C'est le grand retour d'un de mes groupes préférés, j'ai nommé Weezer !
Toujours dans la ligné de leur album bleu et vert, voici le rouge (joli pied de nez aux blacks albums en tout genre).
Le buzz est à son comble suite à la diffusion sur le net de leur dernière video "Pork and beans", vue plus de 5 000 000 de fois en une semaine (!), au delà du fait que ce titre va être un des hymne de mon été, Weezer frappe encore avec un clip au top. Réunion improbable des plus grandes stars de youtube, le groupe signe le premier blockbuster du net !
Il y avait déjà "Island in the sun" par Spike Jonze avec toute sa roulotte d'animaux, il y aura désormais "Pork and beans" avec le black karatéka, le fan de Britney, le gros qui chante, les mentos et le pepsi, et tous les autres que je vous laisse reconnaitre.
On peut déjà dire que c'est du coup la video musicale de l'année.
Et en plus l'album est terrible alors bon faites pas chier...
J
samedi 31 mai 2008
vendredi 30 mai 2008
Greetings from Buenos Aires
Une vidéo d'animation nous venant d'Argentine, qui troue le cul (y a pas d'autres mots !) et qui se passe de commentaires. Ca dure 7 minutes mais je pense que vous la regarderez sans broncher jusqu'au bout, totalement hypnotisés que vous serez.
ps: il n'y a aucune aide numérique ou trucage quelconque dans ce travail, uniquement de la peinture sur mur !
Smart Ass
ps: il n'y a aucune aide numérique ou trucage quelconque dans ce travail, uniquement de la peinture sur mur !
Smart Ass
Ils reviennent...
C'est en exclusivité sur le site intemix que Pedro Winter a annoncé que Daft Punk est en studio actuellement pour un nouvel album. C'est aussi dans cette interview que Busy P annonce la fin de sa collaboration avec les Daft en tant que manager souhaitant se consacrer pleinement à son Label Ed Banger !
12 ans de bons et loyaux services qui sonne la fin d'une époque.
Un poste à pourvoir peut-être...
J
jeudi 29 mai 2008
Quiet storm
mercredi 28 mai 2008
B.O.B.B.Y.
RZA aka Bobby Digital.Petit trailer pour le clip du magnifique "You can't stop me now". En mode Fan-Club. Prometteur.
FatS from Staten Island
Après le royaume
Dimanche soir, sur Radio Canut 102.2, La Fan Club termine ce qu'elle a commencé. Suite et fin de la spéciale Steven Spielberg. De Hook à Indiana Jones et Le Royaume du Crâne de Crystal. Steven est-il encore en forme, que prépare-t-il, comment analyser la deuxième partie de sa carrière, quels sont ses alter-égo dans le blockbuster etc... . Car si Hook marque un tournant dans sa filmographie, plusieurs films seront significatifs des nouvelles ambitions du cinéaste. Pour tout savoir et assister à un débat enflammé (et peut-être fatal pour certains) sur le Wonder Boy, ce sera dimanche soir sur les ondes de Radio Canut.
et ça c'est cadeau.
Snake Eyes, from The Club Obi-Wan
et ça c'est cadeau.
Snake Eyes, from The Club Obi-Wan
Paye tes impôts nico !
Bon ben là comme me dirait Snake Eyes ou Bruce Venom, le Hunter ou Fats, ou même n'importe quel membre de La Fan-Club, y comprit celui qui n'y connaît pratiquement rien en cinoche: "Tout est dans l'affiche mon Mazz !"
Alors qu'est-ce que c'est, j'en sais rien mais on en déduira qu'il s'agit d'un remake (sûrement décérébré) du sympathique film des frères Pang mettant en scène un tueur à gages muet. Et je parie que c'est Cage qui reprend le premier rôle. Quoiqu'il en soit, nous avons ici un sérieux prétendant au 1er prix de "l'affiche la plus nulle à chier". Mais décortiquons-là ensemble pour leur montrer à ces spécialistes du mauvais goût que nous à La Fan-Club, on est pas dupes. Alors:
-couleurs chaudes qui flattent la rétine du djeun's de base. Ben ouais parce que chaleur = été = plage, donc = "trop cool ouais mec !"
-typo super-tendance non pas par sa forme mais par son inclinaison pour faire genre: "ce film il déchire tellement que c'est même pas écrit droit sur l'affiche !"
-star bankable qui prend bien 80% du poster et qui te regarde même pas droit dans les yeux pour faire genre: "moi j'ai des mecs à buter j'ai pas le temps de te parler mec alors viens voir le film p'tit con !" (en noir et blanc par contre parce que c'est trop une bonne idée de le mettre en opposition avec la chaleur des étincelles et des flammes en bas, donc à ce stade le djeun's il se branle déjà par terre).
-position improbable du héros qui te fait croire qu'il a un gun dans la main mais en fait non il est peut-être dans l'autre main va savoir on sait jamais avec ce type c'est un grand malade il est trop fort t'sais quoi...
Comme on le disait: tout est dans l'affiche ! Je vois déjà certains d'entre vous (Snake Eyes au hasard) la contempler en faisant lentement non de la tête.
Je vous propose d'ailleurs d'observer plus attentivement le bras droit de Nicolas Cage qui ne semble définitivement pas venir de son corps. Cela nous prouve que même la mise en page a été faite n'importe comment, on atteint donc des sommets de cynisme étant donné que l'ado de base n'y verra que du feu.
Donc comme le disais Snake Eyes (une fois de plus), on a pas besoin de voir le produit fini vu que "ce film a été fait pour de mauvaises raisons".
Enfin moi au final je m'inquiète surtout pour l'acteur principal qui nous enchaîne depuis quelques années les daubes les plus infâmes alors qu'à la base il ronflait pas mal quand il le voulait.
Tiens ça me rappelle une citation qui ne date pas d'hier:
"Nicolas, mon neveu, tu n'arriveras jamais à rien dans le cinéma..."
F.F. Coppola
Reprends-toi mon grand !
Smart Ass
It's melted, It's ruined
Pour sensibiliser les américains au sujet du réchauffement climatique et de l'ouverture de l'Alaska à la prospection des compagnie pétrolière, Ben & Jerrys lance le nouveau parfum "Baked Alaska", mélange de crème glacée à la vanille, de marshmallow et de chocolat blanc !
Ils ont choisit comme symbole l'ours polaire, qui comme vous le savez, je vous le dis assez, n'a bientôt plus assez de banquise pour vivre !
Vous trouverez toutes les infos sur leur sîte et voir leur action auprès du gouvernement US.
Une bonne façon de se régaler en s'informant.
Yummy & Wake up La Fan Club !
J
mardi 27 mai 2008
Goodbye Mr P.
dimanche 25 mai 2008
Un geek tu seras.
Une nuit de 83, ou 84, je sais plus, ma vie changea. Vraiment hein, pas un de ces petits changements de rien du tout, genre tiens j'aime plus Reebok, je préfère Nike. La dimension année 80 venait de m'ouvrir ses portes en grand (même si ce dit soir le film était des seventies, bref). Je ne me remettrai JAMAIS du choc. Alors oui, je suis moins impressionnant que mes comparses du Club, je suis pas facile à suivre. Je suis d'humeur changeante (un jour j'ai des jouets, le lendemain j'en ai plus). Il est facile de se moquer de moi pour ça, moi-même je me fais bien rire. Mais mercredi soir, une remarque (pas totalement fausse, j'en conviens) m'a laissé perplexe. Le Hunter, me regardant bien droit dans les yeux (ou alors non parce que je jouais à PES contre Ash), me servi un de ses jugements dont il est le héros :"t'es pas un geek toi!". Ok, Hunter, pas au sens bave au lèvre, compulsion de l'achat et refus de la vérité de ce monde de merde. N'empêche que depuis ce soir de 83, ou 84, je sais plus, une partie de moi vie dans une galaxie lointaine, très lointaine.
Certaines choses ne changent jamais
Snake Eyes
ps : hésitez pas à cliquer sur l'image.
Certaines choses ne changent jamais
Snake Eyes
ps : hésitez pas à cliquer sur l'image.
Adaptation
Victor Mancini, drogué de sexe et incapable d’aimer, en thérapie , est figurant dans un "musée vivant". Il aime vomir dans les restaurants chics. Tout aussi étrange, voire plus, son meilleur ami s’est vu voler son enfance par une mère qui ne le reconnaît pas et pourrait être diagnostiqué lui aussi comme "gentiment fou".
Voilà le pitch de départ de la nouvelle adaptation d'un roman du génial Chuck Palahniuk : Choke.
Réalisé par Clark Gregg, scénariste d'Apparences de Robert Zemeckis en 2000, et acteur dans de nombreux films et série TV dont Iron Man (l'Agent Phil Coulson souvenez-vous) et avec Sam Rockwell et Anjelica Huston..
Superbe affiche, déjà un prix du Jury au dernier festival de Sundance, à suivre donc.
Sinon Christian Bale a signé pour 3 Terminator, et Charlotte Gainsbourg sera sa femme à l'écran (toujours dans Terminator).
Voilà voilà.
J
La leçon
C'était jeudi dernier à Cannes, Quentin Tarantino parrain officiel de la fan club venait donner sa leçon de cinéma.
Nous n'en n'étions malheureusement pas, mais heureusement internet et sa magie nous fait revivre un moment fort.
Alors avant de le rencontrer à L.A, si Dieu veut, on apprécie ici les bons mots d'un modèle pour nous tous.
Ici : http://cannes2008.canalplus.fr/emission-Lecons-de-cinema-de-quentin-tarantino-22-mai-2008.aspx
J
Je vais garer ma DeLorean. Pour toujours.
Oui, oui. Bruce Venom a porté une attaque verbale fatale à nos rêves d'enfants. Le dernier Indiana Jones, et c'est triste, est truffé de ratés, de faiblesses. Son rythme est capoteux, son écriture approximative, ses trouvailles pas toujours géniales. Le deuil des 80's divertissantes et florissantes est de rigueur. Fallait-il attendre ce faible Indy pour tirer ce constat. Je ne crois pas.
Spielberg a honoré une amitié de quarante ans, celle que lui et Georges Lucas partagent sur le sommet de la montagne Hollywood. Spielberg voulait aussi faire plaisir aux fans, aux siens et à ceux de l'archéologue. Sa carrière s'est orientée dans une direction plus sérieuse, même si toujours dans la logique de l'entertainment. La tradition du cinema americain dans son absolue noblesse. Il est bien européen (et surtout français) de vouloir donner un sens politique, philosophique ou social à des films construit autour d'une grande idée populaire. Divertir. Les studios, et même pendant la révolution des seventies, n'ont jamais appréhender le septième art différement. De Lang, Hawks, Ford, Tourneur à Peckinpah, Siegel, Coppola, Spielberg, Eastwood jusqu'à Scott, Fincher, Zemeckis, Cameron. Toutes ces carrières ont évidement des résonnances avec leurs époques. Leurs films parlent in fine du Monde. Mais ils divertissent. Cette preuve absolue d'intelligence et de respect du spectateur connaît un prolongement chez certains metteurs en scène asiatiques (Hark, To, Kitano). Spielberg en a pris plein la gueule, parce que soit disant il voulait devenir un cinéaste intello. Quelle connerie, il n'a jamais dévié de sa ligne de conduite. L'émotion. Il est un (bon) cinéaste américain typique. Quel que soit le genre auquel il s'attaque, son approche est la même. Les notables se rassuraient de le voir revenir aux commandes d'Indiana Jones. Il retournait en quelques sortes jouer dans sa catégorie. Oui mais Spielberg a depuis longtemps aboli les frontières entre les genres. Indian Jones et le royaume du crâne de cristal en porte les stigmates.
Alors Indy dans tout ça. Vingt minutes de début folles furieuses, qui malheureusement ne trouveront pas suite, même si Spielberg compense un scénario vide de souffle et de dramaturgie par ses fameux super pouvoirs de réalisateur. Les personnages sont presque tous faibles, les moments de bravoure rares comme des fautes dans un post de Mazz. Je ne fracasserai pas le reste de l'avion que Venom croît planté en plein désert. Le film m'a donné quelques émotions. Et si on veut absolument parler de sous-texte, alors une poignée de détails rappelle que Spielberg n'oublie pas les maux de l'humanité. Vous les trouverez sans forcer.
Finalement je suis plutôt heureux que Steven Spielberg, en route vers de nouvelles aventures, finisse lui même l'histoire que lui et Lucas commencèrent trente ans plus tôt. La Fan Club peut pleurer, les 80's, nos 80's sont finies. Maintenant qu'on en est sûr, mettons à profit son pouvoir. Et rien ne nous empêchera, jamais, de savourer leurs trésors et de les défendre avec acharnement. L'époque n'aurait pas dû exhumer Indy. Mais peut-être était-ce un mal nécessaire pour que l'héritage soit enfin digéré et que la nouvelle génération affronte le futur? Sans retour.
Tel est le champ de l'emprise.
Snake Eyes
Spielberg a honoré une amitié de quarante ans, celle que lui et Georges Lucas partagent sur le sommet de la montagne Hollywood. Spielberg voulait aussi faire plaisir aux fans, aux siens et à ceux de l'archéologue. Sa carrière s'est orientée dans une direction plus sérieuse, même si toujours dans la logique de l'entertainment. La tradition du cinema americain dans son absolue noblesse. Il est bien européen (et surtout français) de vouloir donner un sens politique, philosophique ou social à des films construit autour d'une grande idée populaire. Divertir. Les studios, et même pendant la révolution des seventies, n'ont jamais appréhender le septième art différement. De Lang, Hawks, Ford, Tourneur à Peckinpah, Siegel, Coppola, Spielberg, Eastwood jusqu'à Scott, Fincher, Zemeckis, Cameron. Toutes ces carrières ont évidement des résonnances avec leurs époques. Leurs films parlent in fine du Monde. Mais ils divertissent. Cette preuve absolue d'intelligence et de respect du spectateur connaît un prolongement chez certains metteurs en scène asiatiques (Hark, To, Kitano). Spielberg en a pris plein la gueule, parce que soit disant il voulait devenir un cinéaste intello. Quelle connerie, il n'a jamais dévié de sa ligne de conduite. L'émotion. Il est un (bon) cinéaste américain typique. Quel que soit le genre auquel il s'attaque, son approche est la même. Les notables se rassuraient de le voir revenir aux commandes d'Indiana Jones. Il retournait en quelques sortes jouer dans sa catégorie. Oui mais Spielberg a depuis longtemps aboli les frontières entre les genres. Indian Jones et le royaume du crâne de cristal en porte les stigmates.
Alors Indy dans tout ça. Vingt minutes de début folles furieuses, qui malheureusement ne trouveront pas suite, même si Spielberg compense un scénario vide de souffle et de dramaturgie par ses fameux super pouvoirs de réalisateur. Les personnages sont presque tous faibles, les moments de bravoure rares comme des fautes dans un post de Mazz. Je ne fracasserai pas le reste de l'avion que Venom croît planté en plein désert. Le film m'a donné quelques émotions. Et si on veut absolument parler de sous-texte, alors une poignée de détails rappelle que Spielberg n'oublie pas les maux de l'humanité. Vous les trouverez sans forcer.
Finalement je suis plutôt heureux que Steven Spielberg, en route vers de nouvelles aventures, finisse lui même l'histoire que lui et Lucas commencèrent trente ans plus tôt. La Fan Club peut pleurer, les 80's, nos 80's sont finies. Maintenant qu'on en est sûr, mettons à profit son pouvoir. Et rien ne nous empêchera, jamais, de savourer leurs trésors et de les défendre avec acharnement. L'époque n'aurait pas dû exhumer Indy. Mais peut-être était-ce un mal nécessaire pour que l'héritage soit enfin digéré et que la nouvelle génération affronte le futur? Sans retour.
Tel est le champ de l'emprise.
Snake Eyes
Gorilla
samedi 24 mai 2008
Make my day...
Happy Birthday
Feux d'artifice hier pour les 125 ans du célèbre pont New Yorkais, immortalisé maintes fois au cinéma.
Long de deux kilomètres, suspendu au dessus de l’East River, le pont de Brooklyn est l’un des monuments phare du paysage new-yorkais. Il aura fallu 14 ans de travaux et de nombreux imprévus avant son ouverture en mai 1883.
J
vendredi 23 mai 2008
Grindhouse Double Feature: [REC] + KEN
"Pablo enregistre tout, pour ta putain de mère..."
Finalement vu en salle avec le Leï, [REC] méritait bien le déplacement même si, vu son support -le faux-reportage- il vous fera le même effet bien au chaud chez vous mais, dans le noir et devant votre plasma (ou LCD) flambant neuf bien sûr. Autant réunir les conditions optimales quand on veut se faire plaisir.
"Et ben alors ?" me demandez-vous, "Grosse flippe ou pas ?"...
Ben oui quand même vous dirais-je. En réalité, il faut bien avouer que là où [REC] pêche un peu, c'est à cause de sa forme, mélange de sujets déjà existants. En gros ça reste du 28 jours/semaines plus tard simplifié shooté à la Blair Witch, avec sa propre justification des évènements par contre. Un petit cocktail de choses déjà existantes mais pas dénué de saveur pour autant. Enfin aucun problème vu que les réalisateurs s'en affranchissent complètement et qu'au final, leur film ne prétend pas être autre chose qu'un tour de grand huit, sous haute-pression. Après c'est à qui veut bouder son plaisir ou pas.
De plus, on sera forcé de reconnaître que [REC] devient malgré lui et de manière évidente une adaptation officieuse de jeu-vidéo, Resident Evil à la sauce FPS en l'occurence. Vision subjective du début à la fin, dégradation progressive et dramatique des évènements, confrontation régulière avec la menace inconnue, recherche/découverte d'objets-clés (clé justement, bande-audio), etc...
Même si le film fait une petite pose à un moment donné, histoire de nous détendre à travers les portraits des différents occupants de l'immeuble, un peu clichés mais tellement vrais, il ne s'embarrasse d'aucun superflu et se conclu en 75 minutes montre en main. Mais comme je le disais plus haut, vous pourrez tout autant l'apprécier chez vous comme un bon petit reportage virant au cauchemar...
"L'ère de Raoh"
Hokuto No Ken sur grand écran, en voilà une qu'on attendait pas ! La raison de cette sortie en salles d'un manga pur geek de notre enfance est sûrement lié à l'immense communauté que nous sommes à toujours idolâtrer l'héritier de la Grande Ourse. En tout cas, on verra bien le nombre d'entrées d'ici quelques semaines.
Dans l'immédiat, la critique de ce long-métrage animé ne peut être que succinte vu qu'il s'agit en fait d'une trilogie dont nous attendons les deux opus suivants. On ne peut nier malgré tout une petite déception en raison du faible nombre de combats et de la violence allégée. Alors bien sûr le métrage est ambitieux, l'histoire et les motivations des personnages tirent assurément cette mythologie vieille de vingt ans vers le haut mais il ne faut tout de même pas oublier que si on regardait Ken le Survivant à la base, c'était pour voir des punks post-nuke mals fringués se faire détruire de façon ultra-gore par un héros aussi charismatique que figé. Ceci étant dit, ne condamnons pas tout de suite le film et disons qu'il constitue surtout une introduction racée et passionnante à la suite des évènements, que nous espérons explosive ! Les trois films constitueront donc un "remake" de l'aventure initiale de Ken avec pour chacun d'entre eux le point de vue d'un personnage différent. Raoh était donc la figure centrale du premier film, puis viendront Toki et Kenshiro (le meilleur pour la fin ?). Il faut bien avouer qu'ayant toujours considéré Raoh comme un gros con de grand frère, je dois bien avouer qu'il prend une dimension toute différente et autrement plus ambiguë dans cette nouvelle version. C'est en tout cas hallucinant de constater à quel point Ken est une figure mythique au Japon et de quelles façons ses aventures sont sans cesse renouvelées et réadaptées. On ne s'en plaindra pas ! Ceux qui sont allés au terroir vous confirmerons que Ken fait figure de premier ministre vu la taille des affiches et drapeaux lui étant consacrés.
Alors on croise les doigts pour la suite (déjà diponible vous savez où pour les plus impatients) et je renvoie les plus curieux en manque de violence aux trois OAV nommés SHIN HOKUTO NO KEN (2003) qui valent vraiment le détour. Histoire originale et adulte, personnages hauts en couleur, dessins et animation moderne somptueux et violence extrême full-frontal parfois très choquante. Le vrai KEN pour adultes est né, alors jettez vous dessus sans discuter !
Le nouveau Kenshiro dans les OAV SHIN HOKUTO NO KEN
Après la patate de forain...
Fini la censure !
Smart Ass
Finalement vu en salle avec le Leï, [REC] méritait bien le déplacement même si, vu son support -le faux-reportage- il vous fera le même effet bien au chaud chez vous mais, dans le noir et devant votre plasma (ou LCD) flambant neuf bien sûr. Autant réunir les conditions optimales quand on veut se faire plaisir.
"Et ben alors ?" me demandez-vous, "Grosse flippe ou pas ?"...
Ben oui quand même vous dirais-je. En réalité, il faut bien avouer que là où [REC] pêche un peu, c'est à cause de sa forme, mélange de sujets déjà existants. En gros ça reste du 28 jours/semaines plus tard simplifié shooté à la Blair Witch, avec sa propre justification des évènements par contre. Un petit cocktail de choses déjà existantes mais pas dénué de saveur pour autant. Enfin aucun problème vu que les réalisateurs s'en affranchissent complètement et qu'au final, leur film ne prétend pas être autre chose qu'un tour de grand huit, sous haute-pression. Après c'est à qui veut bouder son plaisir ou pas.
De plus, on sera forcé de reconnaître que [REC] devient malgré lui et de manière évidente une adaptation officieuse de jeu-vidéo, Resident Evil à la sauce FPS en l'occurence. Vision subjective du début à la fin, dégradation progressive et dramatique des évènements, confrontation régulière avec la menace inconnue, recherche/découverte d'objets-clés (clé justement, bande-audio), etc...
Même si le film fait une petite pose à un moment donné, histoire de nous détendre à travers les portraits des différents occupants de l'immeuble, un peu clichés mais tellement vrais, il ne s'embarrasse d'aucun superflu et se conclu en 75 minutes montre en main. Mais comme je le disais plus haut, vous pourrez tout autant l'apprécier chez vous comme un bon petit reportage virant au cauchemar...
"L'ère de Raoh"
Hokuto No Ken sur grand écran, en voilà une qu'on attendait pas ! La raison de cette sortie en salles d'un manga pur geek de notre enfance est sûrement lié à l'immense communauté que nous sommes à toujours idolâtrer l'héritier de la Grande Ourse. En tout cas, on verra bien le nombre d'entrées d'ici quelques semaines.
Dans l'immédiat, la critique de ce long-métrage animé ne peut être que succinte vu qu'il s'agit en fait d'une trilogie dont nous attendons les deux opus suivants. On ne peut nier malgré tout une petite déception en raison du faible nombre de combats et de la violence allégée. Alors bien sûr le métrage est ambitieux, l'histoire et les motivations des personnages tirent assurément cette mythologie vieille de vingt ans vers le haut mais il ne faut tout de même pas oublier que si on regardait Ken le Survivant à la base, c'était pour voir des punks post-nuke mals fringués se faire détruire de façon ultra-gore par un héros aussi charismatique que figé. Ceci étant dit, ne condamnons pas tout de suite le film et disons qu'il constitue surtout une introduction racée et passionnante à la suite des évènements, que nous espérons explosive ! Les trois films constitueront donc un "remake" de l'aventure initiale de Ken avec pour chacun d'entre eux le point de vue d'un personnage différent. Raoh était donc la figure centrale du premier film, puis viendront Toki et Kenshiro (le meilleur pour la fin ?). Il faut bien avouer qu'ayant toujours considéré Raoh comme un gros con de grand frère, je dois bien avouer qu'il prend une dimension toute différente et autrement plus ambiguë dans cette nouvelle version. C'est en tout cas hallucinant de constater à quel point Ken est une figure mythique au Japon et de quelles façons ses aventures sont sans cesse renouvelées et réadaptées. On ne s'en plaindra pas ! Ceux qui sont allés au terroir vous confirmerons que Ken fait figure de premier ministre vu la taille des affiches et drapeaux lui étant consacrés.
Alors on croise les doigts pour la suite (déjà diponible vous savez où pour les plus impatients) et je renvoie les plus curieux en manque de violence aux trois OAV nommés SHIN HOKUTO NO KEN (2003) qui valent vraiment le détour. Histoire originale et adulte, personnages hauts en couleur, dessins et animation moderne somptueux et violence extrême full-frontal parfois très choquante. Le vrai KEN pour adultes est né, alors jettez vous dessus sans discuter !
Le nouveau Kenshiro dans les OAV SHIN HOKUTO NO KEN
Après la patate de forain...
Fini la censure !
Smart Ass
Wonder Boy
Pourquoi est-il un de nos plus grand champion? Pourquoi sommes-nous si réceptifs à son oeuvre? Pourquoi quand il foire on le démonte pas trop (alors que des fois il mériterai)? Pourquoi Indy 4? Pourquoi le débat sera-t-il pourtant si terrible?
Dimanche soir à 22h, sur le 102.2 de Radio Canut, La Fan Club parlera de Steven Spielberg. Authentique génie, et cinéaste américain.
Snake Eyes
Dimanche soir à 22h, sur le 102.2 de Radio Canut, La Fan Club parlera de Steven Spielberg. Authentique génie, et cinéaste américain.
Snake Eyes
jeudi 22 mai 2008
Repose en paix Junior
Drapeaux en berne.
J'enterre aujourd'hui une certaine idée du cinéma que j'aime, puisqu'avec le désormais officiel décès d'Indiana Jones (après ceux de Skywalker et cie), les icônes meurt unes à unes. J'étais pourtant confiant. Kennedy, Marshall et Lucas à la production, Harrison Ford au fouet, John Williams à la baguette, David Koepp au crayon, le retour de Marion, et enfin Steven derrière la caméra. Une dream team en quelque sorte. Une réunion de super-héros. Steven Spielberg justement, qui restait sur une superbe série d'excellents films, crash le 747 "Indiana Jones" en plein désert, mais était-il seul aux commandes ? Comment, après un excellent premier quart d'heure bourré de plans et d'idées de mise en scènes géniales, tout un château de carte soigneusement construit depuis plus de 20 ans allait-il s'écrouler comme un vulgaire blockbuster d'été mal pensé ?
Comment ceux qui ont fait de leurs idées et de leurs mains une légende intemporelle cinématographique pouvait tout détruire en 2 heures ?
La réponse était pourtant là, sous nos yeux depuis plusieurs années.
Et oui, Georges Lucas avait déjà sacrifié la plus grande icône pop de tous les temps : Star Wars.
Fort heureusement le " serial movie killer" Lucas n'a plus de proie à se mettre sous la dent.
La magie n'opère plus ? Pire que ça camarade, elle a tout simplement et purement disparue, il a tué ses deux enfants.
La faute à cette industrie qui veut "qu'on en ai pour notre argent". Oui mais voilà, en avoir pour son argent ne veut pas forcément dire "nous en mettre plein la vue" messieurs. Surtout que dans le cas présent rares sont les moments de bravoures cinéfiliques.
Il y a 20 ans Spielberg et Lucas compensaient l'absence d'images de synthèse par une batterie d'astuces, d'audaces, allez disont-le; de génie ! ILM n'était pas encore ce monstre qui dévore les films de l'intérieur bien souvent. Et alors que nous pensions à un moment donné que les années 80 nous avait livrées le pire, nous regrettons aujourd'hui son cinéma d'entertainment unique et tellement jouissif finalement. Ce cinéma naïf, amusant, inventif est définitivement mort avec Indy.
Et quand je pense aux gamins aujourd'hui je me dis que j'ai encore eu la chance de voir sur la grande toile les classiques de Zemeckis, Dante, Spielberg et cie.
Oui c'était mieux avant.
Alors voilà nous pouvons mettre le dernier coup de pelle de cet enterrement en versant une larme, parce qu'à moins d'un miracle, rien ni personne ne pourra le réanimer.
Camarades de burgers, faisons nous une raisons, pour ce qui est du cinéma purement fan Club, le meilleur est derrière nous.
R.I.P
J
Welcome back to the jungle
Vous avez crû que j'avais lâché la cité des anges parce que je me suis laissé aller à un petit croc dans la grosse pomme? Vous êtes malades! Je me pourlèche les canines de ce nouveau David Ayer, après son très bon Bad Times. Ayer, également scénariste de Training Day, le film qui permis à Denzel de soulever enfin ce Graal tant mérité, peut sans problème se faire une carrière dans le sillage d' Ellroy, version cinemascope. Et le maître est aussi scénariste du film! Big James, la légende, se retape une plongée dans les embrouilles de Los Angeles. L'association de ces deux maverick devrait donner un film bien crade où tout est question de fréquentations, de morale personnelle et de survie. L.A, c'est leur ville, ils connaîssent tout des combines pourraves de ses flics et des ses gangs. Les bonhommes savent de quoi ils parlent. Ayer dessine petit à petit une mythologie intéressante autour de figures de polar classique. Du cinema frontal, loin des pastiches servis bien froids de nos contrées pas trop sauvages.
Street Kings, c'est aussi un casting classe. Forrest Whitaker (pas très loin de The Shield, l'autre monstre récent de polar angelinos), Common ( déjà bon dans Smokin' Aces & American Gangster), The Game (bon ben lui les gangs il connaît) et ce gentil Keanu Reeves, des fois bon et des fois non. Mais là, je le sens bien. Je crois que j'ai pas fini de vous faire chier avec L.A cette année moi.
Hate it or love it
Snake Eyes
Street Kings, c'est aussi un casting classe. Forrest Whitaker (pas très loin de The Shield, l'autre monstre récent de polar angelinos), Common ( déjà bon dans Smokin' Aces & American Gangster), The Game (bon ben lui les gangs il connaît) et ce gentil Keanu Reeves, des fois bon et des fois non. Mais là, je le sens bien. Je crois que j'ai pas fini de vous faire chier avec L.A cette année moi.
Hate it or love it
Snake Eyes
To The Bones
Bon ben voilà. Dans quelle galaxie vivons-nous? Que faire avec nos existences pas toujours super excitantes? Le monde nous rend triste? Fuir la réalité tu veux? Les images qui suivent ne vous ferons pas spécialement rire, peut-être sourire. L'arrière goût âpre laisse quelques petites traces. Où commence la maladie geek? À partir de quand ce n'est plus assumable socialement? On touche ici une catégorie bien spécifique. Les jusqu'au boutistes, adeptes du GN, le jeu de rôle grandeur nature. Vu que ça se passe de l'autre côté de l'Atlantique, c'est forcément puissance 1000. Ce documentaire, en tout cas, il va falloir le voir. On en saura un peu plus sur certaines choses.
Snake Eyes
Snake Eyes
Iron Albion
Il est temps de rendre hommage à la vierge de fer. Une carrière de malade ponctuée de morceaux épiques, dont beaucoup sont aujourd'hui des classiques. Avec le temps ce metal s'est mué en une espèce de power pop ultra jouissive. Un peu de Queen (avec plus de burnes) et beaucoup de Sabbath (avec moins de LSD). Retour dans le temps avec cette compile à posséder en vinyl.
Steve Harris, Dickinson et cie doivent bien se marrer, à plus de cinquante balais, dans leurs moules burnes zèbre, quand ils voient tous ces kids swinger sur leur musique.
Snake Eyes, Hallowed by the Name
Steve Harris, Dickinson et cie doivent bien se marrer, à plus de cinquante balais, dans leurs moules burnes zèbre, quand ils voient tous ces kids swinger sur leur musique.
Snake Eyes, Hallowed by the Name
23 X brooklyn
LOST IN TRANSLATION....
mercredi 21 mai 2008
revoir la panthère
Si lost est la plus grande série de tous les temps, ce qui suit est le meilleur clip de tous les temps.
Snake Eyes
Snake Eyes
mardi 20 mai 2008
"I always have a plan"
Nous parlons peu ici de la meilleur série de tous les temps : LOST.
Le hunter et moi même somme à la page en suivant les épisodes en même temps que les américains, il reste deux épisodes pour cette saison 4 à l'heure qu'il est, et le final s'annonce monstrueux.
Nous ne dévoileront bien évidemment rien ici, et il y a pourtant tant à dire...
Sachez seulement que l'acteur "principal" de la série Mathew Fox a déclaré récemment connaître la fin de la série, et que garder un tel secret était vraiment grisant, que la saga se clôturera bien en 2010 (que sera ma vie après ?), que Medicom se lance dans la figurine Lostienne, que J.J. Abrams en compagnie des scénaristes de Transformers balance une nouvelle série le 26 aout prochain sur la Fox appelée Fringe, et enfin qu'il va falloir déplacer l'île... !
La bande annonce de fringe :
Medicom Toys :
Bonjour chez vous.
J
Le hunter et moi même somme à la page en suivant les épisodes en même temps que les américains, il reste deux épisodes pour cette saison 4 à l'heure qu'il est, et le final s'annonce monstrueux.
Nous ne dévoileront bien évidemment rien ici, et il y a pourtant tant à dire...
Sachez seulement que l'acteur "principal" de la série Mathew Fox a déclaré récemment connaître la fin de la série, et que garder un tel secret était vraiment grisant, que la saga se clôturera bien en 2010 (que sera ma vie après ?), que Medicom se lance dans la figurine Lostienne, que J.J. Abrams en compagnie des scénaristes de Transformers balance une nouvelle série le 26 aout prochain sur la Fox appelée Fringe, et enfin qu'il va falloir déplacer l'île... !
La bande annonce de fringe :
Medicom Toys :
Bonjour chez vous.
J
lundi 19 mai 2008
samedi 17 mai 2008
H.K.P.D.
Ca y est on y est. Trouvez le frein et stoppez le train. On arrive sur du très lourd. Ou tout simplement pourquoi une génération d'ados chinois se sont fringués avec longs manteaux noirs et lunettes de soleil, en identification totale avec leur héros et ce, bien avant Matrix...
Vous voulez savoir pourquoi ? Vous ne comprenez rien à ce que je raconte ? Dans ce cas toute la Fan-Club vous donne rendez-vous ce dimanche 18 Mai à 22h sur la fréquence Radio Canut 102.2 pour savoir tout ce qu'il y a à savoir (ou presque) sur le polar made in Hong-Kong.
Et surtout n'oubliez pas: les Beretta, ça marche par deux...
Smart Ass commandited by
Snake Eyes
jeudi 15 mai 2008
mercredi 14 mai 2008
Info geek...
La balafre rouge...
Bon, je dirai rien pour ne pas spoiler la fin de WWH (world war hulk), mais sachez qu'il est la conséquence directe de cette dernière. Alors "qui" ou "quoi" est ce Hulk rouge... patience.
A noter que la série est dessinée par l'excellent Ed McGuiness que les fan de Superman doivent bien connaitre ;)
Mortadelle Red
A noter que la série est dessinée par l'excellent Ed McGuiness que les fan de Superman doivent bien connaitre ;)
Mortadelle Red
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