Et non, on reparle pas de Predator mais de "A Nightmare on Elm Street", le remake de Freddy qui pointe le bout de son nez.
C'est un p'tit nouveau: Samuel Bayer qui s'est occupé du reboot mais sans notre pote Robert Englund qui sera remplacé par l'infâme (pourquoi infâme, je sais pas... bon passons) "Jackie Earle Haley" aka "Rorschach".
A Nightmare on Elm Street in HD
Mrtdll
lundi 28 septembre 2009
dimanche 27 septembre 2009
Predators
On le sait tous, le Texan flemmard est un mec dangereux. À la tête du reboot (quel néologisme à la con) de Predator, Rob Rodriguez, en restant producteur, passe la barre à Nimrod Antal, réal de l'efficace Motel. Le danger, c'est que le projet est initié par Rob. Va-t-il injecter une de ces fameuses idées tordues, du mauvais goût, de la synthèse pourrie ? On verra, mais il y a un mais, c'est Monsieur Greg Nicotero qui supervise les SFX live du plus grand chasseur des 80's. Nicotero, un bonhomme à l'ancienne, au C.V béton, un gage de confiance. Le film arrive l'année prochaine.
Sonny
Sonny
samedi 26 septembre 2009
WHAT WE WANT !!!
Alors que l'industrie du disque et du dvd bat de l'aile depuis un certain temps et que ces messieurs à la tête des majors continuent à se creuser la tête pour encore faire du bénef, force est de constater qu'on continue à nous prendre pour des cons et des vaches à lait !!
Preuve en est s'il en faut, WATCHMEN.
Alors qu'outre atlantique ils sortent un film avec ses 45 minutes supplémentaires, il semblerait qu'ici on n'ait pas été assez sage.
Alors l'édition collector de ce côté du monde ce résume à une jaquette en "hologramme"....génial !!!
L'histoire aurait pu en rester là mais non, la solution miracle semble avoir été trouvée pour sauver une industrie bancale: faire acheter aux gens le même film plusieurs fois.
En effet le 3 novembre prochain sort l'édition ultime des Watchmen, alors que tout bon geek qui se respecte et qui a encore un peu d'oseille en ces jours de crise a déjà commandé son édition via le web.
Et à peine 3 mois après la sortie on annonce l'édition qu'il faut avoir et c'est justement cette politique du "t'es un geek, t'achètes direct et on te nike" qui fout en l'air la confiance du consommateur et qui le pousse à se dire: on nous prend vraiment pour des cons !
En tout cas voilà une édition de malade (surtout la blu-ray) et un simple "pour les fans on sort une édition de fou dans quelques mois" aurait suffit à éviter ce sentiment d'être là juste pour raquer.
Pour ceux comme moi qui n'ont pas encore pu se jeter sur le zone 1, c'est désormais cette édition qu'il faut viser, même si les studios nous poussent encore vers l'idée que le téléchargement illégal semble la seule arme que l'on possède, la seule façon de faire entendre sa voix face à des gens sans morale, qui en veulent uniquement à notre argent et cela me semble être bien ça la définition d'un PIRATE.
DVD Details:
Disc 1:
• Watchmen: The Ultimate Cut Film
• Audio Commentary with Zack Snyder and Dave Gibbons
Disc 2: Over 3 Hours of Special Features
• The Phenomenon: The Comic that Changed Comics
• Real Super Heroes, Real Vigilantes
• Mechanics: Technologies of a Fantastic World
• Watchmen: Video Journals
• My Chemical Romance Desolation Row
• Under The Hood
• Story Within A Story: The Books of Watchmen
Disc 3: Digital Copy of the Theatrical Version
Disc 4 and 5: Watchmen: The Complete Motion Comics
Blu-Ray Details:
Disc 1:
• Watchmen: The Ultimate Cut Film
• Audio Commentary with Zack Snyder and Dave Gibbons
Disc 2: Over 3 Hours of Special Features
• The Phenomenon: The Comic that Changed Comics
• Real Super Heroes, Real Vigilantes
• Mechanics: Technologies of a Fantastic World
• Watchmen: Video Journals
• My Chemical Romance Desolation Row
• Under The Hood
• Story Within A Story: The Books of Watchmen
Disc 3: Digital Copy of the Theatrical Version
Disc 4: Watchmen: The Complete Motion Comics
BD-Live
THE HUNTER
vendredi 25 septembre 2009
mercredi 23 septembre 2009
Festival Lumière 2009 : Historique.
dimanche 20 septembre 2009
The Game
Et oui chose promise, chose vue, alors penchons-nous sur le cas du surprenant GAMER (Ultimate Game en français, pourquoi faire simple quand on peut faire nul...).
Vu en séance du matin, le nouveau film du duo Neveldine/Taylor (les deux Hyper Tension) est pour ainsi dire assez déconcertant dans son ensemble. Initialement, on espérait un actioner de SF musclé sans prétention mais surfant sans vergogne sur l'univers du pixel. On se retrouve alors devant un vrai film personnel où les scènes de guerilla urbaine tant attendues sont presque reléguées au second plan (de mon point de vue tout du moins). Attention, n'allez pas croire que GAMER est un ovni de science-fiction sondant les tréfonds de l'âme humaine au détriment de tout ce qu'il a voulu nous vendre via son trailer. Le métrage reste assez bas de plafond dans son traitement, raccoleur et vulgaire. De plus, la mise en scène des deux gaillards devient franchement épuisante au delà d'une heure de métrage même s'il est évident qu'ils prennent un pied monumental à filmer eux-même (rappelons qu'ils sont tous deux caméraman de formation). Mais force est de constater que les "auteurs" ont voulu faire bien plus que pondre un énième produit désincarné destiné aux cerveaux déjà bien ramollis des teens d'aujourd'hui. Et la où se situe le point fort du film selon moi, c'est dans sa capacité à interpeller les gamers contemporains, quelque soit leur âge.
En effet, dans sa vision d'un futur proche complètement décomplexé du numérique (et par extension, des valeurs sociales), le film pourra contenter les plus jeunes en leur assénant bon nombre d'images fortes ultra-colorées via un montage épileptique passablement gerbant, notamment durant les séquences de SOCIETY.
Dans cette ersatz de Sim's grandeur nature décadent, premier jeu "virtuel/réel" crée par le multi-miliardaire Ken Castle (Michael "Dexter" C. Hall, très à l'aise en salaud cynique), des citoyens acceptent, moyennant finance, d'être contrôlés par des joueurs (qui eux, payent) bien installés derrière leur écran, pouvant ainsi laisser libre cours à leurs fantasmes les plus inavouables. En gros, laisser temporairement la gestion de son corps à distance par un inconnu pour subir une expérience extra-corporelle impossible à anticiper tout en se cachant derrière un prétexte financier. Difficile de faire plus immersif et avant-gardiste dans le domaine...
Si les plus terre à terre d'entre-nous s'esclafferont devant ces ébats, les autres devraient très vite admettre la portée décadente et malsaine du concept (le meurtre de l'ascenseur résonne très fort dans le voyeurisme). Malgré le recours à quelques clichés pas si caricaturaux que ça (l'internaute ultra-obèse se gavant devant son écran, les interprètes de Society habillés façon porno-cosplay sous acide), cette vision du jeu-vidéo à venir fini par déranger et ne plus faire rire du tout.
Quoi de plus normal alors que de contrôler des humains se faisant la guerre pour de vrai ? Suite logique de SOCIETY selon Ken Castle, SLAYERS voit donc le jour sur la scène mondiale du web (et de tous les autres médias d'ailleurs). Histoire de feindre un semblant de justice et d'humanité, la règle du jeu offre à des condamnés à mort leur libération sans conditions contre 30 victoires. Le favori en course, Kable (Gerard Butler, au poil même sans barbe), gagne dès l'ouverture du film son 27ème combat. Alors sous les spotlights de la terre entière, il tentera par tous les moyens de trouver une échappatoire après avoir compris que l'absolution ne serait pas si évidente à obtenir. Durant les parties de SLAYERS, la mise en abîme atteint donc son paroxysme, pour les joueurs plus que pour les "joués" tout du moins. Mais c'est là que le potentiel du film aurait gagné à être exploité, notamment par le biais du fameux phénomène de "ping", bien connu des joueurs en réseau. Comme je sais que vous n'êtes pas tous concernés, sachez que le "ping" défini le délai entre l'envoi d'un ordre par le joueur et l'exécution de cet ordre par l'avatar, humain dans le cas présent. Cette fraction seconde, souvent synonyme de Game Over quand elle fait des siennes, laisserait le temps à l'homme sur le terrain de changer la donne. A peine survolé dans le film, ce détail très intéressant développe un rapport particulier entre Kable et son marionettiste, Simon, un adolescent hardcore-gamer enrichi par les gains exponentiels qu'engendre le jeu. Par exemple, quand le condamné vedette lui demandera de le laisser se contrôler lui-même, la première chose qu'il fera sera de descendre une flasque de gnôle avant de foncer au combat, comme s'il recherchait une sensation 100% humaine issue de sa vie passée. Ceci étant dit, cette réclamation de ma part n'a pas forcément lieu d'être étant donné que les objectifs des protagonistes ne se limitent pas à l'univers du jeu. A exploiter dans un autre film peut-être...
Par ailleurs, plusieurs idées certes casse-gueules mais originales sont à retenir, tel ce début de comédie musicale animé par Castle et sa bande de tueurs déshumanisés avant un combat final bien à l'ancienne, ou encore la provocation en chanson du détenu fou Hackman envers Kable, ce dernier le contemplant nu dans l'obscurité d'un vestiaire. Ces quelques passages confèrent donc un ton très singulier à l'ensemble du métrage qui n'oublie pas d'être violent et explosif quand il le faut. Niveau "supporting actors", on souriera devant la prestation rap-académique de Ludacris interprétant le "Humanz Brother", leader d'un groupe de pirates informatiques nostalgiques du bon vieux temps (guettez la borne d'arcade du légendaire "Metal Slug") et on regrettera un rôle éclair de John Leguizamo, détenu appartenant à la caste des faibles, pas assez mâle alpha pour tenter sa chance dans SLAYERS.
En résumé, GAMER ne se pose pas forcément en nouvelle référence SF comme l'a fait MATRIX en son temps mais impose malgré tout le respect, en exploitant plus son matériau de base que ce que l'on aurait pu croire.
Donc faut mettre un jeton dans la machine, comme on dit !
Smart Ass
vendredi 18 septembre 2009
mercredi 16 septembre 2009
No Surrender
Airbourne Vs Lemmy
Putain, j'aurai dû mettre ce clip il y a bien longtemps. La défonce et l'hommage.
Sonny
mardi 15 septembre 2009
The Horrors
Nouveau clip de The Horrors. Incroyable album hommage aux 80's anglaises des Cure, de Joy Division, de Killing Joke etc... . De la Cold étrangement habité pour des gamins d'à peine 20 ans.
Sonny
Mort de Patrick Swayze
lundi 14 septembre 2009
Mais où trouve-t-il ses fantastiques jouets ?
Non je n’ai pas ramené qu’un bon rhume dans mes valises en revenant de Londres, j’ai pris aussi le nouveau Batman Dark Asylum… vous savez, le jeu qui est entré dans le Guinness book des records pour être le jeu le mieux noté par la presse.
Alors bon, armé de mon paddle et d’un paquet de mouchoirs (ouai, suivez, j’ai un rhume), je me suis attaqué à la bête; et la bête c’est du lourd.
Le jeu se construit un peu comme un Metal Gear, une mission, une île mais un assez bonne liberté de mouvement et de choix. Pour éliminer les p’tites frappes (comme les grosses), un arsenal non létal (puisque la chauve-souris ne tue pas) qui s’étoffe au cours de l’aventure et des coups de tatane en mode « Jason Bourne » qu’il faudra distribuer après avoir désarmé ses ennemis.
Ohhh oui, tu vas devoir te le jouer snake, être furtif et faire tes acrobaties de ninja à la con si tu veux pas te faire tirer comme un poulet (une balle de sniper en mode hard et c’est fini)… mais ça rend l’aventure encore plus immersive.
Côté scénar, on est pas dans du Kojima mais ça tient la route : le Joker revient a Arkham pour finir son business et la chauve-souris est le rouage qui va tout faire capoter, alors l’ami Joker va appeler tous ses potes à la rescousse pour te liquider… et ils sont nombreux : de Bane à Killer Croc en passant par l’épouvantail ; ils ont tous leur spécialité et cerise sur le gâteau, les voix sont celles du dessin animé de Bruce Tim (en vo comme en vf a une ou deux exceptions près).
Après une dizaine d’heures passées dessus, oui je peux vous le dire, ce Batman est un putain de bon jeu et dans un monde où les adaptations sont en général bâclées, ça fait du bien de savoir que quelque part des gens peuvent faire des trucs comme ça !
mortadelle
London Calling
dimanche 13 septembre 2009
District 9
Sortie très attendue ce mercredi, une production Peter Jackson réalisée par Neil Blomkamp. Le trailer donne confiance. Le film se passe en Afrique du Sud, détail de poids. La thématique qui semble habiter le film, si elle n'est pas trop lourdement abordée, risque de faire de District 9 une grosse surprise pour tout le monde.
Sonny
Politique Fiction
La Fan Club n'est pas un blog politique. Mais quand la fiction se joint à la réalité, quand le social empiète sur notre terrain de pop-culture, ça devient une affaire personnelle. Une grande partie des américains ne veut pas entendre parler du projet de refonte du système de santé public d'Obama. Ils craignent une URSSisation de leurs démocratie. Ils ont peur du mot socialisme. Ils ne sont pas très curieux. Bref, les manifestations qui ont eu lieu ce week-end à Washington ont démontrées à quel point nos amis américains, de droite ou de gauche d'ailleurs, savaient recycler leur culture.
On peut dire que poser les signes du Joker sur l'homme le plus puissant du monde, porteur d'espoir au delà des plus folles espérances, résonne étrangement avec les plans du personnage nihiliste de Nolan. Briser le rêve. On peut aussi affirmer qu'Obama, après avoir copiné avec Spidey, est le Président américain le plus pop. Pas sûr cette fois que ça le fasse marrer.
Sonny
Horror in Arkham
Découverte récente de ce jeu de plateau hallucinant, Horreur à Arkham. Réedition du classique de Chaosyum datant de la fin des 80's, cette nouvelle mouture de 2005 est un jeu de plateau pour geeks bien tordus. Les règles sont lourdes et fastidieuses, mais prenantes et huilées comme une partition de Michael Kamen. Une fois le système adopté, c'est une partie de 4 heures qui commence, où dans la plus pure tradition Lovecraftienne, des investigateurs vont tenter d'empêcher de Grands Anciens d'envahir Arkham, à coup de Thompson et de santé mentale. L'enquête est bien huilée, l'ambiance se met en place toute seule, et le gros plus c'est la coopération. Les joueurs ne se foutent pas sur la gueule, mais s'entraident pour éviter que Cthulhu (ou l'un de ses enfants) ne viennent nous piétiner. Il est probable que l'explication à ce système de jeu complexe réside dans la volonté des créateurs de mixer le jeu de plateau et le JDR, base historique de la popularité de l'univers de Lovecraft.
Sonny
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