les Oscars Vol.1.






La Fan Club

Alien Love Affair

Parce qu'il est bien au chaud dans notre coeur, et qu'il est une exceptionnelle représentation du Mal et de la pureté au cinéma, Alien, le monstre suisse-allemand de Giger a le droit à sa spéciale, dimanche soir sur le 102.2 Radio Canut.

let's rock!



Hicks

Ultimate Collector !

499$, il faut les sortir mais au final ça donne ça:



Mortadelle

Minutemen, paye ta pièce !

A l'occasion du film, le site officiel des Watchmen (oui encore !) sort un jeu en flash à l'ancienne... une sorte de Street of Rage du pauvre mais que vous devez essayer ICI !!!



Mortadelle

Les Oscars : le palmarès

Voici le palmarès des Oscars, de nos Oscars, des VRAIS Oscars, ceux de La Fan Club.

Meilleur Film :

The Dark Knight, de Christopher Nolan

Meilleur réalisateur :

Ethan & Joel Coen, No Country for Old Men

Meilleur acteur :

Heath Ledger, The Dark Knight

Meilleur actrice :

Gwyneth Paltrow, Two Lovers

Meilleur scénario :

Ethan & Joel Coen, No Country For Old Men

Meilleure Musique :

Hans Zimmer & James Newton-Howard, The Dark Knight

Meilleure photographie :

Roger Deakins, No Country for Old Men

Plus grande déception :

Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal

Meilleurs effets spéciaux :

Hellboy 2

meilleur acteur dans un second rôle :

Paul Dano, There will be blood

Meilleure scène d'action :

Combat final, Hellboy 2

Vous pouvez revivre cette soirée mémorable en écoutant le podcast de l'émission.


À l'année prochaine les geeks.





Sonny

Burn Hollywood burn !

C'est la saint Fan Club.
Et oui comme tous les ans La Fan Club décerne ses Oscars. Les vrais. Pas ceux de cette vieille catin Hollywoodienne remplit de foutre jusqu'à la gorge, même si au final on l'aime bien cette vieille rentière de bistro. Non, nous on vient rendre nos prix qui ne valent rien et tout à la fois, au top gun des bastards, aux meilleurs enfoirés du cinéma, à l'élite de la péloche !
Evidemment ça va s'embrouiller, ça va défendre sa chapelle à coup de punchline assassine, mais ça va aussi se marrer cher !
Alors ce soir à partir de 22h c'est la guerre de l'amour sur Radio Canut (102.2 sur Lyon ou sur le net), viens écouter la crème de la pop culture en directe, et si tu fais pas ça ben c'est qu't''es pas d'chez nous...
Allez, prend une arme et viens grossir nos rangs !

La Fan Club.

happy birthday Hans!

C'est aujourd'hui un jour crucial pour l'humanité. Le meilleur méchant de toute l'histoire du cinéma, Hans Gruber a 63 ans. Enfin c'est surtout Alan Rickman, son génial interprète, qui a 63 ans. Pour les plus jeunes, il restera le professeur Rogue, personnage mythique de la saga Harry Potter. Mais pour nous, il sera Hans, à tout jamais. Le voleur de génie. Le roi du casse élégant. Celui qui compte jusqu'à trois, pas jusqu'à quatre.

On parie qu'il fête ça en John Philips, de Londres?




Sonny

finir la semaine à la bien.

Pour finir cette semaine en fanfare, 2 clips, rien à voir, pas le même style mais grosse saveur quand même. D'abord B2O qui revient avec une ambiance bien quartier, un beau noir et blanc, des mouvements de caméra, des muscles, de la testo, on sort les pecs quoi ! On sent que ça recentre le débat et qu'on repositionne l'image du garçon...
Et puis le clip de Kid Cudi par notre So Me national, toujours de l'anim mais pas pareil quand même, moins fun qu'il n'y parait et un morceau putain de bien frais malgré l'impression de gueule de bois de lendemain de fête pas terrible qui sort de ce truc.
Et toujours L.A. pour nous faire rêver d'un ailleurs intouchable.

kid cudi - day 'n' nite
envoyé par 75_prod

Enjoy or die.

J.

Inglorious Posters !

Mortadelle

LA NEWS DE L'ANNEE ?

Et oui est-ce la news de l'année ?
Je vous laisse la putain de surprise.
Une sorte de fantasme d'ado qui devient vrai !
Moi j'en ai des frissons...
La vie ça tue !

Putain de merde !

J. porteur de bonheur pour les vrais.

Un jour comme un lion

Que sait-on vraiment de Mickey Rourke? Qu'il était programmé pour être le nouveau James Dean, la relève de Brando, l'acteur sulfureux capable de tout jouer. Il aurait pû devenir le De Niro de Cimino. Il fut une star des années 80, une belle gueule de poster pour midinettes en fleur. Les rôles mythiques se succèdèrent rapidement, de Rumble Fish à Year of the Dragon, Barfly, Angel Heart, 9 semaines et 1/2. Rourke devenait bankable, jouait pour les plus grands, refusait des projets destinés au seuls pensionnaires de la "A list" hollywoodienne. Il partage avec Brando une caractéristique. Il est incontrôlable. Lassé d'être le bel étalon de service, il enchaînera mauvais choix artistiques et personnels pour détruire à coup de masse l'image d'hidalgo qui lui colle auxbasques. On peut dire que le début de son agonie commence avec Marlboro Man et l'Homme aux santiags (déjà le titre VF en impose), aux côtés d'un Don Johnson qui lui ne pourra jamais se défaire de Sonny Crockett. Mauvais films, dillétante dans son jeu, retour à la boxe en semi-pro, Rourke prend tout le monde à l'envers, se grille avec tous les studios et ne tourne que dans des films de secondes zones (bon, Mazz et moi-même adorons Double Team, mais c'est pas exactement pour de bonnes raisons). Qu'est-il passé par la tête de cet acteur génial, instinctif et surtout doué, comme peu le sont. Las, on se repasse ses classiques des années 80, où son Harry Angel (Angel Heart) mélancolique nous mit une grosse claque, où son Stanley White raciste et vindicatif marquera les personnages de flics borderline. Comment l'interprète de Barfly en est arrivé là? Son Barfly/Buckowsky, d'ailleurs, ressemble à s'y méprendre à ce qu'ambitionne d'être Rourke, à l'extrême. Une baderne alcoolisée dépressive au bout du rouleau. On ne sait pas trop s'il décide de se refaire une santé artistique ou si les réalisateurs qui vont le contacter ont besoin d'un mec cramé, avec une histoire suffisament lourde. Rourke petit à petit refait surface dans des projets plus à sa mesure. À l'image de Sean Penn qui appelle Bronson pour Indian Runner, Rourke apparaît dans le Buffalo 66 de Vincent Gallo, film sur l'Amérique des ratés, des rêveurs. Coppola, avec qui il avait bossé sur The Rainmaker l'année d'avant, n'a plus la côte suffisante (un putain de comble quand même) pour relancer logiquement Rourke en orbite. Mais Mickey en a-t-il envie... . Il retourne à quelques bisserie et commence lentement à écouter des hommes qui lui apportent sur un plateau des projets où il pourra rester lui-même, l'électron libre, dégoûté par le système, mais bon qu'à une chose, jouer. Et si possible dans des films où il fait autre chose que baiser et tirer à coup de fusil sur des nazes de séries Z. Sean Penn l'impose dans The Pledge. petit rôle, mais important. Penn n'a pas l'habitude de bosser avec des mous, des vides. Buscemi fait de lui un travlo de taule mémorable dans Animal Factory. Il donne la réplique à un vieux briscard de sa trempe dans Get Carter (qui est nul), un mec de son calibre, un autre miraculé, Stallone. Peut-être que ces hommes lui feront voir qu' Hollywood a encore une petite place pour lui et sa gueule fatiguée, cassée, rafistolée. À condition de bien choisir les rôles. Deux hommes vont scellés ce retour "Travoltaèsque". Tony Scott et Robert Rodriguez. Domino et Sin City. Deux rôles différents et pourtant proches. Des brutes sur le retour, qui se demandent où est leur place et que leur restent-ils à faire ici-bas, sinon utiliser leurs talents. Rourke, finalement est un acteur, tellement entier, que ne pas utiliser ce que les spectateurs connaissent de son histoire serait une faute. Sans parler de score incroyable au box-office, les prestations de Rourke dans ces deux films font le job. Mickey est de retour, en marge, comme il l'a toujours souhaité, mais il est là, ressuscité. Une histoire comme on les aime, grandeur et décadence, retour de nulle part et adoubement par ses pairs (pour valider complètement ça, attendons dimanche).

The Wrestler, qu'il a écrit sous un pseudo, ne raconte que ça. Arronofsky utilise à merveille le corps cabossé de Rourke, tout en pudeur et en simplicité pour raconter l'histoire d'un homme qui s'est planté, qui regrette, mais qui a un don et qui ne sait faire que ça. Après, le film invite d'autres portraits de galériens, au creux de l'Amérique d'en bas. Celle que Rourke respecte.
Loin de tout voyeurisme, simple et direct, The Wrestler, au même titre que le Rocky Balboa de Sly, est une belle réflexion sur la célébrité et son héritage, sur la place de nos idoles et sur le temps qui passe. Sans chichi, sans blabla, juste avec le coeur. Un putain de vrai bon film.





Sonny

John Woo revient !

Oui, le grand John revient à Hong-Kong après avoir bousé un peu aux Etats Unis... Oui il revient mais avec du lourd, du très lourd puisque son prochain film "les 3 royaumes" est en train de cartonner. Un succès aussi bien populaire que critique.
Un grand film, je ne sais pas encore mais en tout cas il s'agit d'une fresque de plus de 4 heures (qui est sorti sous forme de 2 films en Asie) mais qui sera ramené à 2h30 lors de sa sortie européenne (on espère déjà un DVD version longue).

En tout cas, ça fait plaisir !



Mortadelle qui adore la programmation du Comoedia !

Watchmen meeting

Oh les geeks c'est aujourd'hui qu'il faut être à Los angeles, ou San Francisco. Et ouais Zack Snyder rencontrera le public à l'apple store de Santa monica ce soir à 19h ! Et dans le même temps dave Gibbons sera lui à celui de S.F pour la sortie imminente du film le plus attendu par la communauté geek de cette décennie !
Bon ok vu de France on a les boules, mais vu de là-bas ça doit juste être magique...

J.

This is Halloween

Une news qui sort de nulle part, un truc qui surprend... Rob Zombie n'aurait-il pas tout raconté avec sa relecture originale du mythe de Carpenter? Faut croire que non, le 28 Août, Halloween 2 sort aux USA. Ecrit et réalisé par Zombie. J'espère que Rob a une super idée pour se coller à ça, la suite c'est casse gueule et en plus là, elle était vraiment inutile. Mais le père des rejetons du diable a forcément une idée de génie derrière la tête...





Sonny

la vie la nuit.

Moi, je suis pas compliqué.
Tu m' met une fille dans une voiture pas comme les autres, une belle lumière, une ambiance eighties, un morceau qui fait voyager, qui donne envie d'aller rouler au bout de la nuit et qui rend beau, et c'est bon j' aime.


La Roux - In For The Kill from pster on Vimeo.

J.

Les Simpson passent en HD

et pour l'occasion, on change de générique.
Voici le nouveau qui est passé sur la Fox hier soir:



Mortadelle

Welcome!

Bienvenue sur Terre Minus Maximus. Bravo à tes parents.






La Fan Club

Nolan's favorite.

Christopher Nolan, le réalisateur anglais (il a la double nationalité depuis peu, mais quand même) est un peu un geek. Il a donné sa liste de ses dix films préférés. La Fan Club vous fait suivre cette information de la plus haute importance. Nous rappelons également qu'il n'est pas nominé aux Oscars dans la catégorie meilleur réalisateur.

10-Topkapi
09-The Man Who Would be King
08-Star Wars (he he, il a du goût ce mec)
07-On Her Majesty's Secret Service (le meilleur Bond, d'ailleurs Nolan aux commandes d'un Bond ça aurait de la gueule)
06-Lawrence of Arabia
05-The Hitcher (un petit slasher au milieu de tout ça)
04-Chinatown (LE scénario! On comprend la qualité des scripts des deux frangins comme ça)
03-Blade Runner
02-The Black Hole (une petite place pour la nostalegie enfantine)
01-2001 : a Space Odyssey (honneur au patron)

Du tout bon. Fan Club Approuved.





Sonny

Fin de partie en levrette

Et hop nouveau clip de Booba très bientôt sur la toile.
En attendant le teaser vient de tomber.
Bon y a rien de révolutionnaire visiblement (on est chez Chris Macari pas chez Spike Jonze donc bon), mais des fois faut juste être efficace et taper dans le sac.
Et là on a comme l'impression qu'il va y avoir des fractures de bouches ouvertes.
"Toi tu rappes en levrette", putain mais MDR celle-ci !

GAME OVER teaser
envoyé par Booba

Ouais gros.

inglorious trailer

Ah ah ah, ben si, le trailer il tombe maintenant!! Pffff, laissez tomber, Quentin a sorti la grosse artillerie, et il visera pas les cheville lui.
ça sent le classique.




Sonny

Inglorious poster

À défaut de pouvoir mettre le teaser, une pré-affiche du prochain Tarantino. En route pour l'attente d'un film, qui en dévoilant ses premières images, fait naître une attente qui deviendra vite trop longue.







Sonny

La curieuse histoire de Chev Chelios

Au delà de Michael Bay, il y a .... CRANK 2!







Sonny

"L'ultime station"

Oui "L'ultime station" sera le titre de "The taking of pelham 123". Bienvenue en France.
Donc comme j'ai pas fini de vous soûler avec le prochain classique de Tony Scott autant vous en montrer un peu non ?
Allez hop un peu de Denzel, un peu de John, 99 problems, au fond New York comme décor et Tony à la baguette pour animer tout ce beau monde...





J.

Mieux vaut tard...

...que regretter comme une putain !
Ben oui les gars, pour calmer les ardeurs sur Fincher je pose donc avec beaucoup de retard (tchou-tchou !) mon top 10 pour l'année 2008. Il y a certainement de fortes similitudes avec les listes précédemment postées mais bon, faut poser cette merde !
C'était pas facile quand même...

1- The Dark Knight (sans blague...)
2- Wall-E (faut que je me force à chialer au ciné un peu)
3- The Mist (prétendant de dernière minute en Blue-Ray car nulle part en salles, merci la France !)
4- Bons Baisers De Bruges (la vraie surprise de l'année, cours l'acheter !)
5- No Country For Old Men (à priori un seul Coen par an suffit mais bon...)
6- Into The Wild (il parait que Sean Penn n'a pas d'humour, mais il peut se le permettre l'enfoiré)
7- Hellboy 2: The Golden Army (Del Toro: The Golden Geek)
8- 3h10 pour Yuma (attention: vrai chevalier inside !)
9- John Rambo (le seul film d'auteur de l'année)
10- Tropic Thunder (Ben Stiller a pigé pas mal de trucs et même plus)

N'oublions tout de même pas ceux qui méritent qu'on les mentionne:

Les bons:

Mention spéciale "ED HARRIS !!!": Appaloosa
Mention spéciale "Coeurs brisés": Two Lovers
Mention spéciale "H-K": Mad Detective
Mention spéciale "Super-Hero": Hancock
Mention spéciale "Nostalgie": Be Kind Rewind
Mention spéciale "Monstre géant": Cloverfield
Mention spéciale "Bal des pompiers": [REC]
Mention spéciale "Maîtrise": There Will Be Blood
Mention spéciale "pas saoûlant comme prévu": Sweeney Todd
Mention spéciale "l'armure était quand même chouette": Iron Man

Les pas bons:

Mention spéciale "tu m'as trahi Judas": Indiana Jones 4
Mention spéciale "je les emmerde tes Manaks": 10 000
Mention spéciale "inutilité": La Loi et l'Ordre

Voilà les amis, j'espère que avez bien ri !

Smart Ass

Button

Fincher fils de Stanley? Mais non. Stan écrivait, adaptait et/ou développait lui même ses histoires. Son génie, sa clairvoyance et sa volonté faisait le reste. C'est pas parce que t'es un maniaque du détail que t'es le descendant du grand patron. Kubrick, c'est surtout la finesse et en même temps la profondeur dans chaque image, dans chaque scène. Jamais trop beau. Jamais trop écrit. Jamais trop sous/surligné. Pas besoin de rattacher une pub à une marque, c'est le "style" qui frappe. On ne repprochera pas à un film d'être trop beau, mais de n'être que beau.
Benjamin Button méritait bien mieux que cette fable sans relief. Son voyage dans le temps, à l'envers de toute logique et donc de l'humain souffre d'un oubli majeur de la part de Fincher. Aborder des thèmes n'est pas les développer. Trop concentré qu'il était sur les effets spéciaux fantastiques du film, David n'a pas embrasser le destin tragique de Button. Il ne l'a qu'effleuré. On pointe là un des cruels manque du réalisateur Fincher. Très à l'aise dans la technique, doué pour l'image, fort dans la gestion d'un rythme, limité quand au développement profond d'un personnage. Parce que tout ne passe pas par l'image, Fincher le visuel n'est pas encore en mesure d'aborder l'humain trop en profondeur (disons à la mesure de ses images, je suis pas en train de dire que c'est un manche). Au moment de nous prendre la main pour nous confronter aux démons de Button et Daisy, Fincher se détourne et accumule les vignettes, les petites scènes et les montages, si bien qu'on ne peut que rester sur le pas de la porte. Le tout encadré d'un symbolisme simplet qui dessert cette fresque, où tout n'est pas raté (Jason Flemyng, la mère de Button). C'est pas un mauvais film, c'est un film insuffisant.


Voilà, je crois juste que Fincher n'aurait pas dû filmer cette histoire. Trop de proximité avec le coeur, pas assez avec le cerveau, qui reste pour l'instant le terrain de chasse favori de Fincher le cérebral. Croyez bien que je suis déçu d'être déçu. Chacun son Heat quoi...

La hâche, elle sort, toujours avec passion, entre deux contradictions. Un truc bien humain ça, les contradictions.


Snake Eyes

Bien à toi.

A la base je m'étais dis que j'allais attendre de voir une deuxième fois le nouveau film de Fincher pour en parler ici. Et puis non. Après avoir entendu ce que j'ai entendu je viens donner mon point de vue tout de suite, et par le même coup raser la bêtise à sa racine. Oui je sais je suis méchant, mais c'est mon rôle aussi.
On a le droit de ne pas aimer un film, et heureusement, mais lorsqu'on se dit un peu connaisseur et surtout que l'on n'hésite pas à sortir la hache à tout bout de champ pour trancher la gorge à tout va, on essai d'argumenter un peu.
Moi d'entendre que ce film n'est qu'une pub (pour quelle marque au juste ?) et qu' une vague résonance à Amélie Poulain (qui est loin d'être un mauvais film pour le coup) me fout en rage.
Comment passer à côté des intentions de Fincher dans ce cas présent ?
Une telle histoire, celle d'un homme qui vit tout à l'envers, donc jamais au diapason des autres, m'a littéralement emporté. Avec la mort en point de mire le film s'embarque dans une peinture humaniste, jamais simpliste, toute en nuance. Là ou le réalisateur de Fight Club aurait pu sortir la grosse artillerie pour faire pleurer dans les chaumières il arme son film de retenu et de finesse. Alexandre Desplat, génial metteur en musique, en est la plus belle illustration. Dans la lignée de son précédent film Fincher redevient classique, sans être académique. Tour de force encore plus fort de sa part, le réalisateur s'efface totalement au profit de ses personnages qui portent en eux l'histoire incroyable de se Benjamin Button. On pouvait reprocher à Fincher de ne pas savoir intéresser son spectateur aux personnages, c'est désormais impossible.
Oui le film est beau, surnaturel parfois, comme dans un rêve. Est-ce que pour autant on peut le rabaisser à une pub ? NON. C'est d'autant plus drôle d'entendre quelqu'un dire d'un film qu'il ressemble à une pub (mais pourquoi au fait ?) quand celui-ci reproche sans cesse aux films français d'être laids ou encore de porter aux nues Michael Mann et Michael Bay deux formalistes qui officient également dans la publicité.
Mais nous ne sommes pas à une contradiction prêt, pas vrai ?
Benjamin Button est l'oeuvre d'un malade du détail, on imagine facilement David Fincher demander un peu plus de rouge dans une image que 99 pour-cent des spectateurs ne percevront pas, mais lui le voit et ça lui suffit pour l'exiger. la perfection, ou du moins sa recherche. Le fils de Kubrick.
La vieillesse, le temps qui passe, la mort, l'amour, le manque, l'absence, autant de sujets universels qui ne manque pas de toucher au coeur ceux qui ont vu le film, dans leur majorité du moins. Brad Pitt génial, Cate Blanchett magnifique, et ces deux destins qui ne font que se croiser, une histoire impossible. La mélancolie à l'horizon. Savoir que rien ne reste figé et que tout s'en va. Ici encore plus vite. Voir l'être aimé mourir dans ses bras sans qu'il sache qui vous êtes. L'horrible vérité d'une fin atroce.
Alors si tu n'as vu dans tout ça qu'une vulgaire publicité j'en suis désolé. Désolé pour toi, désolé que tu n'ai pas ressenti le souffle de tout ce que ce film emporte, l'amour comme la mort.
Parce qu'au final ce film nous parle d'un homme et d'une femme, de ce que l'on laisse derrière soi, d'une vie pleine, remplit jusqu'à la gorge d'histoires incroyables, et d'une histoire d'amour qui n'a pas eue le temps de devenir celle qu'elle aurait dû être.

Point de cabale ici, juste des arguments.
Sans rancune l'ami.

J.

On veut des classics !

Le prochain chef d'oeuvre de Tony Scott dévoile son affiche.
Ce film c'est déjà Denzel VS John, alors autant dire que le classique est en route !
The 80's are back !



Ouais gros.

Beverly Hills!

Brett Ratner fera le Flic de Beverly Hills 4. Je préfère l'annoncer cash. Ben quelque part c'est pas choquant. Ratner c'est le bon faiseur à l'ancienne, mais contemporrain donc pas franchement notre tasse de thé. Rush Hour c'est naze, mais c'est presque dans l'esprit. C'est le presque qui fait la différence. N'est pas 80's qui veut. Peut-être que Murphy va le l'inspirer le Brett. Le retour d'Axel Foley, c'est une bonne nouvelle. Le retour de Murphy dans un bon film le serait aussi. Après, vous savez ce qu'on pense des n° 4 par ici...





Sonny

prochaine sortie : Farmington

Voilà, The Shield, LA saga policière télévisée la plus intéressante depuis NYPD Blue vient de prendre fin (depuis quelques mois aux US et depuis hier pour moi). Depuis 2002, je n'arrête pas de saoûler le Fan Club avec ce spectacle dramatique qui se déroule dans les rues les plus dures de Los Angeles. Le quotidien du Bercail, commissariat pilote, avec ses flics intègres, ses suiveurs, ses arrivistes et ses pourris. Bon, je rentre pas dans les détails. Mais le travail apporté aux personnages est méticuleux et représente le principal atout d'une série réussi. On comprend les plus motivations les plus indéfendables, après s'être attaché à des ordures et des héros. Que ceux qui n'ont pas encore plongé dans les rues de Farmington se précipitent. Tout le bestiare du Hood et du polar haut de gamme vous attend, dans ce que James Ellroy doit certainement détesté (le jaloux de mauvaise foi), alors que c'est l'oeuvre la plus proche de ses romans.
Je suis triste. Comme quand des potes partent loin et que tu les reverras plus. C'est souvent l'effet que fait une série quand elle se termine. Tellement attaché aux personnages qu'ils finissent par faire un peu partie de ton quotidien.

Bravo Shawn Ryan pour cette oeuvre merveilleuse et complètement malade, bravo pour l'absence totale de concession. Pour le casting, bravo à tous, géniaux du débuts à la fin. Ils ont tous réussis à donner corps , souffle et âme à des gens torutrés et perdus. Pffff, on reverra pas ça avant longtemps.





Sonny Vendrell

L'amour et mort

Quand je repense au film de Fincher, une chose me marque: cette oeuvre pue la mort.
Ce qui semble évident lorsque l'on assiste à la projection, prend ensuite une ampleur inattendue. Le thème, présent sous différentes facettes, est exploité à un tel degré que cela devient troublant et passionnant. Et lorsque tout ça est rattaché à ce que l'on peut (et doit) accomplir, on se retrouve face à un grand film mélancolique.
Et n'oubliez pas, il n'y a pas de règles.
On en reparle bientôt...

FatS

Illustre illustrateur...

Bon, pfff Star Wars... encore !!!
Non mais là c'est du bon ! L'illustrateur s'appelle Michael Flemming (aucun lien) et nous fait des dessins super kawai de Star Wars. Perso je trouve que ça ressemble un peu à du John Kovalik (aka Mr Munchkin).

http://www.tweedlebop.com/







Mortadelle

La veste qui fait mal !

On entre dans le domaine de l'immersion, dans le jeu vidéo qui fait mal... pourquoi ? Tout simplement parce que les japonais ont inventé cette veste qui fait sentir les impacts de balles pour tous les jeux compatibles (call of duty 2 entre autre).
Rassurez vous, vous ne saignerez pas mais les chocs sont suffisamment forts pour que vous ayez mal !
Le casque du même type sera bientôt disponible (il parait qu'on le trouve déjà à Akiabara).

dispo ICI !




Mortadelle

EvilDead, la comédie musicale... vous connaissiez ?

Parce que moi non...



Mortadelle qui a vu la nouvelle vidéo de Rising Dead 2 "Las VEGAS" !

Le trailer de la honte !

Fincher, Scorsese, De Palma, Coppola... les héritiers de frères lumière en quelque sorte et aux antipodes, il y a ça:



Mortadelle

LAFANCLUB FM SERIES TÉLÉ !!! LA BONNE !!!

L'émission qui introduit les séries télé, a suivre ce week end !
dimanche soir 22h !
comme d'hab !

LA FAN CLUB FM : SÉRIES TÉLÉ INTRO !!!

peace

THE WIRED HUNTER

Barbecues every day !

Ça fait combien de temps qu'on a pas vu une légende du rap west coast à Lyon ? Non je parle pas de snoop, je parle d'une vraie légende, un truc que t'aurai jamais pensé voir ici, un mec qui pèse dans tes souvenirs de cours d'école ! Un mec qui a joué dans un Walter hill... Ouais apparemment on va pouvoir aller hurler notre amour à Ice Cube le 4 avril pour le festival l'Original !
6.9 la trik ou pas ?



ouais ouais ouais...

Escape From...

FatS

Release the beast !

C'est désormais official Watchmen, le futur chef d'oeuvre de Zack Snyder, sortira le 6 mars aux US et... le 4 chez nous !
Pour une fois nous auront la primeur du fromager !
Moi je dis FanfClub rassemblement pour aller voir se film TOUS ensemble avec soirée spéciale à clé !
Qui me suis ?
Et voici l'affiche finale qui déboîte et que nous auront bientôt tous chez nous...



Ouais J.