samedi 17 octobre 2009

Edge of Darkness




Gibson n'est jamais meilleur que seul contre tous. Il n'est jamais plus fort que lorsqu'il est animé par la vengeance. Il est insurpassable dans la violence froide. Pourquoi? Parce qu'il vient des 80's, cette période magique pour le film d'action sans limite. Riggs est moins drôle que McClane. Il n'a pas le bon mot, le rictus, du moins dans les deux premiers. La véritable question est, ces ingrédients ont-ils encore leur place dans les films d'aujourd'hui, surtout après la claque Man On Fire signée Tony Scott (et un peu le Taken avec Liam Neeson). Martin Campbell a pour mission de nous ramener notre Mel, dans Edge of Darkness, polar basique où Gibson essaie de retrouver les assassins de sa fille. Eh eh eh, ça vole haut non? Mais, car il y a toujours un mais, Campbell n'a pas flanché avec Bond et son univers ultra balisé. Gibson fait partie de ces stars où tout est calibré, calculé, pesé... . Une icône quoi. Sur nos écrans l'année prochaine.






Sonny

2 commentaires:

THE HUNTER a dit…

On attends cela impatiemment alors.

THE HUNTER

Mazz a dit…

Les SWAT sont toujours là, et les machins sont lourds...

"Meeeeeeel !!! Chuis tombééééé !!!"