Ça m'a quand même l'air bien complexe comme tournage...
B.V
vendredi 30 novembre 2007
Au bout du fil
Nouveau clip de Michel Gondry pour Bjork, et apparemment ça va être bien tordu, comme d'ab chez Michel.
Ça m'a quand même l'air bien complexe comme tournage...
B.V
Ça m'a quand même l'air bien complexe comme tournage...
B.V
I'm BAAAAAT-MAAAAAAN....
Dans la série "y-en a qui savent occuper leur week-end", cet espagnol d'italien qui a réalisé le Albator, il a posé !
Après je suis pas réalisateur, je sais pas tenir une caméra mais on sent qu'il y a de l'envie dans ce qu'il fait (1) ... avec plus de moyens ça pourrait être très exitant (surtout qu'il est super fidèle quand à ses adatpations, le Slaine et le Batman, c'est de la bd filmée !)
Donc, les présentations étant faites, voici:
Un Batman
Bad Boy (de Miller, faut-il le souligner)
Et Slaine (de Simon Bisley... sans doute la meilleure adaptation de tous ces trailers). A la fois je suis pas objetif, c'est une de mes bd préférées.
http://www.miguelmesas.com/fanfilms.htm
50% mortadelle, 50% gras, 100% charcuterie
(1): je me sents obligé de préciser ça vu que j'étais tombé sous le charme de la ba du Punisher de David Sarrio qui s'était faite traiter de bouse par un membre éminent de la F.C.
Après je suis pas réalisateur, je sais pas tenir une caméra mais on sent qu'il y a de l'envie dans ce qu'il fait (1) ... avec plus de moyens ça pourrait être très exitant (surtout qu'il est super fidèle quand à ses adatpations, le Slaine et le Batman, c'est de la bd filmée !)
Donc, les présentations étant faites, voici:
Un Batman
Bad Boy (de Miller, faut-il le souligner)
Et Slaine (de Simon Bisley... sans doute la meilleure adaptation de tous ces trailers). A la fois je suis pas objetif, c'est une de mes bd préférées.
http://www.miguelmesas.com/fanfilms.htm
50% mortadelle, 50% gras, 100% charcuterie
(1): je me sents obligé de préciser ça vu que j'étais tombé sous le charme de la ba du Punisher de David Sarrio qui s'était faite traiter de bouse par un membre éminent de la F.C.
jeudi 29 novembre 2007
Triste hiver
Il était un des artistes les plus novateur, décalé, fou, et finalement intéréssant de ce que certains appelle la variété française. Il faisait parti d'un des très rares groupes qui savent s'élever dans l'inconscient collectif tout en gardant les pieds sur terre, et même disont-le : en restant underground !
Il nous a quitté hier alors qu'il nous avait offert un bel album avec son acolyte de toujours il y a quelques mois, et qu'ils devaient ensemble brûler l'Olympia hier soir.
Une saloperie de cancer en a décidé autrement.
Comme on dit chez nous : "Parti trop tôt".
Repose en paix Mr Chichin.
B.V
Il nous a quitté hier alors qu'il nous avait offert un bel album avec son acolyte de toujours il y a quelques mois, et qu'ils devaient ensemble brûler l'Olympia hier soir.
Une saloperie de cancer en a décidé autrement.
Comme on dit chez nous : "Parti trop tôt".
Repose en paix Mr Chichin.
B.V
Albator a gagné la coupe du monde...
Allez je le mets aussi sur la Fan Club...
Bon, ils sont forts ces ritals (edit: et non, they are spanish)... Après avoir fait un trailer de Goldorak, ils s'attaquent à un autre pan de notre enfance:
Mortadelle
Bon, ils sont forts ces ritals (edit: et non, they are spanish)... Après avoir fait un trailer de Goldorak, ils s'attaquent à un autre pan de notre enfance:
Mortadelle
mercredi 28 novembre 2007
LA BATAILLE DES PLANETES !!!
ça débarque en 2008, ça débarque en CGI et on espere que ça va débarquer en mode !!!
On aurait esperé un film live apres les tres bonnes pub qui avaient été faites !! dommâge.
on attends ça quand même....
Sourire d'Avril
Mais cette photo du Joker je la veux en poster direct !
On est dans du "rire ou mourir" là, si ça se trouve on est pas à l'abrit du chef d'oeuvre...
On est dans du "rire ou mourir" là, si ça se trouve on est pas à l'abrit du chef d'oeuvre...
Le retour de l'homme arbre
Parait qu'il y a un nouveau personnage Marvel.
Mais c'est quelle série ? je remet pas...
B.V
Mais c'est quelle série ? je remet pas...
B.V
lundi 26 novembre 2007
Solomon Kane
...c'est d'abord un recueil de nouvelles centrées sur le héros qu'est Solomon Kane... une sorte de justicier mi-Conan, mi-Batman.
C'est aussi quelques bd européenes et plusieurs Comics.
James Purefoy (Marc-Antoine de la série ROME, celui-là même qui pine tout le temps) incarnera le personnage.
Bat-Mortadelle.
C'est aussi quelques bd européenes et plusieurs Comics.
James Purefoy (Marc-Antoine de la série ROME, celui-là même qui pine tout le temps) incarnera le personnage.
Bat-Mortadelle.
dimanche 25 novembre 2007
Le Phénix
Propos recueillis dans une récente interview:
"Je sais que mes derniers films ne me satisfont pas."
-au sujet du Parrain- "Ce film constitue un échec personnel. Il a changé ma vie et pas forcément pour le meilleur...ce succès m'a plombé, m'amenant à réaliser des grands films commerciaux quand je voulais faire des petits films artistiques"
"d'une certaine façon ce film a eu ma peau...en acceptant Le Parrain j'ai tourné le dos aux idéaux que je m'étais assignés...j'ai fait fausse route."
(mais du bonheur pour la fin) "Je dois retourner au travail.UN FILM PAR AN MINIMUM."
FatS (qui ne s'en remet toujours pas)
samedi 24 novembre 2007
D.M.C
Je m'associe et pèse de tout mon poid (certes peu important) dans cette vindicte anti-adaptation des jeux vidéos au cinéma. Je déplore également l'état des productions américaines, de plus en plus tournées vers la franchise putassière à but ultra lucratif. Ainsi oui, putain où sont nos 70's? Sans passer pour des nostalgiques amnésiques, on peut légitimement se demander où nous allons... . Même les 80's prennent une autre saveur. Les grands spectacles familiaux ont changé. Impossible de tirer la même substance des productions actuelles. Alors biensûr, les époques sont différentes. Oui le politiquement correct s'est insinué tel un virus vicieux dans tous les corps de média. Mais merde, qu'allons nous retenir? Avons nous des Parrains, des Apocalypse Now, des Dirty Harry ou des Massacre à la Tronçonneuse? Quelles seront les classiques des années 2000. Bon, on peut pas le savoir, maintenant.
Hitman, D.O.A, Silent Hill, Resident Evil etc.... . Remake de New-York 97, d' Halloween, The Fog. Bessonades et autres actionner post Matrix dégueulasses. Comics dénaturés pour cerveaux ados arrides. On en a plein le cul de tous ces projets de merde. Décision a été prise depuis longtemps au sein du Club de ne plus mettre de jetons. Continuons la résistance, car c'est bien de résistance dont il s'agit.
Bon, tout n'est pas en merde dans cette époque, mais franchement, vous n'aimeriez pas faire un petit tour de Delorean?
B XVI
Hitman, D.O.A, Silent Hill, Resident Evil etc.... . Remake de New-York 97, d' Halloween, The Fog. Bessonades et autres actionner post Matrix dégueulasses. Comics dénaturés pour cerveaux ados arrides. On en a plein le cul de tous ces projets de merde. Décision a été prise depuis longtemps au sein du Club de ne plus mettre de jetons. Continuons la résistance, car c'est bien de résistance dont il s'agit.
Bon, tout n'est pas en merde dans cette époque, mais franchement, vous n'aimeriez pas faire un petit tour de Delorean?
B XVI
jeudi 22 novembre 2007
Futurama returns
Ils reviennent !!!
C'était dans l'air depuis quelques mois, boosté par ses audiences record sur la Fox, Matt Groening et sa bande de Futurama revient pour encore plus de rigolade, et c'est tant mieux !
Si au passage canal pouvait doubler la saison qui ne l'est pas, on serait refait !
En bonus cette jeune fille bien sous tout rapport qui s'attache elle même pour ne rater aucun épisode de sa série préférée !
La pauvre...
B.V
mercredi 21 novembre 2007
YANNICK TOUT !!
Opération Frisson l'émission de Yannick Dahan a.k.a. le gourou.
La meilleure émission de cinéma du paf.
Alors oui c'est pas tout le temps objectif ! C'est subversif, de mauvaise foi et braillard !!
Oui ça reste "très très" indulgent sur les petites prods et les films de genre et par contre ça tire à boulet rouge sur les grosses machines d'Hollywood, et ça laisse pas trop de marge d'erreur aux grands réalisateurs, parce que certainement avec les moyens et le talent qu'ils ont, ils ont pas le droit à l'erreur, quand on sait que des petits gars avec beaucoup de difficultés, trois bouts de ficelles et 20 000$ réussissent à innover, créer, surprendre et parfois, à révolutionner le 7ème Art.
Une émission où il n'y a pas de rêgle, une émission fanclub donc.
Histoire de choquer un max, voilà l'émission qui traite et de American gangster et de Zodiac !
Autant vous dire que ça jazze dejà pas mal !!!
Cela se passe içi.
Chargez-le ça prend 5 minutes !!
Je vous rappelle que Là.
Vous pouvez charger toutes les émissions.
Da "le cercle" Hunta
mardi 20 novembre 2007
"T'as d'la news ?"
"Oui j'ai de la news et pas que de la bonne frère".
Bon je commence par la bonne, parce qu'après j'en connais qui vont pas en dormir...
J'annonce le retour des deux kings de notre génération : De Niro et Pacino dans le même film.
Quelques années après le chef d'oeuvre "Heat" Al et Bob reviennent dans "Righteous kill" du vieux briscard Jon Avnet.
L'histoire de deux policiers qui se mettent en mode poursuite de vigilante dans New York.
On verra bien, mais la réunion des deux plus grands acteurs de leur génération est déjà en soit un évènement, alors on croise les doigts.
Sinon ?
Ben sinon dans la série "je flingue une franchise comme un fils de pûte", je demande Terminator.
"Terminator salvation : the future begins", c'est son nom.
Mais ce qui est plus marrant c'est de savoir que tout ceci sera "mis en scène" par... Mc G. !
Oui le tacheron qui nous a déjà offert les "drôles de dames", vous savez ces films de merde qui ne méritent pas une seule seconde de mon temps.
Voilà je sais plus trop quoi dire après ça.
Ah si, Mark Walberg va jouer Max Payne, l'adaptation du jeux video pour mongol du pixel.
Oui je suis méchant, oui j'en ai plein le cul des adaptations de jeux vidéos à la con, oui je veux qu'on me rende mon cinéma des années 70 (allez... même celui des 80's) !
Merde !
Bruce Venom
dimanche 18 novembre 2007
Le Temps des Pyramides
La mode. La mode? Être en avance, en retard. Être à l'heure. Certains artistes font leurs devoirs à temps, nous proposent de partir à la découverte d'univers virtuellement vierges et nous rappellent que nous sommes après tout furieusement humains, dans nos corps et nos consiences. Et là dessus, comme un courant inarrêtable, le temps passe, ou plutôt coule. Inarrêtable ou inaltérable? Les visionnaires pensent notre présent en imaginant notre futur. Synthétisent notre passé, définissent notre temps. Par delà les limites des codes, des genres et des corps, un message se propage, touche en plein coeur l'inconsient collectif. Un message d'amour et de paix. Derrière cette utopie woodstockienne abandonnée par des artistes noyés dans un abus de substances destructrices, un désir dégagé des parasites et des illusions d'une pierre au bout de son rouleau. Le niveau de consience s'élève.
L'Artiste paie sa liberté. Ou il choisit de la vendre. Combien de pactes faustien doit-on compter dans les rangs d'un showbiz auto-destructeur? Il est facile de sucer jusqu'à la moelle un groupe qui fracasse les charts, pour mieux le laisser tomber face à une nouvelle hype. L'époque va vite, fait naître et tue aussi vite les attitudes. Un single cartonnent, le temps que ceux qui le jouent disent célebrité, ils sombrent dans l'anonymat. Les fameuses 15 minutes d' Andy. Il arrive, parfois, que les visionnaires se répondent. Il arrive parfois que le système engendre lui même un anti-virus. Il arrive parfois que la structure porte en elle le remède. Que l'hôte abrite en son sein son propre vaccin. Tel le phare guidant les navires à l'approche du port de la grande Alexandrie, certains géants bousculent les lois, afin d'imprégner la matrice d'un bug lumineux qu'on espère salvateur.
Pensé comme un concept artistique à grande échelle, l'ère robotique de Daft Punk clos sa première trilogie avec logique. Plus dur, meilleur, plus rapide, plus fort. Alive 2007 fini de jalonner le chemin sinueux et pourtant limpide du duo. Plus important que de la musique. Un symbole générationnel sans égal. Un amour immodéré des fans. Respecté, adoré, jamais fustigé. Ou plutôt si, car nul n'est prophète en son pays. La jalousie de la réussite à la française. Fidèles à une ligne de conduite que rien ne saurait briser, leur communication, pourtant outil indispensable de notre époque, est elle aussi contrôlée dans son ensemble par le groupe. La notion de frontière, autre préoccupation importante de notre espèce, se dissout sous l'universalité de leur création. Irrécupérables. Encore un affront fait à l'industrie. Personne ne sait ce que les deux anonymes les plus célèbres du Monde nous réservent. La seule certitude que nous ayons nous murmure qu'ils ne sont pas égoïstes. Leur art, parfois tortueux, fédère et interroge. Ils ne doivent rien à personne et nous donnent tout.
Merci à eux. Nos vies sont courtes. Embrassons-les passionément, avec une passion égale à celle que partage avec nous ces deux robots, le long de cette heure et quart d'introspection philosophique brutale et euphorique.
Alive 2007 est leur plus grande oeuvre. Synthèse parfaite d'une expérience qui n'en est qu'à son commencement.
Art Is Resistance.
B XVI
L'Artiste paie sa liberté. Ou il choisit de la vendre. Combien de pactes faustien doit-on compter dans les rangs d'un showbiz auto-destructeur? Il est facile de sucer jusqu'à la moelle un groupe qui fracasse les charts, pour mieux le laisser tomber face à une nouvelle hype. L'époque va vite, fait naître et tue aussi vite les attitudes. Un single cartonnent, le temps que ceux qui le jouent disent célebrité, ils sombrent dans l'anonymat. Les fameuses 15 minutes d' Andy. Il arrive, parfois, que les visionnaires se répondent. Il arrive parfois que le système engendre lui même un anti-virus. Il arrive parfois que la structure porte en elle le remède. Que l'hôte abrite en son sein son propre vaccin. Tel le phare guidant les navires à l'approche du port de la grande Alexandrie, certains géants bousculent les lois, afin d'imprégner la matrice d'un bug lumineux qu'on espère salvateur.
Pensé comme un concept artistique à grande échelle, l'ère robotique de Daft Punk clos sa première trilogie avec logique. Plus dur, meilleur, plus rapide, plus fort. Alive 2007 fini de jalonner le chemin sinueux et pourtant limpide du duo. Plus important que de la musique. Un symbole générationnel sans égal. Un amour immodéré des fans. Respecté, adoré, jamais fustigé. Ou plutôt si, car nul n'est prophète en son pays. La jalousie de la réussite à la française. Fidèles à une ligne de conduite que rien ne saurait briser, leur communication, pourtant outil indispensable de notre époque, est elle aussi contrôlée dans son ensemble par le groupe. La notion de frontière, autre préoccupation importante de notre espèce, se dissout sous l'universalité de leur création. Irrécupérables. Encore un affront fait à l'industrie. Personne ne sait ce que les deux anonymes les plus célèbres du Monde nous réservent. La seule certitude que nous ayons nous murmure qu'ils ne sont pas égoïstes. Leur art, parfois tortueux, fédère et interroge. Ils ne doivent rien à personne et nous donnent tout.
Merci à eux. Nos vies sont courtes. Embrassons-les passionément, avec une passion égale à celle que partage avec nous ces deux robots, le long de cette heure et quart d'introspection philosophique brutale et euphorique.
Alive 2007 est leur plus grande oeuvre. Synthèse parfaite d'une expérience qui n'en est qu'à son commencement.
Art Is Resistance.
B XVI
jeudi 15 novembre 2007
mercredi 14 novembre 2007
Scorpio
Voici la jaquette du director's cut de Zodiac. Pour l'instant c'est prévu en Z1...et la déception c'est qu'il n'y a que 4 min de rajoutées. Saluons tout de même l'initiative de proposer cette jaquette originale alors que la laideur et la facilité sont généralement de mise dans l'édition dvd.
FatS
mardi 13 novembre 2007
HAPPY MAZ DAY !!!!!!!!!
voilà enfin un gateau à la mesure de MAZ !!!!
ça pourrait tomber bientot !!!!????
en attendant bon anniversaire pélo !!!
DA ZOMBIE CAKE HUNTA
vendredi 9 novembre 2007
La furie et la foi.
23H00.
Jeudi 8 novembre 2007.
Lyon.
D'abord ces notes de piano sourdes et ce vrombissement de 747 qui monte des enceintes, et ces petites diodes qui viennent éclairer la sombre salle. Et puis ces cuivres qui annoncent la tempête. Le début. Le commencement. "Génésis". Justice débarque un peu à la manière d'une horde de vikings en Amérique, gros sons, grosses épées, concert bulldozer. Installés aux commandes de Valentine, Justice ressemble aux commandants des croiseurs interstellaires de l'empire dans Star Wars. "Ils sont venu pour tout razer" me dis je...
Déjà vu à Londres il y a quelques mois, le show n'a strictement plus rien à voir, passant d'une quasi simple écoute d'album sur scène à une réinvention de l'opus "†" en live. En mai dernier Daft Punk enflammait Bercy avec un concert juste incroyable, hier Justice rendait hommage à leurs ainés en offrant plus qu'un live à ses brebis : une réelle vision de ce que doit être un show électronique aujourd'hui. Evidemment les moyens ne sont pas comparables, mais finalement Justice s'accomode très bien de ce postula en utilisant à fond l'imagerie sombre et sans issue de leur musique. Le côté obscur de la force. Comme cette réinterprétation de "Never be alone", véritable moment de bravoure, taillé dans la roche de Helm et fondu dans l'adamatium. Ici le son est clairement dur, on va pas se marrer, nous sommes bien ici bien pour croiser le fer avec les deux vengeurs. On prend des coups, on nous lacère les tympans, nous brisent les rétines, et on aime ça, nymphos du beat. Justice sur scène c'est ça, une lutte, c'est à qui craquera le premier, qui transpirera le plus, qui flanchera avant les autres. Et à Lyon Justice sort vainqueur à 2 contre 2000.
Nos 2 templiers, protecteurs des lieux saints que sont nos discothèques, ferment les débats avec "Master of puppets" de Metallica, dans un assourdissant mélange de métal et d'électronique, partouze de guitares et de claviers avec au centre la "petite" Uffie qui vient règler son compte aux beats d'une voix déterminée et vengeresse, hommage au carnage. Et nous on rêve en secret de fourrer notre ipod de ce live gigantesque au mileu d'une salle qui a vue la terre s'ouvrir pour laisser passer l'enfer une heure durant.
Ce n'est qu'un début.
La croisade continue.
Bruce Venom
Jeudi 8 novembre 2007.
Lyon.
D'abord ces notes de piano sourdes et ce vrombissement de 747 qui monte des enceintes, et ces petites diodes qui viennent éclairer la sombre salle. Et puis ces cuivres qui annoncent la tempête. Le début. Le commencement. "Génésis". Justice débarque un peu à la manière d'une horde de vikings en Amérique, gros sons, grosses épées, concert bulldozer. Installés aux commandes de Valentine, Justice ressemble aux commandants des croiseurs interstellaires de l'empire dans Star Wars. "Ils sont venu pour tout razer" me dis je...
Déjà vu à Londres il y a quelques mois, le show n'a strictement plus rien à voir, passant d'une quasi simple écoute d'album sur scène à une réinvention de l'opus "†" en live. En mai dernier Daft Punk enflammait Bercy avec un concert juste incroyable, hier Justice rendait hommage à leurs ainés en offrant plus qu'un live à ses brebis : une réelle vision de ce que doit être un show électronique aujourd'hui. Evidemment les moyens ne sont pas comparables, mais finalement Justice s'accomode très bien de ce postula en utilisant à fond l'imagerie sombre et sans issue de leur musique. Le côté obscur de la force. Comme cette réinterprétation de "Never be alone", véritable moment de bravoure, taillé dans la roche de Helm et fondu dans l'adamatium. Ici le son est clairement dur, on va pas se marrer, nous sommes bien ici bien pour croiser le fer avec les deux vengeurs. On prend des coups, on nous lacère les tympans, nous brisent les rétines, et on aime ça, nymphos du beat. Justice sur scène c'est ça, une lutte, c'est à qui craquera le premier, qui transpirera le plus, qui flanchera avant les autres. Et à Lyon Justice sort vainqueur à 2 contre 2000.
Nos 2 templiers, protecteurs des lieux saints que sont nos discothèques, ferment les débats avec "Master of puppets" de Metallica, dans un assourdissant mélange de métal et d'électronique, partouze de guitares et de claviers avec au centre la "petite" Uffie qui vient règler son compte aux beats d'une voix déterminée et vengeresse, hommage au carnage. Et nous on rêve en secret de fourrer notre ipod de ce live gigantesque au mileu d'une salle qui a vue la terre s'ouvrir pour laisser passer l'enfer une heure durant.
Ce n'est qu'un début.
La croisade continue.
Bruce Venom
LAT NIGHT TWO DJS SAVED MY NITE...
Hier soir au transbordeur justice à été rendue !
Dans une ambiance de teuf survoltée, gaspard et xavier, les deux croisés les plus carpenteriens de l'électro nous ont offert un set totalement different de ceux précedemment vus.
En utilisant pas mal de leur remix et à la manière des DAFT, ils ont rejoué, réorchestré, recomposé "†" leur album, qui reussi à prendre encore plus d'ampleur en live.
Deplus ils ont reussi à ne pas me saouler avec D.A.N.C.E. en jouant la version piano enchaîné à la version mastercraft, et ça c'était pas gagné tant cette chanson m'énnerve actuellement !!
Bref du tout bon et un finish d'envergure puisque sur du METTALICA !!!!
JUST ROCK !!
Da D.A.N.C.E. HUNTA !!
Les Ruscofs n'ont rien à envier au ritals !
Parler d'un film sur la FanClub n'est pas chose aisée, on pose des vétos et on se fait tailler par des "ferme !" à répétition.
Enfin, sur le coup c'est Cronenberg donc ça devrait passer vu qu'il a un passif de bon pélo dans l'quartier.
Donc, "Les Promesses de l'ombre" est un thriller sombre qui nous plonge dans l'univers de la mafia Russe dans un Londres bien underground.
Difficile de parler du film sans en dévoiler l'intrigue tant elle s'épaissit au cours de l'immersion mais Viggo en fossoyeur froid et tatoué est exceptionnel et le p'tit français n'est pas mal non plus.
Tout ça pour dire qu'après Scorese et ses Infiltrés, il faut savoir qu'il y a un nouveau film de mafieux, froid et captivant. Les 80's reviennent et on va pas s'en plaindre !
En allant voir se film, vous n'irez plus dans des bains turc !
Flying Mortadelle.
jeudi 8 novembre 2007
AVP : REQUIEM nouveau carnage ?
Ce qui est sur, c'est que prendre deux mythes du cinema et les reunirs dans un même film n'à jamais été gage de reussite cinématographique.
En tout cas au vus de la bande annonce, ce deuxieme volet semble plus proche d'un aliens et l'affrontement tant promis dans le premier opus, semble cette fois ci réellement au centre du métrage.
A voir en tout cas l' "hybride", tellement plus reussi, que celui de alien 4 réssurevtion (mais quand ?) l'aspect graphique semble plus que correct.
Reste à esperer un brin d'acting et un scénario qui tienne un minimum le pavé, et on sera déjà bien loin de AVP premier du nom!
b
DA "le monstre pourrie à la fin de alien 4" HUNTA
Inscription à :
Articles (Atom)