samedi 7 juillet 2012

MAXIMUM PAIN


En août 2001, le studio REMEDY réinventait le shooter à la 3ème personne avec MAX PAYNE. Actioner musclé subtilement mâtiné de polar noir, le jeu nous mettait dans la peau de Max, policier de New York fortement alcoolisé sombrant jour après jour dans la dépression la plus totale depuis le sauvage assassinat de son épouse et de sa fille. Poursuivant sa quête de vérité mais aussi d'auto-destruction, Max allait petit à petit découvrir la partie immergée de l'iceberg dans cette sombre histoire de drogue expérimental et de machination.

Tous ceux qui y ont joué à sa sortie vous le dirons: MAX PAYNE met à l'amende toutes les précédentes tentatives dans le genre mais encore plus fort, rend rétrospectivement obsolètes toutes les pâles imitations qui ont suivi des années durant (DEAD TO RIGHTS, STRANGLEHOLD...).
Univers riche, réalisation technique de haute volée, et approche du genre au 1er degré font de ce soft hard-boiled le mètre étalon en matière de TPS. Là où certains ont vu à travers les longs monologues désincarnés de Max une simple enveloppe verbeuse et pompeuse, il fallait plutôt reconnaître une forte volonté des développeurs de proposer une ambiance innovante et pour ainsi dire jamais vu dans un jeu de ce type. Et grâce à cela, MAX PAYNE pouvait du coup être approché de deux façons. Soit en le prenant comme un excellent défouloir qui ne ment pas sur la marchandise ou soit comme un polar noir interactif, certes très porté sur l'action mais à l'ambiance sombre et mature lui permettant de dépasser sa simple fonction de "jeu d'action". Il n'y a qu'à revoir les cauchemars de Max, conçus comme des niveaux à part entière pour s'en convaincre.


Mais pour revenir à un sujet plus terre à terre, orientons-nous vers le principal argument de vente se situant directement dans le gameplay: le Bullet Time. Directement hérité de MATRIX et, par extension, du cinéma de John Woo, cet élément augmentait largement l'intérêt des multiples gunfights dont regorge MAX PAYNE. Que ce soit un simple ralenti lancé avant de vider ses chargeurs ou qu'on décide de l'agrémenter d'un superbe plongeon à l'horizontal en arrosant généreusement tout ce qui bouge (ou ne bouge pas), l'addiction fut instantanée.
Pour sûr c'est un truc de mec mais le fait de contempler, bave aux lèvres, les balles calculées en temps réel traverser la zone de jeu puis les corps des malfrats en a converti plus d'un.

Après THE FALL OF MAX PAYNE (2003), suite se reposant sur ses acquis mais toujours diablement efficace, ROCKSTAR GAMES et REMEDY remettent le couvert près de 10 ans après pour un nouvel opus judicieusement intitulé MAX PAYNE 3. En résumé, le moral est au plus bas, le whisky coule toujours à flots (sacré foi ce Max !) et on apprend que notre héros s'est reconverti plus ou moins volontairement en garde du corps d'une riche famille de Saõ Paulo.
Pays différent, même rengaine. Pas besoin de vous faire un dessin pour comprendre l'équation "fortune + décadence x pays défavorisé = violence maximale". Des appartements luxueux jusqu'aux favelas écrasantes de chaleur, Max va traverser bon nombre de situations merdiques dans lesquelles lui seul sait se fourrer. Dans une course contre la montre ressemblant plus à une fuite en avant pour retrouver les rejetons kidnappés de son employeur, il laissera derrière lui une montagne de cadavres et de bouteilles vides.


Techniquement, le jeu n'apporte pas spécialement grand chose par rapport à ses aînés mais le condamner trop vite serait un grossière erreur. Plutôt que de faire évoluer le fondement de son gameplay, les développeurs ont pris un risque en se contentant d'utiliser la technologie des machines d'aujourd'hui pour parfaire leur produit. Mais cela ne signifie pas qu'ils ont laissés des lignes de calculs remplir leurs ordinateurs en se tournant les pouces. MAX PAYNE 3 fait partie de ces jeux haut de gamme où le savoir faire, la qualité d'écriture allié à un souci du détail de tous les instants crèvent l'écran.
Par exemple, quand Max se trimballe un fusil ou tout autre arme d'épaule en plus de ses flingues habituels, il le tiendra constamment à la main, même s'il ne l'utilise pas. De plus, quand il voudra faire feu avec deux pistolets, il le lâchera automatiquement. Des détails certes mais qui font leur petit effet et qui témoignent encore de la rigueur de l'entreprise.


Pour le reste, malgré des mises en place et des situations vues mille fois au cinéma, on reste totalement immergé dans ce monde sordide et dangereux, guettant le danger au moindre coin de couloir. Epaulé par un moteur graphique très solide, le soft joue habilement avec nos nerfs en faisant transiter brutalement les cinématiques (parfois assez longues) et les séquences de jeu de manière quasi-invisible, ce qui pour sûr vous vaudra plusieurs game-over. De plus, la violence frontale mais jamais gratuite (car dépeignant un univers crédible) permet au jeu de gagner en maturité et évite ainsi de sombrer dans sa propre caricature.
Et petit bonus qui fera plaisir aux joueurs de la première heure, quelques chapitres flash-back nous permettent de replonger dans l'atmosphère pluvieuse de N.Y. et accessoirement découvrir pour quelles raisons Max a du quitter la grosse pomme.

Généreux, beau, violent et immersif, MAX PAYNE 3 fait mouche et mérite largement d'être possédé par tout fan d'actionner. Et il serait tout de même malvenu de laisser ce pauvre Max se farcir le boulot tout seul.




Mazz

vendredi 10 février 2012

CobraVision ! Les 80's dans ta face !




CobraVision est un groupe de fans de cinéma et des années 80.
Et c'est donc par là que nous avions envie de commencer cette aventure, à savoir diffuser sur grand écran des soirées double feature de chef d'oeuvres des années 80.
Notre ambition est de diffuser à chaque soirée deux films des années 80, en pellicule et en VF.
Pourquoi la VF ? Parceque la vf de ces années là était au top et que les répliques cassaient la bouche à nombre de scénaristes actuels !
On commence forcément avec des films qui rassemblent (On à déjà diffusé, Retour vers le futur, Gremlins ,Top Gun...) tout en proposant en seconde partie de soirée des films moins vus mais qu'on adore. (on a passé Black Rain le mois dernier)

Nous allons donc diffuser des films sur Lyon au cinéma Pathé Cordeliers et à Paris au Gaumontparnasse.
Notre partenariat avec pathé à lieu dans le cadre des rendez-vous 100% ciné, et les soirées se nomment
Back From the 80's.

10 € pour la soirée ou 6€ le film.

Nous allons essayer de proposer si le monde est au rendez vous, d'autres choses autour des projections, posters, expos, apéros, after party... Tous ceci se mettra en place petit à petit.

Nous posterons ici les prochains rendez-vous et les infos sur le Cobra !

Notre mail: embracecobravision@gmail.com
Notre adresse facebook : http://www.facebook.com/pages/CobraVision/149037771863358

Embrace the vision, CobraVision !

mercredi 1 février 2012

LAFANCLUB'S ICONS Vol.21 : Seth Gecko


N'ayant strictement rien à voir avec le rappeur éponyme (à deux lettres près), le Seth Gecko campé par Georges Clooney dans son premier film post-Urgences est un pur personnage de série B à l'ancienne, un bad-ass comme en fait plus.
Car bien avant de vendre du faux café de luxe, il alliait magnifiquement le charisme à l'enculerie la plus basse dans cette péloche vampirique sauce nacho.
Seth et son frère déséquilibré sexuel Richard (Quentin Tarantino) sont donc les stars de ce road movie horrifique très décomplexé qu'est UNE NUIT EN ENFER (Robert Rodriguez, 1996). Braqueurs violents, les Gecko Bros. sont en cavale après que Richie a fait évader son grand frère Seth de prison. Filant tout droit vers leur terre de salut, le Mexique, ils prennent en otage un pasteur et ses deux enfants afin d'utiliser leur camping-car familial pour passer la frontière. Là-bas, le bar où ils doivent attendre leur passeur va leur faire passer la pire nuit qui soit.
Possédant un très gros potentiel de revisionnage, sûrement grâce à un script co-écrit (à 80% ?) par QT lui-même, UNE NUIT EN ENFER se bonifie même avec le temps. Acteurs à contre-emploi, dialogues incisifs, réalisation inspirée, seconds couteaux juste savoureux...
Cette série B pourtant pas prétentieuse déploie une énergie réjouissante et reste un vestige des 90's, époque ou le pire et le meilleur se télescopait pour accoucher parfois de vrais bijoux. Seth Gecko y crève l'écran comme il y crève des coeurs, au sens propre comme au figuré.
De plus, son revolver est un ASTRA TERMINATOR, ce qui est suffisamment rare pour être précisé.


Mazz

mercredi 23 novembre 2011

J'irai drifter sur leur 3D


L'heure est grave. Et cette gravité multi-angles est en trois dimensions.
Qui a dit qu'on se la jouait intello ici ? (moi, une fois mais pour rigoler)
Qui peut prétendre qu'on se prend pour une élite de la pellicule dont le seul avis fait loi ? (Sonny, une fois aussi et je crois qu'il était très sérieux)
Qui croit un seul instant qu'on ne regarde "que de l'utile" comme disait l'autre ?
Personne, ou alors une poignée d'aliénés peut-être. Car à la Fan-Club, toute forme de médias est susceptible d'être -selon le cas de figure- soit passé à la moulinette, soit déifié, et le plus souvent sans objectivité.
En gros, cela signifie que malgré la somme considérable d'infos ainsi que la culture aussi vaste qu'éclectique que l'on peut vous offrir, ça n'empêchera jamais certains de s'engoncer dans leur délire en défendant l'indéfendable jusqu'à la mort (au hasard L'EPISODE 1) tandis que d'autres attendent le déluge pour regarder LE PARRAIN 3. Ca vous donne une idée du niveau de tourmente et de mauvaise foi que peuvent atteindre certains de nos débats.


Tout ça pour dire que ma complainte d'aujourd'hui est enfantée par le fait que le meilleur est sûrement derrière nous. Oui on se répète, on radote mais il faut que le monde entier prenne conscience que l'industrie du cinéma n'est actuellement plus capable de nous pondre ne serait-ce que des "bons films de merde".
Le film de merde. Il n'est pas forcément un nanard mais il peut être regardé en équipe ou en couple (mais jamais seul, trop risqué), d'un oeil distrait en grignotant des douceurs anti-diététiques. Inutile de nier, vous y avez tous succombé au moins une fois. Plaisir coupable ou erreur de programmation (ou télécommande trop loin sous le canapé), ce qui compte c'est de se marrer un bon coup.
Dernière tentative en date: Le Transporteur 3, projet mort dans l'oeuf après 20 minutes de souffrance. Un combat bien chorégraphié mais massacré par un montage ultra-cut plus tard et le visionnage s'arrête instantanément. Ils nous feraient presque détester Jason Statham ces ordures. 48H après, séance de midi dans le Sacro-Saint UGC Part-Dieu, temple ancestrale devenu depuis un lieu de perdition pour les âmes damnées du centre commercial.


Sujet du jour: SHARK NIGHT (en 3D bien sûr).
C'est une fois de plus la débandade, malgré la trique que me provoque ces animaux marins et mon penchant assez déviant pour les bonnes daubes. Juste deux ans après une surexploitation mercantile, la 3D est à présent le moteur même des films qui l'hébergent. C'est comme si elle était devenue une entité, une sorte de force impalpable dans laquelle sommeille un super producteur exécutif régissant tout le tournage. De ce fait, on a la désagréable impression que la majorité du métrage est conçu dans la seule optique d'y intégrer la 3D, évacuant ainsi toute notion de mise en scène. Le réalisateur n'est alors plus qu'un pantin, faisant une croix sur son intégrité artistique au profit de la technologie.
Le pire dans tout ça, c'est que des films comme les derniers DESTINATION FINALE ou encore ce SHARK 3D sont quelque part les plus aptes et les plus légitimes à proposer un spectacle sanglant moderne en 3D, renouant ainsi avec les grandes heures de l'horreur des années 80, pop-corn en main.


Seulement il n'en est rien. La suprématie numérique l'emportant sur les SFX traditionnels ET le scénario, ces soit-disant bandes horrifiques ont à terme crée le concept de "gore propre". En gros proposer de la tripaille frontalement tout en gardant ses distances. Certes cela offre une grande flexibilité au niveau de l'élaboration des effets de démembrements en tout genre et à ce compte là, le dernier DESTINATION FINALE est par moments assez saisissant. Malgré tout, la place vacante laissée par l'escamotage pur et simple de l'originalité et de l'ambition nous laisse face à une magnifique coquille vide en 3D.
Faussement cool, ce SHARK NIGHT l'est tout autant. Si un twist rigolo se dévoilant durant le 2ème acte nous hameçonne laborieusement pour nous garder en éveil jusqu'au générique, la vitesse avec lequel il est emballé laisse pantois. Du genre on balance LA seule idée originale du script et comme on est tout content de soi, on distribue vite fait le quota de plans en 3D des attaques de squales qu'on voit débouler vingt secondes à l'avance (plan large + vue subjective = requin surgissant). Précisons aussi que le tout surfe avec opportunisme sur la vague très tendance du "torture show".


Et lorsque l'un des protagonistes nous fait un cours de biologie accéléré sur les différents poissons du script, l'iconisation graphique de ces derniers n'a jamais vraiment lieu, alors qu'ils sont sensés être les vrais stars du casting. Après si on veut voir une histoire de requin dont la seule évocation fait froid dans le dos, on n'a qu'à se refaire un certain film de 1975.
Donc vous l'aurez compris, j'ai vraiment les glandes de n'avoir même pas pu me faire arracher un sourire de plaisir face à cette ineptie se complaisant dans son cynisme.
En fait les requins ne sont peut-être pas là où on les attend dans le film, mais un peu plus en amont du processus de pré-production, là où on calcule combien de dollars peut rapporter un tel produit.



Mazz

mardi 22 novembre 2011

Satisfaction

C'est vrai que c'est vrai !



Mazz

EX2

Rien a dire, casting de rêve !



Mrtdll

lundi 10 octobre 2011

TO MICHAEL !!!



Mrtdll

vendredi 30 septembre 2011

Cobra the Movie...

Les 1ers Artworks pour le film live de Cobra du frenchie Alexandre Aja sont tombés !





Mrtdll

mercredi 21 septembre 2011

AMERICA # 1


Toujours dans l'urgence qui lui sied désormais si bien, l'industrie MARVEL nous délivre cette fois-ci le plus "dans l'âme" des super-héros, capitaine de l'armée américaine durant la grande guerre, celui qu'ils ont intelligemment appelé CAPTAIN AMERICA.
A peine un semestre après THOR, CAP (pour les intimes) vient donc conclure une sorte de Tétralogie diffusée à l'arrache dans le seul but de justifier l'inévitable réunion des beaux gosses de la côte est, THE AVENGERS.
A ce propos, il est amusant de se rappeler que la simple d'idée du caméo de Samuel Jackson en Nick Fury visible durant le post-générique d'IRON MAN (Jon Favreau) est à l'origine de ce "combo" filmique.
Concernant CAPTAIN AMERICA, il faut bien avouer qu'en premier lieu, le film déçoit un peu. Mais après quelques jours de maturation, ses indéniables qualités émergent et rendent du coup le film beaucoup plus personnel et attachant que les précédents MARVEL, aussi efficaces soient-ils (IRON MAN 1&2 ?). M'est avis que la 3D, ici plus inutile que jamais peut fortement entacher la première vision du long-métrage. Dommage en effet de retrouver ici cet artifice moderne de plus en plus tendance (et de plus en plus vain) venir se calquer sur une histoire se déroulant durant la seconde guerre mondiale. Saluons au passage le design général de cette imagerie "rétro-futuriste", où la création de la super technologie nazie a du être un vrai régal pour les concepteurs.
Et par extension, c'est bien tout le métrage qui est imprégné de ce parfum d'aventure à l'ancienne, rappelant autant INDIANA JONES et ROCKEETER que des oeuvres issues d'autres médias, WOLFENSTEIN en tête. Usant de toute la grammaire de ce genre qu'est le film de guerre (infiltration, sauvetage, sabotage..), CAPTAIN AMERICA s'affirme donc comme un vrai spectacle familial (ce qui ne veut pas dire régressif) et dont le patriotisme propre à son héros est habilement détourné de sa fonction primaire, comme en témoignent les scènes de propagande militaire qui lui sont imposées.


Car oui Steve Rogers est un héros, au sens noble du terme. Mais cette notion d'héroïsme implique pour lui d'être sur le terrain à combattre avec les autres soldats. Car sans pour autant renier son drapeau, il n'a que faire d'être une bannière étoilée ambulante ou un quelconque porte-parole de ses frères d'arme. Il n'est qu'un "private" qui veut lutter contre "les brutes", comme il le dit lui-même. Nul doute que s'il avait dès le début eu le physique de l'emploi, il serait devenu un autre soldat parmi tant d'autres, noyé dans la masse de ceux qui vont mourir par milliers pour la cause. Mais c'est son handicap, son corps fluet de jeune garçon malade allié à un coeur pur et un courage sans limite qui lui donneront accès à un pouvoir inespéré auquel lui seul pouvait prétendre. Car comme lui dit le Dr Erskine (Stanley Tucci), "restez qui vous êtes. Pas un bon soldat, mais un homme bon". Cette phrase à elle seule permet au film de s'extirper du carcan patriotique bas de plafond dans lequel on pouvait s'empresser de cataloguer.
Et c'est là que CAPTAIN AMERICA surprend, au sens positif du terme. Alors qu'on attendait une énième adaptation de comics chargée à bloc en dollars et en pyrotechnie mais à l'ambition limitée, on se retrouve avec à peu près l'inverse. Comme le premier acte représente environ la moitié du film, la compassion du spectateur envers Steve Rogers n'en est que plus facilitée. Chris Evans l'incarne d'ailleurs parfaitement même s'il faut reconnaitre que CAP n'est certainement pas le super-héros le plus torturé ou le plus nuancé du catalogue MARVEL, et donc le plus difficile à jouer. Parallèlement, Hugo Weawing campe en Johann Schmidt/Crâne Rouge un super vilain théâtral, grandiloquent au possible mais jamais ridicule. Son talent et son charisme lui permettant habilement d'éviter la surenchère, il nous livre un prestation de "super-nazi" mégalo assez jouissive. Les autres personnages quant à eux tels le Colonel Philips (Tommy Lee Jones) et Peggy carter (Hayley Atwell) jouent leur rôle avec un plaisir non dissimulé.


Pour ce qui est des zones d'ombre de cette épopée guerrière, on regrettera au final ses scènes d'action classiques, certes bien troussées mais manquant cruellement d'envergure. Un pur morceau de bravoure digne de ce nom et à la hauteur du héros, voilà ce qui fait cruellement défaut à cette aventure pourtant fort plaisante. On se demande alors si Cap aura le temps et la place de s'imposer dans le casting déjà bien rempli des AVENGERS ?
Réponse le 25 avril 2012.



Mazz

lundi 19 septembre 2011

BANG BANG BANG !

Le nouveau clip de JAC & JOHAN !
claire denamur, bang bang bang !
fanclub approved !



blaaath !

vendredi 16 septembre 2011

LAFANCLUB FM : UNE RENTREE 2011 !!!


Y'a du neuf à LAFANCLUB !
nouveau logo en mode guerrier, nouvelle émission mensuelle à chaque fois dans un lieu vivant, appartements, magasins, bars...
Mais toujours la même passion, la même mauvaise foi, la même gueulante et le même amour de la pop culture sous toutes ses formes ! 
l'équipe au complet de LAFANCLUB back dans les bacs !
L'analyse des films de l'été et une bonne dose de conneries !
le podcast sur la pop culture le plus "biscuit prince" du web est de retour, pour une émission mensuelle !

Stay tuned !



LAFANCLUB FM 
Ou en podcast sur Itunes Store (dans recherche taper LAFANCLUB).

Et retrouvez toutes les émissions disponibles ICI

THE WIRED HUNTER

mardi 13 septembre 2011

Repose en paix Dj Mehdi

La Fan Club se joint aux milliers de messages sur internet et ailleurs pour dire combien Dj Mehdi va manquer à la musique.
Courage et pensées à sa famille.




La Fan Club.

mercredi 7 septembre 2011

Audio, video, disco

Si je ne le met pas moi alors qui le mettra ?
Je rappelle que l'album sort le 24 octobre et qu'on parle de Black Sabbath, Giorgio Moroder, Queen et encore quelques autres perles en références.
Voilà.





Justice - AUDIO, VIDEO, DISCO. par justice

Directed by So me.

J.

Soon...



J.

mardi 30 août 2011

L'empire contre attaque


Alors on croyait La fan Club "game over" ?
Rien du tout ! Rien que ça mijote un plan de ouf !
On prépare l'offensive, l'ultime contre attaque, la victoire finale !
Quelques clichés de ce qui va arriver.
Ça ne fait que commencer...






J.

dimanche 24 juillet 2011

Capcom x Tekken

Je ne sais pas ce que va donner le jeu en tout cas la cinématique est très sympa.



Mrtdll

samedi 23 juillet 2011

Assassin's Creed Revelation

Vous le savez, je porte l'assassin dans mon coeur... Que ce soit Altaïr ou Ezio, la ronflance de leur univers est totale. Je viens de finir la version "Brotherhood" avec une grande joie mais aussi une grande frustration. La suite sortira cet hiver et la cinématique d'un Ezio me botte carrément.




Mrtdll

jeudi 21 juillet 2011

Spiderman da Reboot trailer

Je sais pas vous mais ce trailer me fait fichtrement envie, avec un gros coup de coeur pour la séquence finale en mode "caméra embarquée".
Par contre ce costume c'est toujours pas ça...



Mrtdlll

mercredi 20 juillet 2011

Born this Way



Mrtdll

mardi 19 juillet 2011

Les news comics de la semaine

Ce qu'il fallait retenir des news super héroïques de la semaine.

1- Après une affiche trailer superbe, le 1er teaser du Dark Knight est tombé, pas grand chose avoir, wait & see.


The Dark Knight Rises - Teaser Trailer Officiel... par Lyricis

2- Le 1er visuel officiel de Karl Urban pour le prochain Judge Dredd... mouai, pas convaincant.



3- DC relance toutes ses séries pour les nouveaux lecteurs avec du bon et du moins bon (comme ce costume hideux pour Superman dans le Action Comics #1).





4- Un pélo a refait la Batmobile du Burton avec une turbine Boeing d'un Hélico de l'US Army. Geekou !!!






Mrtdll

samedi 9 juillet 2011

The Horrors

Nouvel album, donc nouveau post.




J.

jeudi 7 juillet 2011

ROCKYRAMA !

Je n'en dis pas trop pour le moment, mais ça va faire mal !



Stay tuned !

J.

mercredi 6 juillet 2011

Sly


L'Action Hero au coeur aussi musclé que ses biceps fête aujourd'hui ses 65 ans ! Si seulement il pouvait savoir comme on l'aime ici à La Fan-Club. Alors en attendant un EXPENDABLES 2, en (re-)savourant DEMOLITION MAN et en taillant JUDGE DREDD, rendons-lui une nouvelle fois hommage en lui envoyant plein de bonnes pensées outre-atlantique.
Car rappelons que Sylvester Stallone est le genre de type qui ne fait jamais les choses à moitié, et encore moins gratuitement. Ce qui m'amène à vous expliquer ce que certains d'entre-vous savent déjà par le biais de mes fameux sms à rallonge:
Dolph Lundgren -qui nous affectionnons tout autant- a joué dans un vieil actionner de 1994 intitulé "L'HOMME DE GUERRE". Il y interprétait un ex-membre d'une quelconque Force Spéciale, alcoolique et répondant au nom de Nick Gunar... Devenu depuis un outil qu'on jette après usage, un peu fêlé de la cafetière, dans l'équipe de Barney Ross, où il se nomme Gunner Jensen...


Bon d'accord, j'avoue pour ma part une semi-déception quand le sacro-saint IMDB m'asséna violemment l'inversion des noms et prénoms des deux personnages, et avec un orthographe différent en plus ! Mais aussi sûr que chaque sulfateuse fut soigneusement choisie et attribuée avec soin à chaque compagnon de Ross, le choix de son identité n'est pas un hasard. J'en suis intimement persuadé et c'est bien tout ce qui compte ! Vous pouvez à présent aller en paix, heureux d'avoir mis le doigt sur ce détail qui n'en est pas un.
Et encore un grand merci à Stallone pour s'être casser le cul (entre autres) à nous avoir concocté un spectacle si réjouissant, sans regarder à la dépense en munitions et en lombaires !

Happy Birthday Sly.



Mazz

lundi 4 juillet 2011

Adidas X Star Wars



La collection automne-hiver 2011 vient d'être présentée. Perso je veux le blouson de Han version Hoth !











Mrtdll

Baignade autorisée


Un été sans squale, c'est comme une neige sans Yéti: on est en vacances, on s'éclate mais ça manque sérieusement de danger. Et bien vu qu'il y a statistiquement moins de chance de vous faire mordre le cul par un requin que de vous manger une noix de coco sur la tronche, préparez-vous à passer un été 100% safe, puisque SHARK NIGHT 3D ne sortira chez nous que le 28 septembre 2011, vous épargnant ainsi un éventuel frisson sur la plage après avoir vu le film.
Le poisson cartilagineux ancestral étant fatalement indissociable de la période estivale, quel intérêt de nous faire jouir de ses frénésies alimentaires quand nous serons-tous de retour chez nous bien à plat sur le plancher des vaches ? Et je parle même pour ceux qui n'iront pas jusqu'à la côte, la moindre piscine ou flaque d'eau constituant pour moi un danger potentiel. Mais à la vue du trailer, il y a fort à parier que certains d'entre-vous attendrons la version M6 HD du film, quitte à le regarder en savourant un cocktail avec ombrelle et en portant un bermuda à fleurs, histoire de se mettre dans le bain.

Un film de David R. Ellis, réalisateur de DESTINATION FINALE, 1er du nom.



ps: requin + explosion, on est pas loin du Grand Chelem !

Mazz