1h40 du matin, "la triplette du dimanche" se réunit un mercredi soir pour un thé de l'amitié avec gâteau à la noix, Princes et autre brioche maison. Ça zappe tranquillos à la recherche de "Miami Vice". Et puis là ça tombe sur un film hypnotique. Hypnotique parceque c'est du "never seen before". Un OVNI. "Gwendoline". Un film de Just Jaeckin avec Tawny Kitaen, Brent Huff et Zabou. Un truc sans queue ni tête qui part d'une sorte de bordel asiatique pour arriver nulle part. Tout est pourri mais tu sens qu'il y a des moyens. L'histoire ne tient pas debout, d'ailleurs on a rien compris, même si on a éssayé entre deux fous rires (pas à cause du film). Le film navigue entre un Indiana Jones bidon et une Barbarella frelatée. Un peu érotique sur les bords, avec notamment une scène ou tout le monde se caresse puis finit en rigolade généralisée, tout ça dans une cellule en bambous. Viennent les amazones, dont la chef est jouée par Bernadette lafont. Et là on se dit qu'on est tout au fond, ou tout en haut, on ne sait plus.
Bon tout ça pour dire que des pépites dans ce style on en redemande à cette heure-ci, merci à Jean Pierre Dionnet et son mythique cinéma de quartier qui nous livre les meilleurs perles depuis plus de 15 ans.
Et merci à moi même de pas me coucher trop tôt pour voir ça.
Ah oui j'oubliai ! La musique du film est de Pierre Bachelet...
B.V
1 commentaire:
C'est vrai que pendant 1h30 on était dans une sorte de 4ème dimension où Indy aurait pû fouetter Kathleen Turner qui se goderait avec le diamant vert tout en se faisant lécher le cul par Allan Quatermain...
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