Parfois ce qu'on aime bien faire, au lieu de découvrir des soi-disant chef d'oeuvre qu'on n'a jamais vu comme Le Parrain 3, c'est se refaire des vieux films. Par "vieux" je veux dire "des pas tournés récemment" sans être des "en noir et blanc".
Et là on se rend compte qu'on a déjà vu ces acteurs de second rôle, ces types dont on ne connaît pas le nom, mais avant. Par avant je veux dire avant de se rendre compte qu'ils jouaient dans ce "vieux" film mais pas avant chronologiquement, vous pigez ? Je vais vous donnez un super double-exemple pour que vous puissiez vous réjouir avec moi les copains.
J'étais donc tranquillement en train de me refaire les Dirty Harry en commençant par Magnum Force, mon favori (et peut-être le meilleur, parce que Hutch), pour enchaîner avec The Enforcer, le 3ème, bien débile au final (et ce malgré les hippies au bazooka !), puis enfin finir par le premier, l'original de 1971, qui je vous le rappelle s'était inspiré à l'époque du fameux tueur du Zodiac.
Et c'est là que les connexions se font t'entends ? Tout d'abord au générique le nom de Reni Santoni m'interpelle. Dans le film, il est l'inspecteur Chico Gonzales, adjoint de Harry Callahan. Je me souviens alors qu'il était aussi l'adjoint de notre bien aimé Marion Cobretti sous le même nom de Gonzales ! Marrant non ? Marrant surtout qu'un acteur d'origine italienne joue à répétition un personnage hispanique, vu qu'il s'est également appelé Sanchez, Rodriguez ou encore Lieutenant Arturo Dominguez dans la série Miami Vice.
Voilà pour le premier. Et voici le second en l'acteur d'Andrew Robinson qui joue Scorpio le tueur fou de Dirty Harry donc, et que l'on retrouve également dans Cobra en tant que casse-couilles de service, le détective Monte. Vous savez le grand blond à lunettes qui n'arrête pas de critiquer le formidable travail de Stallone ?
Alors je sais pas pour vous mais moi quand je me suis rendu compte de ça j'étais super content vers 1h du matin !
Maintenant une petite série de photos pour encore mieux comprendre et être content.
Gonzales dans Dirty Harry:
Gonzales dans Cobra:
Ensuite, Andy dans Dirty Harry:
Andy dans Cobra:
Et pendant qu'on est sur les chefs d'oeuvre, sachez que Brian Thompson, l'éventreur de la nuit dans Cobra a lui-même écrit et réalisé une petite comédie, "Action Hero", dans lequel il joue un réalisateur de film d'action Z en galère. Et on retrouve dans son film l'actrice Lee Garlington qui jouait la flic traîtresse, sa propre consoeur dans Cobra !
Alors si avec ça l'été ne se déroule pas mieux pour vous j'y comprends plus rien !
Lee Garlington dans Cobra:
Brian Thompson dans Cobra:
Trailer du film Action Hero:
Et bon 63ème anniversaire Arnold !
Smart Ass
vendredi 30 juillet 2010
lundi 26 juillet 2010
Mind Heist
Dès les premières secondes d'Inception, les fans de Nolan comprennent. Memento, Insomnia, le Prestige et dans une moindre mesure les 2 Batman ont semé les graines de l'obsession de leur auteur. Le vrai et le faux sont deux concepts liés dans les limbes de nos esprits. 7 milliards d'humains, autant de façon de définir la réalité. Avec un budget colossal et des tonnes de choses à dire, Nolan organise le plus grand casse cinématographique de son époque, puisqu'il braque l'esprit de ses spectateurs. Un joyaux de plus, son plus ambitieux, pour un des plus importants réalisateur du nouvel-nouvel Hollywood.
Inutile de d'attarder sur les acteurs, tous excellents. Di Caprio continue sa mue et continue son chemin post Shutter Island (drôle de voir comme ses personnages se font echos d'ailleurs). Pas la peine de parler de la mise en scène, propre, belle, innovante et complètement tournée vers le sujet du film. Les SFX? simples et efficaces.
Un grand film, qui fera école, et qui s'accroche avec Blade Runner, Strange Days, Dark City et Matrix tout en haut de la SF contemporaine.
Sonny
Inutile de d'attarder sur les acteurs, tous excellents. Di Caprio continue sa mue et continue son chemin post Shutter Island (drôle de voir comme ses personnages se font echos d'ailleurs). Pas la peine de parler de la mise en scène, propre, belle, innovante et complètement tournée vers le sujet du film. Les SFX? simples et efficaces.
Un grand film, qui fera école, et qui s'accroche avec Blade Runner, Strange Days, Dark City et Matrix tout en haut de la SF contemporaine.
Sonny
vendredi 9 juillet 2010
"The social network"
Un petit post pour attirer votre attention sur ce qui sera surement un des tournants cinématographique de l'année (non pas "Inception" et "Toy Story 3", l'autre !).
"The social network", le nouveau (chef d'oeuvre) film de David Fincher.
J'entendais il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie, quelques voix qui s'élevaient au sujet de ce nouveau film donc...
Je peux comprendre qu'au départ un film sur la création de Facebook n'attire pas plus l'attention que ça. Voir puisse décevoir au regard du potentiel du réalisateur américain.
Oui mais voilà, "la chose" prend forme, et visiblement ça va être monstrueux.
Vous tous qui lisez ce post possédez un compte Facebook, TOUS.
Comment ne pas se pencher sur le plus gros réseau social de la planète, plus de 500 millions d'utilisateurs, une histoire digne des meilleurs thrillers d'espionnage. Heureusement que David Fincher s'occupe de ce film, je vous le dis. Facebook représente certainement ce que sera le début du futur de la communication, et pour ma part, je suis bien heureux que le fils spirituel de Kubrick s'occupe du truc. Imaginez un film sur Facebook par Brett Ratner... Oui, un cauchemar.
J'ai cru dès le début au projet, si Fincher tourne un film sur Facebook vous vous doutez bien que ce n'est pas pour dire que c'est tout rose...
Mieux, un site américain, bien connu pour avoir les script des films bien avant tout le monde, vient de mettre 10/10 au scénario, ce qui n'était jamais arrivé.
Le premier teaser est tombé il y a quelques jours et enfonce le clou en ce qui concerne le côté "Kubrickien" du film (j'en ai les larmes aux yeux...).
Le mieux est encore de laisser la parole à Trent Reznor, qui compose la musique du film (montage de 3h10 !) en compagnie d'Atticus Ross (voir The book of Eli) : "Speaking of the film... it's really fucking good. And dark!".
Rendez-vous le 1 octobre les gens...
UPDATE (Nouveau Teaser !).
J.
"The social network", le nouveau (chef d'oeuvre) film de David Fincher.
J'entendais il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie, quelques voix qui s'élevaient au sujet de ce nouveau film donc...
Je peux comprendre qu'au départ un film sur la création de Facebook n'attire pas plus l'attention que ça. Voir puisse décevoir au regard du potentiel du réalisateur américain.
Oui mais voilà, "la chose" prend forme, et visiblement ça va être monstrueux.
Vous tous qui lisez ce post possédez un compte Facebook, TOUS.
Comment ne pas se pencher sur le plus gros réseau social de la planète, plus de 500 millions d'utilisateurs, une histoire digne des meilleurs thrillers d'espionnage. Heureusement que David Fincher s'occupe de ce film, je vous le dis. Facebook représente certainement ce que sera le début du futur de la communication, et pour ma part, je suis bien heureux que le fils spirituel de Kubrick s'occupe du truc. Imaginez un film sur Facebook par Brett Ratner... Oui, un cauchemar.
J'ai cru dès le début au projet, si Fincher tourne un film sur Facebook vous vous doutez bien que ce n'est pas pour dire que c'est tout rose...
Mieux, un site américain, bien connu pour avoir les script des films bien avant tout le monde, vient de mettre 10/10 au scénario, ce qui n'était jamais arrivé.
Le premier teaser est tombé il y a quelques jours et enfonce le clou en ce qui concerne le côté "Kubrickien" du film (j'en ai les larmes aux yeux...).
Le mieux est encore de laisser la parole à Trent Reznor, qui compose la musique du film (montage de 3h10 !) en compagnie d'Atticus Ross (voir The book of Eli) : "Speaking of the film... it's really fucking good. And dark!".
Rendez-vous le 1 octobre les gens...
Teaser Social Network from nop nimit on Vimeo.
UPDATE (Nouveau Teaser !).
J.
mardi 6 juillet 2010
lundi 5 juillet 2010
jeudi 1 juillet 2010
NO HERO
Oui le nouveau Warren Ellis est arrivé, ça cogne plus fort que son précédent Black Summer. Le pitch de NO HERO est simple "jusqu'où iriez-vous pour devenir un super-héros".
On prend du coup les ingrédients de the Authority (une super équipe indépendante qui dirige le monde) et un p'tit peu de Black Summer pour le pétage de cable au niveau mondial et le mixe fonctionne parfaitement. Alors non, ce n'est pas aussi politiquement incorrect qu'un Transmet' mais Ellis se place avec cette graphic novel comme un des scénaristes les plus controversés de sa génération avec Moore et Miller.
Et juste pour l'hommage, un petit aperçu des couv' de NO HERO et leur pendant.
Mrtdll
On prend du coup les ingrédients de the Authority (une super équipe indépendante qui dirige le monde) et un p'tit peu de Black Summer pour le pétage de cable au niveau mondial et le mixe fonctionne parfaitement. Alors non, ce n'est pas aussi politiquement incorrect qu'un Transmet' mais Ellis se place avec cette graphic novel comme un des scénaristes les plus controversés de sa génération avec Moore et Miller.
Et juste pour l'hommage, un petit aperçu des couv' de NO HERO et leur pendant.
Mrtdll
Inscription à :
Articles (Atom)